Locales 2022 : 3 112 candidatures enregistrées au Sénégal

Le ministre de l’Intérieur Antoine Felix Diome donne les statistiques du dépôt de candidatures en vue des élections du 23 janvier 2022 au Sénégal.

Au total, les autorités compétentes ont reçu 3 112 candidatures pour les élections du 23 janvier 2022. Cependant, 72 décisions ont été  rendues, rejetant 38 candidatures et annulant 34 autres. Plus d’une dizaine de candidatures annulées se sont pourvus en cassation. 07 de ces pourvois concernent la seule région de Saint Louis. Ces pourvois sont portés par l’Agent judiciaire de l’Etat et  le ministre de l’Intérieur. Ainsi rapporte le journal Libération.

Dans un précédent article, Journal du Sénégal indique que la Cour suprême du Sénégal a confié le traitement de 11 recours introduits par les autorités administratives à une autre cour d’appel. En effet, les préfets et sous-préfets contestent la réhabilitation des listes des candidats de l’opposition pour les élections du 23 janvier 2022. Cette réhabilitation admise par arrêt de la cour d’appel fait l’objet de saisine de la juridiction de cassation en vue de l’annulation. Il s’agit de 11 recours  dont 07 de la région de Saint-Louis, 01 de la région de Matam et 01 de la région de Ziguinchor.

Sénégal : Lamine Dieng tire sa révérence

L’ancien coach des Lions de la Téranga (Sénégal), de Jaraaf de Dakar et de l’US Ouakam, Lamine Dieng quitte à jamais les stades ce mardi 07 décembre 2021 à l’âge de 71 ans.

Le Sénégal et  le monde sportif est en deuil. Lamine Dieng, encadreur de football bien connu au pays de la Téranga vient de rendre l’âme. Âgé de 71 ans au moment où il quitte définitivement la scène, le technicien laisse derrière lui une riche carrière.

Lamine Dieng  encadre l’équipe nationale de football du Sénégal à deux reprises. D’abord en de 1992 à 1993, puis en 1996. Bien avant  son arrivée à l’équipe nationale, le technicien trône à l’encadrement de plusieurs autres équipes ou clubs au pays des Lions. C’est le  cas de Us Gorée, As Douane, Us Ouakam, Niarry Tally,et le Jaraaf. L’expérience du technicien mène Jaraaf à la victoire de la coupe du Sénégal en 2010. Hors du pays, il a exercé comme coach du club marocain du Maghreb de Fès. Son décès survient  quatre jours après celui de Lamine Diack, ancien patron de l’athlétisme mondial. 

Covid-19 au Sénégal : les trois cas positifs au variant Omicron déclarés guéris

C’est la déclaration Dr Marie Khemess Ngom Ndiaye, directrice de la Santé publique au ministère de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal.

Sur les ondes de radio Rfm, la directrice de la Santé publique au ministère de la Santé et de l’Action sociale assure. « Je peux vous dire que tous les trois cas Omicron enregistrés sont déjà guéris. Les deux ne présentaient même pas de signes. Ces personnes ont été testées négatives alors qu’elles sortaient du pays », affirme Dr Marie Khemess Ngom Ndiaye qui est aussi présidente du Comité national de gestion des épidémies (Cnge). Pourtant, le communiqué de l’Iressef indique le premier cas placé en quarantaine présentait un symptôme le 04 décembre.

L’Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef) et le Centre Pasteur du Sénégal ont annoncé dimanche la présence de trois cas du variant Omicron. Un premier cas a été détecté vendredi chez un homme de 58 ans venu au Sénégal le 22 novembre par un vol en provenance d’un pays de la sous-région.

Le 2è est un homme de 28 ans ayant séjourné à Scat Urbam, prélevé le 23 novembre 2021 et en partance pour un pays de la sous-région. Le 3è cas est une femme de 29 ans.  Elle se trouvait dans un hôtel de la place, testée positive le 01 décembre 2021 dont la destination était l’Afrique Austral. Ainsi ont annoncé les laboratoires.

Suite à l’annonce des deux laboratoires, le ministère de la Santé et de l’Action sociale a dénoncé le non-respect de la stratégie de communication du Sénégal.  Deux jours  après ce recadrage, les autorités annoncent la guérison des trois cas.

Covid-19 : trois premiers cas du variant Omicron détectés au Sénégal

Le Sénégal détecte ses trois premiers cas du variant Omicron du coronavirus. Il s’agit des voyageurs qui se préparaient à se rendre dans des pays d’Afrique. La révélation est des laboratoires de recherche à Dakar.

Un premier cas a été détecté vendredi chez un homme de 58 ans venu au Sénégal le 22 novembre par un vol en provenance d’un pays de la sous-région, a indiqué un communiqué publié samedi soir par l’Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef).

L’homme avait été vacciné le 13 avril avec AstraZeneca et le 25 juin avec Pfizer, selon l’institut. « Il a séjourné à Dakar dans un hôtel et a participé à une manifestation qui a regroupé près de 300 personnes de plusieurs nationalités. La manifestation s’est déroulée du 24 au 25 novembre », a ajouté le communiqué.

L’institut de recherche précise que le cas a été isolé en quarantaine et suivi dans un centre spécialisé. « A la date du samedi 4 décembre, il ne présente aucun symptôme », précise la même source.
De son côté, l’Institut Pasteur de Dakar a indiqué dimanche avoir identifié deux autres cas d’infection au variant Omicron.
« Il s’agit d’un homme de 28 ans ayant séjourné à Scat Urbam, prélevé le 23 novembre 2021 et en partance pour un pays de la sous-région, ainsi que d’une femme de 29 ans qui se trouvait dans un hôtel de la place, testée positive le 01 décembre 2021 dont la destination était l’Afrique Australe », a annoncé un communiqué de l’Institut Pasteur.

L’annonce de cette nouvelle par le Centre pasteur et l’Institut Iressef  au Sénégalais n’arrange pas le ministre de la Santé et de l’Action sociale. Diouf Sarr recadre ces deux structures qui ont annoncé la nouvelle de façon précipitée.  Le quotidien Source A informe à propos que les autorités sanitaires ont exigé des laboratoires le respect de la stratégie de la communication du pays.

Le Sénégal est le quatrième pays de l’Afrique de l’Ouest à détecter ce nouveau variant sur son sol. Avant le pays de la Teranga, le Nigeria, le Ghana et le Botswana ont annoncé leurs premiers cas de ce variant découvert fin novembre en Afrique du Sud.

 

Transporteurs du Sénégal : « Que l’Etat fasse tout pour respecter ses engagements »

Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (Snttrs) donne un mois à l’Etat pour tenir ses engagements. Cette pression vient à l’issue des trois jours de grève et de la rencontre avec la partie étatique.

Après trois jours de grève et à l’issue de la concertation avec l’Etat, les transporteurs du Sénégal sont insatisfaits. Lors d’un point de presse qu’ils tiennent, les responsables du Snnttrs réitèrent leurs exigences. « Que l’Etat du Sénégal fasse tout pour respecter ses engagements vis-à-vis du Cadre unitaire des syndicats des transports routiers du Sénégal. Car son préavis de grève est toujours d’actualité », ont-ils rappelé.

Cette rencontre avec la presse a lieu à la gare interurbaine « Les Baux maraîchers » de Pikine. A l’occasion, Alassane Ndoye, secrétaire général du syndicat donne la raison du désagrément du secteur.

En effet, « sur les 10 points de notre plateforme revendicative, un seul point relatif au décret du président sur les contrôles a été discuté. Et l’Etat nous a demandé de différer les autres points d’ici 01 mois. Une chose que nous avons acceptée par respect aux Sénégalais qui ont souffert durant ces derniers jours. Mais nous tenons à témoin l’opinion publique pour lui dire que si d’ici un mois l’Etat n’honore pas ses engagements, nous n’hésiterons pas à aller en grève », promettent les syndicalistes.

Ainsi donc, bien qu’étant satisfaits de la mobilisation et de la solidarité du secteur, les transporteurs sont déçus de l’Etat. L’institution a pris en compte la seule réclamation portant sur les tracasseries routières. Pour cela, « Le cadre est debout et mobilisé pour la défense des intérêts de ce secteur », martèle Alassane Ndoye.

Sénégal : Lamine Diack a rendu l’âme

Lamine Diack, ancien patron de l’athlétisme mondial condamné l’an dernier pour corruption, est mort vendredi 3 décembre à son domicile au Sénégal, a déclaré son fils. Lamine Diack a dirigé la Fédération internationale d’athlétisme entre 1999 et 2015.

Diack était retourné au Sénégal en mai, pour la première fois depuis sa mise en examen en 2015. Il avait été retenu en France pendant des années en raison d’une affaire de corruption présumée autour du dopage en Russie.

Condamné en septembre 2020

Il avait été condamné le 16 septembre 2020 à Paris, notamment pour avoir caché des cas de dopage en Russie ou retardé des sanctions contre des athlètes russes dopés en échange de financements et pour favoriser des négociations de sponsoring et de diffusion avec la Russie. Son fils Papa Massata, ex-conseiller marketing de l’Association internationale des fédérations d’athlétisme (ou IAAF, pour International Association of Athletics Federations, en anglais), a lui aussi été jugé à Paris pour corruption et blanchiment en bande organisée dans cette affaire.

Le clan Diack était accusé d’avoir retardé des sanctions disciplinaires contre des athlètes russes soupçonnés de dopage en échange du renouvellement des contrats de sponsoring et de diffusion télévisuelle en vue des Mondiaux 2013 à Moscou et de fonds du pouvoir russe pour financer l’opposition au sortant Abdoulaye Wade lors de la présidentielle 2012 au Sénégal, remportée par Macky Sall.

JO de Rio, de Tokyo et des Mondiaux d’athlétisme 2017

Sa mise en examen dans une autre affaire, encore non jugée, l’avait empêché de rentrer au Sénégal. Il s’était vu confisquer son passeport dans le cadre du contrôle judiciaire imposé par les juges.

Dans ce second dossier, M. Diack avait été mis en examen le 27 mars 2019, toujours pour corruption, dans le cadre des attributions des JO 2016 à Rio et 2020 à Tokyo, mais aussi dans les processus d’attribution des Mondiaux d’athlétisme de Pékin en 2015, puis des Mondiaux 2017 et 2019, pour lesquels le Qatar était candidat.

La juge chargée des investigations avait, avant son retour au Sénégal en mai, levé son interdiction de quitter le territoire français contre le versement d’une caution de 500 000 euros correspondant à l’amende encourue, et à condition qu’il continue de répondre aux convocations judiciaires.

Un club de football sénégalais réputé, le Jaraaf de Dakar (1re Division), a vendu une partie de son patrimoine foncier pour payer la caution. M. Diack a été à deux reprises président du Jaraaf, dans les années 1970 et 2000.

Sauteur en longueur sous le maillot de l’équipe de France, puis joueur de football – sa passion – et directeur technique national de l’équipe du Sénégal après l’indépendance, en 1960 (entre 1964 et 1968), Lamine Diack a été maire de Dakar de 1978 à 1980 et député à l’Assemblée nationale du Sénégal de 1978 à 1993.

Sénégal : 10 transporteurs grévistes aux arrêts

La police sénégalaise interpelle 10 transporteurs prenant part aux manifestations liées à la grève qui a débuté mercredi le 1er décembre.

Les éléments du commissariat urbain de Diourbel appréhendent 10 transporteurs. Les policiers s’apprêtent à les présenter au procureur. Leur arrestation survient jeudi 02 décembre. Ceci alors que le secteur des transports traverse une crise sociale en raison des tracasseries routières. Les motifs de l’interpellation sont connus.

En effet, les fonctionnaires de police accusent ces transporteurs de deux faits au moins. « Destruction de biens publics, notamment sur trois bus de Sénégal Dem Dikk et rébellion parce qu’ils voulaient prendre à partie le commissariat ». Sur ce dernier motif, la source policière affirme que « les grévistes ont jeté des pierres sur le commissariat » avant d’être repoussés. « Ils ont continué à manifester même dans la soirée en menant une guérilla dans la ville », relaie senenews.

Depuis mercredi 1er décembre, les acteurs des transports routiers ont entamé une grève illimitée. Les raisons de ce mouvement se trouvent dans les tracasseries de  la police, de la gendarmerie, de la Douane et les sabots. Ainsi affirme le porte-parole des grévistes Gora Khouma

Sénégal : deux ans de plus avant la retraite des officiers généraux

Le  président du Sénégal Macky Sall accorde deux ans de plus aux officiers de l’armée avant leur départ à la retraite initialement prévu à 60 ans.

Les officiers des forces armées bénéficient d’un prolongement de l’âge de la retraite au Sénégal. Une décision du chef de l’Etat Macky Sall leur ajoute entre un et deux ans sur les 60 ans prévus jusque-là.

Désormais, informe l’AS dans sa livraison de ce 03 décembre 2021, certains officiers généraux iront à la retraite à l’âge de 61 ans. D’autres atteindront 62 ans avant l’admission à la retraite. Selon le ministre des Forces armées, l’augmentation du temps de service se justifie par la nécessite d’encadrer les jeunes.

Ainsi, les généraux de brigades aériennes, les généraux de brigades et les contre-amiraux bénéficient d’un prolongement de un an. Les généraux d’armée, les généraux de corps d’armée, les généraux d’armée aérienne, les généraux des corps aérien, vice-amiral d’escadre, général de division, général de division aérienne et vice-amiral, décrochent désormais à 62 ans.

Sénégal : une femme tente d’assassiner ses jumeaux et sa mère

Au Sénégal, la nommée Yaya Daba Coly a poignardé ses deux garçons de 11 ans et leur grand-mère dans la nuit du 29 au 30 novembre 2021.

Les faits se déroulent au quartier Scat Urbam dans la ville de Dakar, capital du Sénégal. Yaya Daba Coly, une femme qui ne jouit pas de toutes ses facultés mentales poignarde grièvement ses jumeaux et sa propre mère. Pour commettre son forfait, elle utilise les ciseaux comme arme, après que les voisins lui ont refusé le couteau.

En effet, c’est sur ordre de son génie, et pour un objectif encore inconnu, que la dame tente de donner la mort à sa famille. Elle surprend les garçons de 11 ans en plein sommeil, puis attaque sa mère endormie comme les enfants. Alerté, le voisinage vole au secours des victimes et les sauvent des coups de poignard de leur bourreau.

Selon teledakar.net, la femme n’est pas à sa première tentative d’assassinat de ses enfants. Elle avance comme raison de ses actes sa soumissions aux ordres de son génie. Ce dernier appelé djinn dans la croyance musulmane, serait hostile à l’homme, explique abidjanshow.com. Après cette dernière tentative, la dame se trouve dans un hôpital psychiatrique.

Sénégal : voici les 12 personnalités nommées le 1er décembre 2021

Au Sénégal, le président Macky Sall a présidé le conseil des ministres au Palais de République mercredi 1er décembre 2021. Au terme de ce conseil le chef de l’Etat a pris des mesures dont la nomination de 12 personnalités à de nouveaux postes.

Monsieur Mor NDIAYE, Magistrat, précédemment directeur-adjoint des affaires criminelles et des Grâces au Ministère de la Justice est nommé Directeur général de l’Office national de Recouvrement des Avoirs criminels (ONRAC) ;

Monsieur Malick DIALLO, Commissaire aux Enquêtes Economiques principal, est nommé Directeur du Commerce Extérieur du Ministère du Commerce et des PME ;

Monsieur Mouhamadou SY, Inspecteur principal des Impôts et des Domaines, est nommé Directeur des Services fiscaux en remplacement de Madame Ndèye Aïssatou NDAO, appelé à d’autres fonctions ;

Madame Ndèye Aïssatou NDAO, Inspecteur des Impôts et des Domaines, est nommée Directeur des moyennes entreprises, en remplacement de Monsieur Mamoudou Ben Ousmane BA, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

Monsieur El Hadji Djiby BOCOUM, Secrétaire d’Administration, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Missira Wadène, département de Koungueul, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Bonconto, Département de Vélingara, en remplacement de Monsieur Moustapha MBAYE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite.

Monsieur Salif FAYE, Secrétaire d’Administration, précédemment Adjoint au préfet du Département de Sédhiou, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Missira Wadène, Département de Koungheul, en remplacement de Monsieur El Hadji Djiby BOCOUM, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Djidiack KITAL, Secrétaire d’Administration, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Dar Salam, Département de Salémata, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Niaming, Département de Médina Yoro Foulah, en remplacement de Monsieur Mamadou Boubou THIAM, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

Monsieur Richard Biram FAYE, Secrétaire d’Administration, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Niaguis, Département de Ziguinchor, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Dar Salam, Département de Salémata, en remplacement de Monsieur Djidiack KITAL, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Magatte NDIAYE, Secrétaire d’Administration, précédemment Adjoint au préfet du Département de Nioro du Rip, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Niaguis, Département de Ziguinchor, en remplacement de Monsieur Richard Biram FAYE, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Cheikh GNINGUE, Secrétaire d’Administration, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Kael, Département de Mbacké, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Sam Notaire, Département de Guédiawaye, en remplacement de Monsieur Pape Massaër DIOP, appelé à d’autres fonctions ;

Monsieur Pape Massaër DIOP, Secrétaire d’Administration, précédemment Sous-préfet de l’Arrondissement de Sam Notaire, Département de Guédiawaye, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Mérina Dakhar, Département de Tivaouane, en remplacement de Monsieur Soré DIA, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite ;

Monsieur Mayoni SARR, Instituteur, précédemment Adjoint au Sous-préfet de l’Arrondissement de Tattaguine, Département de Fatick, est nommé Sous-préfet de l’Arrondissement de Kaël, Département de Mbacké, en remplacement de Monsieur Cheikh GNINGUE, appelé à d’autres fonctions.

Lire l’intégralité du communiqué final à l’issue du conseil des ministres