Burkina/Niger : «Une centaine de terroristes neutralisés» dans une opération militaire conjointe

L’opération Taanli 3 s’est déroulée du 02 au 25 avril à la frontière entre le Burkina Faso et le Niger dans leur collaboration de lutte anti-terroriste.

 

« Une centaine de terroristes neutralisés », trois bases détruites, de l’armement, des munitions et des véhicules saisis… c’est le bilan d’une opération militaire conjointe annoncé lundi 25 avril dans un communiqué de presse, par les états-majors burkinabè et nigériens.

Taanli 3, c’est le nom de l’opération, a eu lieu du 2 au 25 avril à la frontière entre les deux pays. Ce n’est pas la première fois que les deux pays collaborent dans la lutte anti-terroriste, il y a déjà eu en effet des opérations Taanli 1 et 2.

Pour cette troisième phase, un état-major conjoint a été mis en place à Dori, dans le nord-est du Burkina. Le dossier de presse évoque des moyens très importants : plusieurs centaines de soldats déployés, des unités terrestres mobilisées ainsi que des moyens aériens de surveillance et de combats.

Le deux états-majors se félicitent du succès de cette opération. Ils évoquent un bilan important : une centaine de terroristes neutralisés, 40 autres interpellés. Lors d’actions civilo-militaires, les soldats ont aussi distribué 200 tonnes de vivres et des médicaments aux populations civiles.

Exactions contre des civils ?

Il faut noter que cette opération militaire s’est déroulée notamment à l’extrême Nord du Burkina, là où plusieurs sources ont alerté RFI la semaine dernière sur de probables exactions contre des civils. Des faits que réfute le ministère burkinabè de la Défense dans un communiqué publié dimanche 24 avril. Il annonce néanmoins l’ouverture d’une enquête sur « ces graves allégations ».

Avec cette opération, les deux pays mettent, en tout cas, en avant leur bonne collaboration. Le communiqué insiste sur « l’excellence de la coopération militaire » entre les deux pays. Taanli signifie d’ailleurs « alliance » ou « cohésion » en langue gulmatchéma.

Les autorités de transition burkinabè entendent conserver de bons rapports avec leurs voisins et notamment leurs partenaires dans la lutte contre le terrorisme. Lundi, la présidence a annoncé l’envoi, ce week-end, d’émissaires à Bamako. Plusieurs officiers ont ainsi rencontré le président malien de la transition, le colonel Assimi Goïta.

Sénégal : exploitation frauduleuse du sable du littoral

Le programme des Nations unies pour l’environnement (UNEP) publie ce 26 avril un rapport sur la surexploitation du sable dans le monde.

 

Au Sénégal, le pillage du sable du littoral est une véritable inquiétude. Le ministère des Mines et de la géologie tente de trouver des solutions qui répondent à la demande croissante pour la construction d’infrastructures et pour une exploitation durable de cette ressource dans le pays.

Le Sénégal, ce sont 700 kilomètres de côtes le long de l’océan atlantique. Mais depuis 2009, le code minier interdit toute extraction du sable marin, rappelle Roseline Mbaye Carlosse, directrice générale des Mines.

« Nous faisons face à l’érosion côtière, à l’avancée du niveau de la mer et l’exploitation du sable marin peut avoir un effet d’accélération dans les conséquences des changements climatiques, comme la perte d’habitat, la destruction des infrastructures, la modification des écosystèmes qui sont autour du littoral. »

La gendarmerie de l’environnement est chargée de lutter contre l’exploitation frauduleuse du sable sur le littoral. De son côté, le ministère des Mines fait des études régulièrement pour trouver de nouvelles carrières et des alternatives au sable marin.

« On a pu orienter les exploitants vers des sables de dune qui se trouvent sur le continent. Ce sable dont nous parlons, il y a beaucoup de pression liée au développement, à la construction des infrastructures, qui s‘accroit d’année en année. Il est donc important de trouver d’autres sites, mais toujours en dehors des écosystèmes marins, qui puissent répondre à ce besoin d’approvisionnement en sable pour le développement du Sénégal. »

Plus d’une soixantaine de carrières sont autorisées à l’intérieur du pays, qui ont produit 2 millions 500 mille mètres cubes de sable en 2021.

Sénégal : la «start-up» Wave obtient sa licence

C’est la première structure de ce genre à obtenir cette licence d’établissement de monnaie électronique au Sénégal.

 

 

La « start-up » de finance digitale, Wave, vient d’obtenir sa licence d’établissement de monnaie électronique auprès de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest. C’est la première structure de ce genre à obtenir cette licence.

Wave a grandi de manière vertigineuse depuis sa création au Sénégal en 2018. En quatre ans cette société de la fintech est devenue le plus grand service de mobile money au Sénégal. La société revendique plus de six millions d’utilisateurs actifs par mois. L’année dernière, elle avait levé 200 millions de dollars de fonds d’investissement.

Nouveau cap

Du mobile money à la banque en ligne, Wave vient donc de franchir un nouveau cap. Avec cette licence, la désormais célèbre enseigne bleue au pingouin devient une banque électronique à part entière, avec un accès direct à la Banque centrale de l’UEMOA. Jusqu’à présent Wave devait traiter avec des établissements partenaires pour pouvoir fonctionner. Aujourd’hui, cette licence va permettre d’offrir plus de services financiers, assure Wave : tels que les paiements marchands, le crédit et les transferts d’argents internationaux.

« Signal fort »

Wave est la première structure qui n’est pas une banque ni un opérateur de télécommunication à se voir accorder cette licence d’établissement de monnaie électronique par la BCEAO. « C’est un signal fort de la reconnaissance grandissante pour de nouveaux modèles d’inclusion financière », indique la société dans un communiqué.

Cette start-up s’est imposée sur le marché du mobile money au Sénégal et en Côte d’Ivoire. Elle s’est distinguée de ses concurrents tels qu’Orange Money ou Moov Money par ses retraits et dépôts d’argents sans frais et par son taux fixe de 1% sur les transferts nationaux. Sa facilité d’utilisation est également mise en avant.

Sénégal : le risque de pénurie d’essence s’éloigne

Le ministre du Pétrole et des énergies a reconnu mardi dernier, des « tensions » dans l’approvisionnement notamment liées à la guerre en Ukraine.

 

Au Sénégal, certains automobilistes de Dakar ont eu du mal à trouver de l’essence ces derniers jours dans les stations-services de la capitale, notamment du gasoil. Des files d’attente ont été constatées dans plusieurs quartiers.

Le ministère du Pétrole et des énergies a reconnu mardi des « tensions » dans l’approvisionnement, notamment liées à la guerre en Ukraine. Mais le risque de pénurie s’éloigne. Des navires de carburant sont en train d’être déchargés au port de Dakar.

Casque et gilet de sécurité exigés au terminal pétrolier de Dakar, Issa Samb, est responsable technique et opérations : « On a un bateau de 25 000 tonnes de gasoil. De ce côté, on a un bateau de 18 500 tonnes d’essence. Donc, les deux arrivent en même temps. On est en train de décharger vers les différents dépôts ».

« Il y a eu un rush »

En visite sur le site, la ministre du Pétrole et des Énergies, Sophie Gladima, se veut rassurante après les problèmes d’approvisionnement de ces derniers jours. « Ce qui s’est passé, c’est qu’il y a eu un rush. Les gens ont entendu sur les réseaux sociaux qu’il n’y a pas de gasoil. Mais, malheureusement, cela a créé un creux plus rapide que les camions n’arrivent pas à remplacer rapidement. Là, exceptionnellement, nous sommes en train de voir avec le ministère de l’Intérieur et peut-être les compagnies pour que les camions puissent circuler la nuit », explique-t-elle.

La Société africaine de raffinage (SAR) est actuellement en arrêt technique, mais elle doit reprendre ses activités à la fin du mois avec une capacité de production de 60 à 70% des besoins en carburant. « La SAR a des capacités de raffinage de 1,5 million de tonnes après les travaux d’extension. Et ceci permet un peu plus de sécuriser par rapport aux importations », explique Mahanta Guèye, conseiller technique au ministère du Pétrole et des Énergies.

Quant à l’actuelle pénurie de kérosène à l’aéroport international Blaise-Diagne, « nous avons l’espoir d’en recevoir très bientôt », indique un cadre du ministère.

Sénégal : indisponibilité de kérosène à l’aéroport international Blaise Diagne

C’est par une lettre adressée au directeur général de l’aéroport international Blaise Diagne –l’AIBD- que la société S.M.C.A. D.Y a informé de l’« indisponibilité » de kérosène.

La Société de manutention de carburants aviation –société en charge de l’approvisionnement– a annoncé que les opérations d’avitaillement des avions ne pourront « plus se poursuivre à compter du mercredi 20 avril à 12h, pour une durée provisoire de deux semaines ».

C’est par une lettre adressée au directeur général de l’aéroport international Blaise Diagne –l’AIBD- que la société S.M.C.A. D.Y a informé de l’« indisponibilité » de kérosène. Dans la foulée, un « NOTAM », autrement dit un message aux navigants aériens, a été diffusé pour qu’ils prennent leurs dispositions.

Concrètement, les compagnies doivent assurer l’autonomie de leurs vols retour, ce qui signifie soit une surcharge en carburant au départ – très coûteuse – ou la nécessité de se ravitailler en escale technique dans des aéroports d’autres pays.

D’après une source bien informée, la S.M.C.A.D.Y estimait ses réserves à 2800 m3 de kérosène à la date du 17 avril, soit 2 millions 800 000 litres. Un stock prioritairement destiné à la compagnie nationale Air Sénégal et aux vols militaires.

Dans un communiqué, la direction générale de l’AIBD évoque une « conjoncture internationale défavorable, conjuguée avec les tensions inédites sur le prix de certaines matières premières ». Des « dérogations exceptionnelles » pourront être accordées par l’Agence nationale de l’aviation civile pour « répondre à des contraintes opérationnelles de certains transporteurs aériens ».

Burkina Faso : le gouvernement appui le secteur d’industrie d’habillement

Au Burkina Faso, les stylistes et les couturiers bénéficient de l’appui du gouvernement pour se mettre au niveau du marché international.

Le styliste Sébastien Bazemo a ainsi reçu l’appui du Fonds de développement culturel et Touristique pour faire bénéficier ses équipes de formations. D’une façon générale, cette année, le Programme d’Appui aux Industries créatives a reçu 11 milliards de francs CFA pour 74 projets soutenus dans le monde de la culture. Ce programme est co-financé par l’Union européenne, l’État burkinabè, le Fonds africain pour la culture et la coopération suisse.

Durant un mois, les couturiers de la maison Sébastien Bazemo ont bénéficié d’une formation sur la haute couture européenne. Grégoire Lavri est le chef d’atelier. « Avant, on travaillait à main levée », explique-t-il. « Chose qui était un peu difficile. Quand tu travailles à main levée, il y a des traces. Et là, elle est venue (la formatrice, ndlr) nous montrer l’utilité du patronage dans le travail. »

La formation a concerné les exigences de nouvelles tendances de la mode internationale, selon Rose Bombo, modéliste et créatrice de mode venue de Paris pour l’occasion. « Le but est de permettre aux couturiers africains de vendre à l’international », dit Rose Bombo. « Mais le vêtement africain, c’est toujours approximatif, parce que nous, nous cousons un peu au pif. Mettons-nous au barème international. Ce barème n’est ni français, ni burkinabè, ni camerounais, il représente les tailles de la morphologie humaine. Respectons déjà le style pour commencer. Et c’est cela que j’ai travaillé avec eux. »

« Il était important de connaître les normes et de les respecter »

Selon le styliste Sébastien Bazemo, c’est la conquête du marché international qui a motivé le choix de ce module pour cette formation. « Je pense que nous n’aurons plus cette difficulté de taille que nous avions. Souvent, la cliente te dit : “la taille quarante, ici, est grande, alors que chez un autre elle est petite”. On a des problèmes. Pour nous, il était important de connaître les normes et de les respecter », soutient Sébastien Bazemo.

Pour réaliser ce projet, le styliste a bénéficié d’un soutien financier du Fonds de développement culturel et touristique. Pour ce premier appel, ce sont 74 projets qui ont été financés pour un montant de 1,2 milliard de francs CFA.

« Le Fonds a été mis en place pour développer la dimension économique de la culture et du tourisme », explique Alphonse Tougouma, directeur général du Fonds de développement culturel et touristique. « Parce que vous savez que c’est un secteur à fort potentiel. Il peut créer des emplois et réduire les inégalités. Ce sont des secteurs qu’il ne faut pas négliger dans une dynamique de développement économique et social. »

Une centaine de projets seront sélectionnés et financés pour la deuxième phase avec une enveloppe financière de plus de 2 milliards de francs CFA.

Sénégal : geste de Sadio Mané qui honore la nation toute entière

Sadio Mané a fait don de son Ballon d’Or au musée Pape Bouba Diop en marge de l’inauguration du stade Abdoulaye-Wade.

Le natif de Bambali, N° 10 de l’équipe nationale de football sénégalaise, a offert son Ballon d’Or au musée Pape Bouba Diop. L’annonce de cet acte symbolique a été faite par le Président de la République du Sénégal, lui-même, le mardi 22 février 2022, à la faveur de l’inauguration du stade Abdoulaye-Wade, du nom de l’ex-chef d’Etat.

Dès lors, le Ballon d’Or africain de Sadio Mané repose dans les locaux du musée Pape Bouba Diop, qui est implanté dans l’enceinte de ce nouveau joyau, qu’est le stade Abdoulaye-Wade.

Précisons que le stade Abdoulaye-Wade est situé à Diamniadio, près de Dakar, la capitale du Sénégal. Prévu pour accueillir les Jeux olympiques de la jeunesse de 2026, le stade Abdoulaye-Wade dispose d’une capacité de 50 000 places, de quoi faire la fierté de toute une nation.

Pour rappel, la précédente Coupe d’Afrique des nations (CAN), qui s’est déroulée, au Cameroun, du 09 janvier au 06 février 2022, a été remportée par le Sénégal, devant l’Egypte, au terme de la séance des tirs au but.

Inauguration stade du Sénégal : match de gala entre les légendes africaines et les légendes sénégalaises

Un match de gala entre Légendes Africaines et Légendes Sénégalaises aura lieu ce mardi 22 février 2022 à 19h00 GMT en vue de l’inauguration du nouveau Stade Olympique de Diamniadio,

A l’occasion de l’inauguration du tout nouveau stade du Sénégal qui portera le nom de l’ancien président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, un match de gala entre légendes du football sénégalais et légendes africaines aura lieu ce mardi 22 février 2022 dans ce nouveau joyau.

Le nouveau stade accueillera des stars du football africain pour une première rencontre en son sein. Des noms comme Okocha, Mboma, Drogba ou encore Eto’o composeront l’équipe des légendes africaines face à celles du Sénégal avec El hadji Diouf, Fadiga, Roger Mendy…

Le coup d’envoi de la rencontre est prévu à 19 heures GMT. La cérémonie inaugurale elle démarre à 16h00 Gmt avec une mise en place des invités arrêtée à 15h Gmt.

Légendes Sénégalaises 

  • Oumar Gueye Sene
  • Thierno Youm
  • Racine Kane
  • Boubacar Sarr Locotte
  • Souleymane Sane
  • Roger Mendy
  • Amadou Diop
  • El Hadji Diouf
  • Khalilou Fadiga
  • Lamine Diatta Ferdinand Coly
  • Henri Camara
  • Diomansy Camara
  • Amdy Faye
  • Pape Thiaw
  • Oumar Diallo
  • Tony Sylva
  • Mamadou Niang
  • Moussa Sow
  • Demba Ba
  • Alassane Ndour
  • Pape Fall
  • Omar Daf
  • Mamadou Dialo
  • Moussa Ndiaye
  • Aliou Cisse
  • Amara Traore
  • Salif Diao
  • Victor Diagne
  • Aly Male
  • Cheikh Tidiane Seck

Légendes Africaines

  • Anthony baffoe
  • Alain Gouamene
  • Kossi Agassa
  • Nourredine Naybeth
  • Samuel Osei Kuffuor
  • Emmanuel Eboue
  • Herita Ilunga
  • Geremi Njitap
  • Wael Goma
  • Okocha
  • Samuel Eto’o
  • Didier Drogba
  • Daniel Amokachi
  • Kalusha Bwalya
  • Aristide Bance
  • Jonathan Pitroipa
  • Adebayor
  • Kanu
  • Yaya Toure
  • Patrick Mboma
  • Asamoah Gyan
  • Abubakar Titi Camara
  • Shabani Nonda
  • Moustapha Hadji
  • Pascal Feindouno
  • Lucas Radebe
  • Jean Marc Boco

Sénégal : Macky Sall encourage l’Allemagne à maintenir ses troupes au Mali

Le président du Sénégal Macky Sall, également président en exercice de l’UA, a pressé lundi l’Allemagne de maintenir son engagement au sein de la mission de l’ONU au Mali.

Président en exercice de l’Union africaine, Sall s’est exprimé lors d’un point de presse conjoint avec son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier, en visite au Sénégal depuis dimanche. « Nous avons besoin des forces européennes, de la Mission des Nations unies au Mali et de l’Allemagne au Mali. Le Mali ne peut pas être abandonnée. Il faudra maintenir votre présence dans le Sahel. L’Afrique en a besoin », a indiqué le Président sénégalais.

« Il faudra envisager, lorsque les conditions vont s’améliorer, un retour en force de toutes ces forces européennes à côté de la MINUSMA (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali, NDLR) et d’autres forces africaines pour pouvoir accompagner le Mali et tout le Sahel dans ce combat sérieux pour l’Afrique », a poursuivi le Président Sall.

Sénégal : un enseignant agresse sexuellement son élève et demande une deuxième séance

Un enseignant a violé une de ses élèves et demande une deuxième partie de jambes en l’air, auquel cas, il va publier la vidéo, du premier tour, sur les réseaux sociaux.

Un enseignant a attiré dans ses mailles, une apprenante du Centre de formation professionnel de Diourbel en l’agressant sexuellement. Selon les médias locaux qui relatent l’information, l’instructeur a demandé les services de l’élève pour lui faire à manger chez lui. Une fois sur place après que la jeune fille ait fini de cuisiner, son enseignant ferme la porte à clé, l’empêchant de sortir. C’est ainsi que l’homme abuse de la fille.

Après avoir satisfait sa libido, cet homme insatiable, demande une nouvelle séance de jambes en l’air à sa victime auquel cas, la vidéo, qu’il a enregistrée à l’insu de la jeune fille, il va la publier sur la toile.

Fort heureusement, la jeune fille a eu la présence d’esprit d’informer ses parents, à propos de sa mésaventure. Ces derniers ne sont pas fait prier, pour porter plainte, contre l’enseignant agresseur. L’homme sera arrêté plus tard et condamné pour viol.