Pôle emploi : les structures d’accueilles en fin prêtes

Les espaces services devant abriter les pôles emploi sont fonctionnels et peuvent démarrer l’enrôlement dans les 45 départements du pays, a annoncé hier, Yankhoba Diattara, le ministre de l’Economie numérique et des Télécommunications.
« Nous avons constaté, avec les étapes de Guédiawaye et de Dakar, que les espaces sont fonctionnels », a-t-il notamment dit, après avoir visité les ’’Espaces Sénégal Services’’ réalisés dans le cadre du projet Smart Sénégal, pour abriter les pôles emploi des jeunes.
En effet, lors de la clôture du Conseil présidentiel sur l’emploi des jeunes, le chef de l’Etat avait demandé au gouvernement, en relation avec les autorités administratives, de ’’réfléchir sur les modalités de mise en œuvre d’un guichet unique pour abriter le pôle emploi pour l’entrepreneuriat des jeunes’’, a rappelé le ministre.
C’est dans ce cadre, a précisé M. Diattara, qu’il avait également demandé la mise à contribution des ’’Espaces Sénégal Service’’, réalisés dans le cadre du projet Smart Sénégal.
En compagnie des ministres de l’Emploi et de la Formation professionnelle, de la Jeunesse, Yankhoba Diattara, a fait savoir que ces espaces peuvent aujourd’hui démarrer l’enrôlement des jeunes dans les 45 départements.
« Nous allons prochainement, avec le directeur de l’Agence du développement de l’Informatique de l’Etat (ADIE), accélérer l’équipement et la fonction de mise en service des espaces services sur l’ensemble du territoire national », a-t-il dit.

Litige foncier à Ndingler : Le préfet de Mbour prend des mesures importantes

Ces derniers jours, le litige foncier à Ndingler a causé des affrontements entre villageois et travailleurs de la Sedima. On dénombre, plusieurs blessés et l’accalmie n’est pas près de retrouver la régions d’aussitôt.

Alors dans le but de mettre fin à ces violence, le préfet de Mbour décide de suspendre, temporairement, les travaux d’exploitation agricole sur les terres qui opposent villageois et les hommes de Babacar Ngom.

De même, cette suspension s’étend sur 80 hectares de terres.

En outre face au mutisme du gouvernement, plusieurs leaders de l’opposition s’élevaient pour protester contre ces violence.  C’est notamment,  le cas de l’administrateur du Pastef, Bassirou Diomaye Faye, qui a également été l’un des premiers à annoncé les affrontements à Ndingler.

 » J’ai reçu ce lundi 03 mai 2021 des informations selon lesquelles des affrontements ont eu lieu à Ndingler entre [nos] parents paysans partis désherber leurs champs en prélude à l’hivernage et des agents de sécurité de Babacar Ngom. Il y a eu plusieurs blessés graves évacués. C’est le résultat de fausses solutions à un vrai problème que le gouvernement a créé et qu’il laisse pourrir en attendant qu’une tragédie survienne pour jouer le médecin après la mort. Il est encore possible d’éviter un drame. Seul le Président Macky Sall qui a signé le décret de spoliation peut agir dans ce sens « .

Ligue des champions : Le PSG vs Manchester City , les parisiens restent aux portes de la final.

Déjà battus au Parc des Princes à l’aller (1-2), les Parisiens avaient besoin d’un exploit ce mardi, à l’Etihad Stadium pour espérer rallier la finale de la Ligue des champions. Sans Mbappé, forfait, ils n’ont toutefois jamais trouvé la faille, et c’est Manchester City, de nouveau vainqueur (2-0), qui se rendra à Istanbul.

Privés de leur meilleur atout sur les phases de transition, Mbappé, Pochettino avait le pari audacieux de la possession face au maître en la matière, Guardiola. Et ses joueurs répondaient présent d’entrée, avec du courage, du jeu et une présence récurrente sur les seconds ballons. Les opportunités étaient là, mais pas la réussite.

City, première pour sa dixième campagne en C1, Manchester City disputera sa première finale le 29 mai prochain, à Istanbul, et sera le 42e club à se hisser à ce stade de la compétition.

3e mandat pour Macky Sall, Oumar Sarr relance le débat

Petit à petit, le débat sur le 3e mandat reprend. Après Abdou Latif Coulibaly il y a quelques semaine, c’est un autre proche de Macky Sall qui relance le débat. Il s’agit de Oumar Sarr, membre de la mouvance présidentielle et leader du parti Parel.

D’après lui, le président Macky Sall est à son premier quinquennat. Il explique que sur la base de la nouvelle Constitution, le président Sall peut se présenter pour un deuxième mandat consécutif de 5 ans. Quid de son premier mandat de 7 ans, Oumar Sarr explique que cette Constitution n’est plus, donc, ce septennat de Macky Sall ne compte pas sur la balance. Pour lui, la décision de se présenter ou pas ne dépend que de Macky Sall.

Comme annoncé en haut, le ministre Abdou Latif Coulibaly a été l’un des premiers à reparler du possible 3e mandat de Macky Sall, annonçant sur Jeune Afrique que tout dépendait du chef de l’Etat.

« S’il quittait son poste, cela réglerait aussi la question, pour ceux qui ne veulent pas le voir au pouvoir. Mais d’autres veulent qu’il se maintienne. Et la seule personne qui peut trancher cette question, c’est lui », disait-il.

Plus d’épreuve anticipée de philosophie au baccalauréat.

Les anticipées de philosophie, quels lycéens n’en a jamais entendu parler? Quel candidat à l’examen du Bac n’a pas flanché à la seul idée d’y penser ou à l’approche de la date échue?

Ainsi, une nouvelle reforme adoptée par l’Etat du Sénégal sur l’organisation du baccalauréat vient de faire chambouler cette « institution » tant redoutée par les candidats au Bac.

Désormais les anticipées de philo, c’est de l’histoire ancienne. En effet, il n’y plus d’épreuves anticipées de philosophie.

A en croire, Mouhamed Moustapha Diagne, directeur de la formation et de la communication, les élèves composeront dans cette matière à la même date que toutes les autres disciplines, informe Seneweb.

Une menace de grève pèse sur l’hôpital de Mbour

La section SAMES de l’hôpital de Mbour (ouest) annonce sa décision de déposer un préavis de grève. Cette grève servira à obtenir dudit établissement de santé la révision de la convention qui le lie à un centre d’imagerie médicale.
La grève est prévue au-delà du 31 mai prochain, si la revendication n’est pas satisfaite jusqu’à cette date, a précisé le secrétaire général de ladite section, Khoudoss Mama, lors d’un point de presse.
Si la convention n’est pas révisée, la section SAMES de l’hôpital de Mbour se réservera le droit lancer un ordre « de grève initial de soixante-douze heures », à partir de cette date. Le mot d’ordre sera « reconductible au besoin », selon la section syndicale.
Elle affirme que depuis 2015, année de la signature de la convention, l’hôpital vit une situation délicate. Et ce en raison des nombreuses difficultés, dont les usagers et le personnel de l’hôpital doivent faire face.
La section SAMES invoque aussi les difficultés de prise en charge des cas sociaux et l’impossibilité pour l’hôpital d’offrir certains services au lit du malade.

Coupe du monde 2022: le Sénégal n’a vu aucun de ses stades homologués par la CAF

La Confédération africaine de football (CAF) a publié la liste des stades homologués sur le continent africain en vue des éliminatoires pour la Coupe du monde 2022. Comme c’est le cas dans 21 autres pays du continent sur 55, le Sénégal n’a vu aucun de ses stades homologués par l’instance dirigeante du football africain.

Ce que craignaient les observateurs du football est arrivé : le Sénégal n’a aucun stade en règle pour accueillir un match de qualification pour le Mondial. Un triste fait pour un pays actuellement 1er sur le classement FIFA en Afrique, et qui envisage, dans les prochaines années, d’accueillir une CAN. Cependant, quelques possibilités s’offrent aux Lions pour disputer leurs matches.

La première conséquence de cette absence d’homologation est que le Sénégal ne jouera aucun match sur son sol. Pour l’heure, les solutions les plus évidentes et les plus à portée des autorités sénégalaises sont la sollicitation des pays voisins qui ont des stades homologués. Il s’agit du Cap-Vert, de la Mauritanie, de la Guinée Conakry et de la Guinée-Bissau. Mais encore faudrait-il espérer que le planning des matchs ne gêne pas la possibilité d’y tenir la première journée des éliminatoires face au Togo. Jouer les matches à domicile au Maroc est également une possibilité.

Ce qui est sûr, c’est que d’ores er déjà, les autorités sénégalaises ont du pain sur la planche. Non seulement pour se trouver un stade pour accueillir les matches des éliminatoires, mais également accélérer la rénovation des stades, dont celui de Léopold Sédar Senghor.

 

Source : Senenews

Le syndicat des inspecteurs et contrôleurs SICTRASS exige le respect des engagements de l’Etat

Les inspecteurs et contrôleurs du travail et de la sécurité sociale sont en colère. Ces derniers, à travers leur syndicat, demandent une amélioration de leurs conditions de travail et dénoncent le manque de considération de la part du ministre du Travail et celui de la Fonction publique.
Le secrétaire général du Syndicat des Inspecteurs et Contrôleurs du Travail et de la Sécurité Sociale (SICTRASS), Tène Gaye qui a fait face à la presse, ce jeudi 29 avril rappelle que, « de mai 2017 à nos jours, plus d’une trentaine d’entre nous soit le ¼ de l’effectif actuel, est parti. Même le personnel d’appui ne rate pas l’occasion d’aller explorer d’autres administrations plus attrayantes. Manifestement, même s’il est nécessaire, le recrutement massif a montré ses limites ».
Par ailleurs, le secrétaire général du SICTRASS fait savoir que deux ministres, Madame Mariama Sarr, en charge de la Fonction publique et celui en charge du Travail, Samba Sy retardent la concrétisation de la volonté clairement exprimée par le Président de la République.
Face à cette situation, le syndicat n’exclut aucune éventualité et entend user de tous les moyens pour obtenir la satisfaction de ses revendications et le respect des engagements du gouvernement.
Les inspecteurs et contrôleurs du travail et de la sécurité sociale tiennent le gouvernement responsable des perturbations à venir dans leur secteur.
Source : Seneweb

Samba Ndiobène Kâ fait les éloges du PUDC et de PROMOVILLES

Le ministre du Développement Communautaire, de l’Equité sociale et territoriale, Samba Ndiobène Ka, a mis en exergue l’apport du Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) et du Programme de modernisation des villes (PROMOVILLES) dans la réalisation d’infrastructures socio-économiques.
’’Le PUDC, lancé en 2015, est aujourd’hui, une fierté, de notre pays au niveau national et aussi de la sous-région parce que considéré comme un modèle pragmatique de mise en œuvre des infrastructures socioéconomiques de base’’, a-t-il notamment indiqué, jeudi, lors de la conférence de presse bimensuelle du gouvernement.
Selon lui, dans sa première phase le PUDC a mobilisé plus de 123 milliards de francs CFA qui ont permis de réaliser plusieurs infrastructures en termes de forages et faciliter des activités pastorales, ainsi que des pistes de production, et l’accompagnement des femmes rurales avec plus de 4.600 unités de transformation.
M. Ka qui a souligné les efforts ‘’énormes’’ fournis en termes d’adduction d’eau potable a annoncé que son département envisage de réaliser plusieurs pistes de production et d’autres infrastructures de désenclavement.
Samba Ndiobène Ka a aussi évoqué le programme d’électrification rurale pouvant impacter plus de 880.000 personnes répartis dans les 13 régions du Sénégal
Selon lui, le Programme de modernisation des villes (PROMOVILLES) a qui mobilisé plus de 244 milliards de francs CFA a permis de réaliser des voiries neuves pour assurer la mobilité urbaine et la sécurité des personnes et de leurs biens.
Source : APS

Le Gouvernement Sénégalais obtient 350 milliards de FCFA du FMI

Le Sénégal a obtenu du Fonds monétaire international (FMI) un financement de 453 millions de DTS (Droits de tirages spéciaux). Il s’agit d’environ 650 millions de dollars ou 350 milliards de FCFA, pour soutenir la riposte face à la crise sanitaire et promouvoir la relance de l’économie.

« Les services du FMI ont conclu avec les autorités sénégalaises un accord concernant les mesures économiques et financières. Ceux-ci pourraient permettre l’approbation de la troisième revue du programme appuyé par l’instrument de coordination de la politique économique (ICPE) et soutenir un accord de financement sur dix-huit mois au titre de la facilité de crédit de confirmation (FCC) et du mécanisme d’accord de confirmation, pour un montant total de 453 millions de DTS (environ 650 millions de dollars ou 350 milliards de FCFA) », indique le fonds dans un communiqué émis jeudi.

En outre, il précise que l’ exécution de cet accord de financement sera en  parallèle à l’ICPE. Par ailleurs, une équipe des services du FMI, dirigée par Corinne Deléchat, a effectué une mission virtuelle du 6 au 27 avril 2021.

L’objectif était de « conduire la troisième revue du programme appuyé par l’instrument de coordination de la politique économique (ICPE) ». Et ensuite, il fallait examiner « la requête des autorités d’un accord de financement combiné sur dix-huit mois au titre de la FCCet du mécanisme d’accord de confirmation.