Gaoussou Guèye demande de la transparence dans la gestion des sociétés de pêche

Le président de la Confédération africaine des organisations professionnelles de la pêche artisanale,  Gaoussou Guèye, a plaidé ce mardi, pour la définition d’un cadre qui garantit la transparence dans les activités des sociétés de pêche nationales à capitaux étrangers.
« Nous voulons que ces sociétés mixtes ou de pêche nationales à capitaux étrangers opèrent de façon transparente. Qu’elles n’entrent pas en compétition avec la pêche artisanale locale. Et qu’elles soient en adéquation avec les objectifs de développement durable de la pêche artisanale. »
En effet, M. Guèye faisait un exposé à l’occasion d’un atelier de partage avec les membres de l’Association des communicateurs en pêche des radios communautaires et journalistes généraliste.
Estimant que la transparence est indispensable pour lutter contre la corruption et faire participer les acteurs à la gestion de la pêche, il pense qu’il faut publier la liste des navires opérant au Sénégal mais aussi celle des pirogues artisanales pour une meilleure cartographie de l’ensemble de la flotte.
Gaoussou Guèye a insisté sur la nécessité d’appliquer la législation en vigueur dans le domaine de la pêche, d’améliorer la gestion, la recherche pour une meilleure lutte contre la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN), de mettre en œuvre les Directives volontaires pour une pêche durable du Fonds des Nations-Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO), entre autres.

Le salaire de Halima Gadji en 8 mois de tournage chez Marodi production

La polémique entre Marodi et Halima Gadji, Marième Dial dans la série Maitresse d’un homme marié, continue.

L ‘Observateur  confirme que les fans de Marième Dial ne verront pas leur actrice préférée  dans la saison 3 de MDHM. Dans L’Observateur, nos confrères sont revenus sur le clash entre la maison de production et Halima Gadji.

Halima Gadji n’était pas motivée par l’argent, mais plutôt par l’engouement des fans pour la série et son personnage. Pour preuve, l’actrice percevait un salaire de 300.000 F cfa pour 8 mois de tournage. Alors que d’ordinaire hors saison MHDM, elle pouvait se faire 1 million par mois.

Une injustice vite réglée par son label, qui a renégocié le contrat de la belle Halima, faisant passer son salaire en huit mois de tournage, de 300 à 900.000 Fcfa.

Bonne gouvernance : Le Sénégal occupe la 71ème du classement sur 104 pays

Selon l’Indice Chandler Good Government (CGGI), qui classe 104 pays en termes de capacités et de résultats gouvernementaux, lancé le 26 avril 2021 à Singapour, le Sénégal pointe à la 71ème place. Le premier africain dans ce classement est le Rwanda, logé au 53ème rang, suivi du Botswana (56), du Maroc (61e).

D’après Walf Quotidien qui cite Financial Afrik, dans ce classement, basé sur plus de 50 sources de données, la Finlande est le premier pays au monde en termes de gouvernance. La Suisse (2e) et Singapour (3e) complètent le podium.

De même, pour être en liste , il faut réunir sept critères : le leadership et la prospective; la robustesse des lois et des politiques publiques, la solidité des institutions, la gestion financière, l’attractivité du marché, l’influence et la réputation mondiale.

L’indice utilise une méthodologie rigoureuse élaborée après consultation de praticiens du gouvernement, de dirigeants, d’experts de l’indice et de chercheurs en gouvernance. Le Venezuela, pays latino-américain en proie à une crise politico-économique aigue, ferme la marche.

Il tua une jeune fille parce qu’elle refusa de …

A. N. a été mortellement poignardée par Thierno Ibrahima Barry. Les faits ont eu lieu au bar «Golden Sun» de Liberté 6.  L’affaire serait partie d’une banale histoire de salamalecs.

D’après le récit de Les Échos, A. N. aurait serré la main à tous les clients du bar sauf à lui, l’insultant au passage. Eméché, il la suit pour exiger une explication de son comportement irrespectueux.

A. N. répond à Ibrahima Barry avec dédain. Ce dernier ramasse un couteau et le lui plante à la joue droite. Inerte, baignant dans une mare de sang, elle rend l’âme.

En cavale, il a été arrêté à Ziguinchor. Jugé hier devant la Chambre criminelle de Dakar, le parquet a requis contre lui la réclusion criminelle à perpétuité. Il sera édifié sur son sort le 10 mai prochain.

Sécurité : Le CEMGA sera en visite à Kaolack ce jeudi

Le chef d’Etat-major général des armées sénégalaises (CEMGA), le général Cheikh Wade, sera ce jeudi à Kaolack  en visite de prise de contact dans la zone militaire numéro 3, polarisant les régions du centre du pays.

De même, le général Wade va notamment visiter les chantiers du poste de commandement de la zone, dans le camp militaire de Sémou Djimith Diouf, et l’Ecole nationale des sous-officiers d’active, a précisé le commandant de la zone, le colonel Ousmane Aly Kane, dans un communiqué.

Il indique par ailleurs, qu’au cours de ce déplacement, le CEMGA s’adressera aux personnels de la zone militaire numéro 3, remettra des cadeaux et procédera à une signature des livres d’or des formations militaires.

Le général de corps d’armées, Cheikh Wade, a été nommé en décembre dernier chef d’Etat-major des armées sénégalaises en remplacement du général Birame Diop.

Introduction d’un billet de 50000 francs CFA à la BCEAO

Il s’agit en réalité d’une fake news, largement relayée par les réseaux sociaux, et fait réagir la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (BCEAO).

Dans un communiqué lu sur son site Internet ce lundi 26 avril 2021, la  BCEAO dément le message qui circule sur internet, fait état de l’introduction « imminente » d’une nouvelle coupure de 50 000 FCfa

L’institution « dément formellement » cette fausse information que certaines personne lui ont attribué. Par ailleurs,  elle « précise qu’elle n’a apporté aucune modification à la gamme actuelle des billets de banque en circulation ».

Mais cette affaire est loin d’être finie. En effet, la BCEAO « se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires » à l’encontre des éventuels auteurs de ces actes et messages de nature à « porter atteinte » aux signes monétaires ayant cours légal dans les pays de l’UEMOA.

Marie Rose FAYE quitte le Pastef France

Marie Rose FAYE, coordonnatrice du mouvement des cadres au PASTEF France  a annoncé dans un communiqué sa démission.

En effet, « mon militantisme politique a débuté à PASTEF et en France en 2017 et j’en suis très fière. Ces années passées avec vous, ont été les périodes les plus riches de ma vie.(…)

De plus, en tant que membre du premier bureau de la coordination, ce fut une fierté de voir grandir le parti en France qui compte plus de 4000 membres et d’avoir pu contribuer aux différentes activités et actions phares de la coordination.  (…) La vie étant faite de changements et d’évolutions, je dois quitter la France pour des raisons personnelles et professionnelles.

De même, je souhaite donc me libérer de tous les postes de responsabilité que j’assume au sein de la coordination notamment en tant que coordinatrice du Mouvement des cadres patriotes (MONCAP), membre de l’Assemblée Générale de la coordination et responsable des finances de la section Nouvelle-Aquitaine, afin que le gros travail déjà entamé puisse continuer avec des patriotes plus présents et plus à même d’assumer ces rôles désormais. (…)

Je serai toujours disponible pour accompagner la coordination. Je poursuivrai mon engagement au sein du parti dans notre cher pays le Sénégal.

Guy Marius Sagna exige la démission de Diouf Sarr pour le décès des 4 bébés à Linguère

A travers un communiqué de presse, Guy Marius Sagna, coordonnateur du Frapp, dit avoir appris « avec énormément de tristesse » la mort de quatre bébés, hier samedi, à l’hôpital de Linguère. « Quatre bébés tués par un incendie qui s’est déclaré dans l’hôpital. Le Frapp présente ses condoléances aux familles. Ces morts font suite à plusieurs défaillances graves dans le secteur de la santé. Le Frapp demande la démission du ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr », a ajouté l’activiste.

Le secrétariat exécutif national du Frapp a, par ailleurs, déploré le licenciement arbitraire de 16 délégués des travailleurs de l’usine de Twyford.
« Il y a quelques mois, le Frapp avait alerté sur la gestion esclavagiste de la direction chinoise de cette entreprise. Le ministre du Travail et le président de la République n’ont rien fait. Tout comme ils ont assisté aux licenciements à la GCO, à Wari, au conseil départemental de Ranerou Ferlo, à la société BIA Sénégal, à Excellec, à SIGELEC, à VFS Global…Ils assistent complices à l’exploitation des travailleurs de Eiffage Marine, de la Brioche Dorée….Tout comme l’État du Sénégal maintient les travailleurs de ABS dans une situation dramatique », lit-on dans ce texte.

A ce titre, Guy Marius Sagna & Cie pensent que « parler de la situation de l’emploi au Sénégal, c’est parler aussi des emplois existants, de la violation flagrante des droits des travailleurs. Beaucoup de travailleurs sont licenciés abusivement comme s’il n’y avait pas de ministre du Travail au Sénégal ».

 

Source : Seneweb

La police démantèle une mafia organisée par les agents de AIBD

En effet, pendant plusieurs mois, des agents de l’aéroport international Blaise Diagne de Diass (AIBD) commettaient des opérations aux noirs. Ils se sont enrichis en enregistrant irrégulièrement des passagers, contre le paiement d’une somme de 50 000 Fcfa., falsifiant des tickets. Finalement, la police a réussi à démanteler cette mafia et fait tomber plusieurs agents.

La police mise au courant de cette situation, entame des investigations sur cette piste après plusieurs plaintes déposées par Air Sénégal et la police espagnole.

Elle s’était plainte de l’arrivée sur son sol d’un passager mystérieux. Après une enquête minutieusement menée, la police a découvert ce qui se tramait au sein de l’AIBD.

D’après les informations reçues, 6 agents, dont une dame qui officie pour des sous-traitants chargés du contrôle et de la gestion des tickets à l’AIBD, attendent en prison pour faire face à la justice.

Les premiers éléments de l’enquête sur le décès des 4 bébés à l’hôpital de Linguère

L’incendie qui s’est déclenché à l’hôpital Magatte Lô est à un drame qui a endeuillé des familles par le décès de 4 bébés. Deux autres nouveau-nés ont été placés en réanimation après la circonscription de l’incendie dont l’origine reste à être déterminée.

Depuis lors, tout est mis sur place pour connaitre les causes qui ont provoqué ce malheureux évènement.

En effet, selon Source A, qui donne l’information, les premiers éléments de l’enquête écartent la thèse du court cuit. Il y avait en outre dans la salle des tables chauffantes avec des ampoules à incandescence d’une puissance de 60 watts. En plus des moustiquaires y ont été aménagées. C’est pourquoi la gendarmerie redoute que la chaleur provenant des lampes n’ait brûlé les moustiquaires.

Une maman éplorée confie, ’’J’ai fait trois avortements avant d’accoucher d’une fille prématurée le vendredi 16 avril. Je quittais tous les jours Barkédji pour venir à Linguère allaiter mon enfant. Le jour du drame, accompagnée par ma tante, nous sommes informées à la porte de l’hôpital que la salle des bébés a pris feu’’.

Par ailleurs, cette tragédie ne vient pas arranger les affaires du directeur de l’hôpital dont la tête était réclamée dernièrement par les populations.