Persistance des pluies et des orages sur la façade ouest sénégalaise (ANACIM)

Les pluies et orages persisteront sur la façade ouest notamment l’axe Dakar Casamance au cours de la journée, indique l’agence nationale de la météorologie.
Dans son bulletin de prévision à très courte échéance valable du 02/09/19 à 12h au 03/09/19 à 12h, l’agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) signale qu’à partir de cette fin d’après-midi, ‘’des activités pluvieuses intéresseront les régions Sud et Centre-est du pays’’.
Selon l’agence, ’’au Nord le ciel sera nuageux à couvert avec de faibles risques de pluies’’.
La sensation de chaleur sera moins intense sur la quasi-totalité du territoire avec des températures maximales qui varieront entre 29°C et 39°C, indique le bulletin.
Les visibilités seront généralement bonnes tandis que les vents seront de secteur Sud à Sud-ouest et d’intensité faible à modérée.
Au cours des prochaines 24heures, des activités pluvio-orageuses seront notées sur l’axe Dakar-Casamance et sur les localités Sud-est et Centre-est du territoire, indique l’ANACIM.
Elle souligne toutefois, qu’à partir des 48 heures des pluies et orages aborderont le pays par l’Est et évolueront vers l’Ouest dans la journée du mercredi et jeudi.

La réception des transferts d’argent rapide en hausse au 1er semestre au Sénégal

La Note de conjoncture du deuxième trimestre 2019 de la direction de la prévision et des études économiques (DPEE) fait état d’une hausse de 5,7% des transferts rapides d’argent au cours des six premiers mois de l’année.
’’Les transferts rapides d’argent reçus par les établissements de crédit du Sénégal sont ressortis à 586,6 milliards sur les six premiers mois de 2019, en hausse de 5,7% par rapport à la même période de l’année précédente’’, indique la DPEE.
Selon le document consulté par l’APS, ’’l’évolution trimestrielle des transferts reçus est marquée par une progression de 8% au deuxième trimestre 2019, dans un contexte marqué par la célébration de la fête de l’Aïd El Fitr’’.

Sénégal : restriction des abonnements des fonctionnaires auprès des opérateurs de téléphonie mobile

L’Etat a décidé de ’’restreindre’’, à compter du premier septembre, l’abonnement des fonctionnaires auprès des opérateurs de téléphonie mobile, avec « la suspension de tous les appels sortants », indique le Bureau d’information gouvernemental (BIG).
Lors du lancement du Programme d’appui à la modernisation de l’administration (PAMA), le 5 août, le chef de l’Etat avait souligné la nécessité de rationaliser les dépenses publiques, mettant en exergue les chiffres de 307 milliards pour l’achat de véhicules en 7 ans et de 17 milliards en factures téléphoniques par an.
’’Dans le cadre de la rationalisation des dépenses courantes, l’Etat a pris la décision, à compter de ce 1er septembre 2019, de restreindre l’abonnement des fonctionnaires auprès des opérateurs de téléphonie mobile, avec la suspension de tous les appels sortants », indique le BIG dans un communiqué reçu à l’APS, lundi.
’’Seuls les appels entrants sont maintenus jusqu’au 30 septembre prochain avant que les lignes ne soient intégralement résiliées. A cet effet, une allocation forfaitaire a été intégrée dans les salaires de ce mois d’août 2019 des ayants-droit », ajoute la même source.
Le BIG indique l’Etat « a pris toutes les dispositions règlementaires pour la mise en œuvre de cette décision avec le décret 2019-1310 du 14 août 2019 fixant une allocation mensuelle forfaitaire pour charges de téléphonie mobile à certains agents de l’Etat ».
A cela s’ajoutent le décret 2019-1311 du 14 août fixant le volume et les modalités de répartition de l’enveloppe financière accordée au ministère des Forces armées pour la prise en charge des dépenses de télécommunications et le décret 2019-1312 du 14 août fixant le volume et les modalités de répartition de l’enveloppe financière accordée au ministère de l’Intérieur pour la prise en charge des dépenses de télécommunications.
Dans le communiqué, il est indiqué que de cette manière, le président de la République « réaffirme sa volonté inébranlable de réduire le train de vie de l’Etat ».
« Et, au-delà de l’exigence de recentrage de la dépense publique, les économies générées par cette décision, serviront à la prise en charge effective des besoins exprimés par les populations en termes de santé, d’éducation, de formation professionnelle, mais également d’infrastructures pour restaurer l’équité territoriale et la justice sociale », souligne-t-on dans la même source.
Le BIG annonce que de « prochaines mesures » sont attendues « dans le domaine du téléphone fixe, de l’eau, de l’électricité, des véhicules administratifs, du carburant et de l’usage d’Internet ».
Elles « devront définitivement consacrer la vision exprimée par le président de la République d’un Etat modeste et efficace ».

Affaire PETROTIM : les 130 millions FCFA introuvables dans les comptes d’Agritrans (Libération)

Le journal Libération rapporte ce Jeudi que les réquisitions adressées aux banques sénégalaises par le procureur de la république, n’ont pas permis d’établir l’existence du virement présumé de 250 000 dollars en faveur d’Agritrans (réputée appartenir à Aliou Sall) et gérée par le maire de Pikine, Abdoulaye Timbo.

En clair, ce virement évoqué par BBC n’existe pas dans les comptes d’Agritrans logés à la Banque islamique du Sénégal et à la banque agricole, ex Cncas.  Idem pour les autres comptes professionnels/entreprises d’Aliou Sall.

Toutefois, des virements des virements de l’ordre de 25 mille dollars mensuel auraient été constatés sur le compte personnel de Aliou Sall et suite à cela le procureur aurait décidé d’abandonner les poursuites contre le frère du président de la république, par ailleurs maire de Guédiawaye.

25 000 producteurs de mil au Sénégal ont bénéficié du PSEM (Responsable)

Quelque 25 000 producteurs et 141 entreprises ont bénéficié de la mise en œuvre du Projet des services des entreprises du mil (PSEM), a indiqué, jeudi, à Kaolack, Ousseynou Ndiaye, responsable communication dudit projet.
« Dans la composante production agricole, de la chaîne de valeur mil, nous avons travaillé avec plus de 25 mille producteurs directs et 141 entreprises de transformation », a-t-il souligné en marge d’un atelier de restitution d’une étude consacrée à la chaîne de valeur mil.
Cette rencontre avait pour objectif de présenter les résultats de l’étude diagnostic des innovations et d’analyser la chaîne de valeur mil et en même temps recueillir les observations et suggestions des participants, a expliqué M. Ndiaye.
Le projet a notamment été mis en œuvre grâce à l’appui de la Ligue des coopératives américaines (CLUSA).
« Au-delà des différents appuis autour de la chaîne de valeur mil, le projet a apporté des innovations dont les plus notoires sont les pôles multi-services paysans dans le domaine du stockage et les cantines pour l’écoulement des produits de transformation », a-t-il fait valoir.
S’agissant de la production agricole, il a insisté sur l’accompagnement des producteurs à travers la constitution de coopérative et l’introduction de technologies permettant d’accroître les rendements.
« Au début du programme, les rendements ne dépassaient pas de 600 kilogrammes à l’hectare mais aujourd’hui dans nos parcelles de démonstration, ils ont atteint 1, 5 tonne à l’hectare. Ce qui répond positivement à un des indicateurs phares, notamment l’augmentation de la productivité du mil », s’est-il félicité.
« Il faudrait insister sur le suivi. Un projet a une durée de vie déterminée à l’avance. Mais il y a des acquis qui sont là et des bénéficiaires. Maintenant c’est aux acteurs de faire de sorte que les acquis soient pérennisés au bénéfice de tous », dit l’adjoint au gouverneur de Kaolack, chargé du Développement, Baboucar Mondor Ngom.

Affaire Amar MBAYE : La famille décide d’ « internationaliser le combat »

Mafatim Mbaye, le père du jeune boulanger Amar Mbaye, décédé à Thiès, a annoncé jeudi l’internationalisation du combat pour la manifestation de la vérité autour de ce qu’il a qualifié d’ ‘’assassinat’’ de son fils, et pour couper court à une ‘’bataille de l’opinion’’ faisant croire à la thèse de l’accident qu’il réfute.
« Nous ne pouvons pas rester sur place comme ça, nous allons internationaliser le combat », a affirmé Mafatim Mbaye qui rencontrait la presse à son domicile au quartier Niéti Kadd.
« Nous allons saisir tous les organisations de défense des droits de l’homme, les instances judiciaires au plan national comme international », a ajouté M. Mbaye, qui a précisé que cette démarche ne dénote pas un manque de confiance vis-à-vis de la justice du pays, mais rentre dans le cadre d’une « bataille d’opinion ».
Dans la nuit du vendredi 16 au samedi 17 août derniers, son fils de 31 ans, Amar Mbaye est décédé dans des conditions non encore élucidées. Là où certains pointent du doigt la police des Parcelles assainies de Thiès, d’autres à travers les réseaux sociaux, défendent la thèse de l’accident.
La famille se dit « persuadée » qu’il s’agit d’un « assassinat », tout en se gardant d’accuser qui que ce soit, et disant s’en remettre à l’enquête et au verdict de la justice.
« Ce dont nous sommes persuadés aujourd’hui, (c’est que) ce n’est pas un accident, c’est un crime », a-t-il martelé, évoquant « des coups » qu’auraient reçu la victime, selon des « témoins oculaires ».
Il a déploré le fait qu’un individu soutienne à travers les réseaux sociaux qu’Amar Mbaye a été victime d’un accident, et que sa moto aurait fait une ‘’embardée’’, le tuant ‘’sur le coup’’.
‘’Ce tapage médiatique concoure à faire avaler à l’opinion la thèse de l’accident, or nous, nous ne sommes pas dans cette dynamique. Il n’y a pas eu accident, il a été assassiné’’, a-t-il poursuivi, non sans ajouter : ‘’l’autopsie nous persuade que ce sont des coups’’.
M. Mbaye, ancien directeur d’école, a dit s’être attaché les services d’un ‘’spécialiste’’. Il a relevé que le défunt ne présentait aucune égratignure sur le reste de son corps. ‘’Il y a eu au moins trois fractures au niveau du coup et de la mâchoire et du même côté’’, a-t-il dit.
Selon lui, l’autopsie réalisée le 20 août dernier à l’Hôpital Aristide Le Dantec de Dakar, fait état d’un ‘’traumatisme cervico-facial, avec fractures multiples, hémorragie interne et externe de grande abondance’’.
Le dossier est entre les mains du juge du premier cabinet, a dit Mafatim Mbaye, qui a invité le tenant de la thèse de l‘accident, à aller voir le juge d’instruction, ‘’s’il est sûr de ce qu’il dit’’.
Pour quelqu’un qui aurait fait une ‘’embardée’’, comment ‘’par extraordinaire’’ la moto, le corps de la victime et le sac de sel qu’il transportait et qui étaient censés être ‘’dans le décor’’, se sont retrouvés côte à côte au milieu de la route, d’où ils n’ont été enlevés que deux heures plus tard, s’est-il interrogé.
Il a aussi relevé le fait que la moto de la victime est restée intacte, après le présumé accident. Mafatim Mbaye a, en outre, déploré le fait, selon lui, que des ‘’témoins oculaires’’ qui se sont engagés à témoigner ont, selon lui, ‘’reçu des menaces de mort’’.
‘’Nous leur avons demandé de porter plainte. Ce qu’ils ont fait’’, a-t-il rapporté, annonçant que lesdits témoins seront conduits au juge d’instruction pour raconter ce qu’ils ont vu. Il a dit tenir à ce que ‘’justice se fasse, quel qu’en soit le coût’’.
‘’La police, c’est un corps que nous respectons, mais il y a une gangrène qu’il faut extirper’’, a-t-il dit, faisant appel au ministre de l’Intérieur, à revoir la formation.

Magal de Touba : Un dispositif de sécurité et un cordon sanitaire mis en place pour l’évènement

Le comité d’organisation du Magal de Touba et les autorités administratives de la région de Diourbel ont souligné la nécessité de mettre tout en œuvre pour éliminer les eaux stagnantes sur la chaussée, à Touba, avant la célébration de l’événement religieux.
Cette demande a été formulée mercredi, lors du comité régional de développement (CRD) présidé par le gouverneur de région, Gorgui Mbaye, en présence de Serigne Bassirou Abdou Khadr Mbacké, président du comité d’organisation du Grand Magal de Touba.
« La situation particulière de la ville de Touba, avec ses zones inondables, nécessite des mesures hardies pour résoudre le problème des inondations », a souligné le maire de la ville, Abdou Ahad Kâ.
Il s’agit, selon lui, de libérer tout le plan de circulation des eaux 15 jours avant le Magal.
Plusieurs solutions sont envisagées pour résoudre ce problème qui nécessite des moyens importants.
Des motos-pompes, camions hydro-cureurs, descentes électriques etc. seront utilisés pour évacuer l’eau vers des déversoirs.
Pour la consommation en eau de la ville de Touba, une nette amélioration est attendue. « Il n’y aura pas de pénurie d’eau lors du Magal grâce aux 29 forages de la ville qui vont fonctionner bien avant l’événement », a assuré le directeur général de l’OFOR, l’Office des forages ruraux.
Concernant le volet sécuritaire, le dispositif est laissé à l’appréciation de la hiérarchie.

Le représentant du commandement de la zone a indiqué qu’un hôpital militaire sera installé avec un hélicoptère pré-positionné, un poste de sécurité avec des ambulances, deux camions citernes et deux unités de boulangerie capables de produire 12.000 pains/jour.

Dans leur cahier de charges, il prévoit la démolition de trois châteaux d’eau présentant des risques d’effondrement à Touba.
La gendarmerie a saisi l’occasion de cette réunion pour demander à l’Agéroute de réaliser une piste d’atterrissage et la mise en place de postes avancés à Touba Fall, Missirah et Kael.

Aussi, 3000 à 5000 agents de police et des détachements de la sécurité publique sont attendus.

Les motos Jakarta ainsi que les charretiers seront interdits de circulation sur les voies bitumées et les plans annexés de circulation seront faits par la mairie.
Sur la voie publique et l’emprise ferroviaire, sera effectué un désencombrement pour libérer la voie.
De même, les points relatifs aux laisser-passer, aux foirails, à la fiabilité et l’effectivité du plan de circulation ont été abordés.
Pour les eaux-et-forêts, 1500 stères de bois, soit l’équivalent de 25 camions, sont prévus.
La Senelec, la société nationale d’électricité, prévoit d’importants travaux d’entretien du réseau électrique et la mise en place de groupes de secours.
Pour le volet santé, le médecin-chef de région a annoncé la mise en place de 10 ambulances médicalisées, pré-positionnées aux abords des résidences des hôtes.

Au total, 5000 agents de santé répartis dans 172 postes de prestation vont couvrir l’événement.

S’agissant de l’assainissement, l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) a reconduit ses engagements habituels dans la situation particulière de la cité religieuse et ses zones inondables.

Cependant, il reste encore des points à résoudre notamment le curage des caniveaux et il urge de mettre en place des endiguements pour augmenter la capacité de pompage.

Un entretien de la route nationale numéro 3 (RN3), de Séo à Touba, est nécessaire pour permettre aux voitures de rouler.
Pour le commerce, un relevé de stocks a permis de savoir que les denrées de première nécessité sont disponibles aux prix fixés par le gouvernement.
Le service de l’élevage va renforcer son équipe avec notamment l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.

45 agents de PCCI sans salaires depuis 14 mois, promettent d’assiéger la Sonatel d’ici vendredi

Les travailleurs du centre d’appels PCCI, 14 mois sans salaires, manifestent leur désarroi. Face à la presse, ces travailleurs exigent le paiement de leur argent. Ils sont au nombre de 45 agents, dont une vingtaine licenciée de façon abusive.

Bénéficiant de l’appui du mouvement Frapp/France dégage, le collectif des travailleurs de PCCI annonce une manifestation devant les locaux du siège de Sonatel, d’ici vendredi. « Les 45 agents travailleurs de PCCI sont restés 14 mois sans salaires. Et dans la convention l’Etat qui reçoit des milliards de FCfa doit payer une partie des salaires des employés.Nous avons gagné tous les procès qui nous ont opposés à PCCI concernant nos arriérés de salaires », a fustigé le coordinateur des travailleurs de PCCI, Youssou Ndao.

D’après ce responsable, il y a des manœuvres, qualifiées de frauduleuse de la part de Sonatel. « Nous avons une décision de justice et Sonatel peine à nous payer 400 millions de FCfa. Dans cette histoire, le ministre de tutelle, chargé d’accompagner l’emploi ne s’est jamais prononcé sur ce dossier depuis 18 mois. PCCI compte 1600 employés aujourd’hui. Et, il n’y a plus de service médical.

Face à cette situation dramatique, nous allons tenir en face du siège de la Sonatel une manifestation dans cette semaine », a promis le collectif.

 

N’Faly Kouyaté accuse British Airways d’avoir endommagé sa Kora d’une valeur de 4500 euros

Le musicien international d’origine guinéenne N’Faly Kouyaté accuse la compagnie britannique British Airways d’avoir endommagé sa kora d’une valeur de 4500 euros, pour l’avoir obligé à la mettre en soute alors que l’instrument était conçu pour pouvoir être emportée comme bagage à main et stockée dans des compartiments à bagages en cabine, rapporte la BBC.
N’Faly Kouyaté rentrait à Bruxelles en provenance de l’aéroport d’Heathrow de Londres le 18 août, après avoir joué avec son groupe, dans le Dorset.

Il a expliqué que le personnel du comptoir d’enregistrement avait convenu que l’instrument en bois était un bagage à main, et lui a donné une étiquette pour le confirmer.

Mais l’artiste ajoute qu’à son arrivée à la porte d’embarquement, un membre du personnel lui a dit que l’instrument devait aller dans la soute.

’’J’ai dit que c’était la première fois, depuis que j’avais reçu l’instrument, il y a environ dix-huit mois, qu’une compagnie aérienne me refuse l’autorisation de le prendre comme bagage à mains, mais elle a dit que la loi avait changé (…) et dit que si je refusais, on pourrait m’empêcher de monter à bord’’, a déclaré l’artiste à la BBC.

Il a affirmé qu’on lui avait dit que son instrument serait manipulé avec soin en tant que bagage de soute et que les étiquettes correspondantes seraient apposées sur son étui.

Mais, selon lui, lorsqu’il a récupéré la kora à l’aéroport de Bruxelles, son pont et sa selle étaient cassés et le corps endommagé.

N’Faly Kouyaté soutient que l’instrument ne peut plus servir et veut que British Airways paie pour sa réparation ou son remplacement.

British Airways, pour sa part, indique avoir ouvert une enquête sur ce qui s’est passé.

Né à Siguiri, en Guinée, N’Faly Kouyaté est un chanteur-compositeur, arrangeur, interprète, percussionniste (calebasse) et virtuose de la kora et du balafon.

Vivant à Bruxelles (Belgique) depuis 1994, il navigue entre afro-fusion, afro-pop, afro-électro et même afro-celte aux couleurs mandingues.

En 2001, il sort son premier album ’’N’na Kandjié’’, enregistré avec son groupe Dunyakan (La voix du monde).

Les pays de l’UEMOA présentent un risque de surendettement « faible ou modéré » (BCEAO)

Les pays de l’UEMOA présentent un « risque de surendettement faible ou modéré », à l’exception du Togo, révèle le rapport annuel 2018 de la BCEAO.
« […] à la faveur de l’Initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) et de l’Initiative d’Allègement de la Dette Multilatérale (IADM ), l’analyse de la dette des pays de l’Union montre une amélioration du profil des indicateurs d’endettement », indique le document.

A l’exception du Togo, « la mise à jour des analyses de viabilité de la dette effectuée dans les pays’’ membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine fait état d’un « risque de surendettement faible ou modéré », précise-t-il.

Il souligne cependant que pas un seul pays de l’Union « n’a accumulé d’arriérés de paiement sur sa dette extérieure, en 2017 ».
Forts de cela, ses auteurs estiment que « les Etats doivent poursuivre les réformes structurelles pour accroître leur potentiel de croissance et mettre en œuvre des stratégies d’endettement public compatibles avec la préservation de la soutenabilité à moyen et long terme de la dette publique ».
Néanmoins, selon les dernières données disponibles, « l’encours global de la dette extérieure des Etats membres de l’Union, à fin décembre 2017, est ressorti à 17.656,4 milliards de francs CFA ». Il était de « 15.658,6 milliards de francs CFA à fin décembre 2016, soit une hausse de 12,8% ».
Le rapport précise que le ratio de l’encours de la dette extérieure sur le PIB était de 27,5% en 2017 contre 26,1% un an plus tôt.

« Par pays, détaille le rapport, ce ratio s’est établi à 22,1% contre 22,4% en 2016 au Bénin, 24,0% contre 27,4% au Burkina Faso, 24,5% contre 23,1% en Côte d’Ivoire, 47,4% contre 42,9% en Guinée-Bissau, 24,4% contre 25,0% au Mali, 29,7% contre 28,2% au Niger, 36,6% contre 32,1% au Sénégal et 19,2% contre 19,4% au Togo ».