Sénégal: 110 cartons de faux médicaments saisis par la Douane

Cette opération de saisie de faux médicaments qui a eu lieu la semaine dernière est estimée à 63 millions de FCFA.

La semaine dernière a été très riche en saisie pour la Douane sénégalaise. Les agents de la Douane ont démantelé des réseaux de trafiquants de faux médicaments et du chanvre indien au Sénagal. Les agents du poste Keu Ayip ont mis la main sur 110 cartons de faux médicaments d’une valeur de 48 millions de Fcfa. La marchandise qui avait été cachée dans un carton frigorifique comprenait 18 cartons de 180.000 capsules de Sc Amoxilin, 20 cartons de 8000 comprimés de Viagra, 18 cartons de 360.000 ampoules de vitamine B12 injectable, 14 carton de 360.000 ampoules de Navic Sc, de vitamine C injectable, 20 cartons de 20.000 comprimés Cotrim, nous renseigne nos confrères de senegal7.com.

Dans la brigade de Gossas une cargaison de Faux médicaments d’une valeur estimée à 15 millions Fcfa a également été saisie. Dans les brigades de Kolda dans le Sud et Moussala à Kédougou respectivement 115 et 7 kilogramme de chanvre indien ont été saisi par la douane, toujours selon notre source.

Les faux médicaments ont déjà fait des victimes au Sénégal. C’est le cas de Kady Diallo qui témoigne au micro de nos confrères de I-médias dans leur édition de journal de 12h du 13 Novembre dernier.

« J’avais pris un médicament, un antipaludéen du nom de Maloxine (acheté à moins de 500 Fcfa). Après il a fait des effets sur tout mon corps. Ça commencé par des boutons au niveau de mes lèvres pour atteindre le reste du corps. Je ne parvenais ni à manger, ni à voir, ni à marcher », a confié la jeune dame.

Ces saisies s’inscrivent dans le cadre de la lutte contre la fraude commerciale et la criminalité transnationale.

 

Bientôt une loi sur la gestion des déchets au Sénégal

C’est ce qui ressort du discours de Benoit Cacheu, juriste au ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable, qui s’exprimait en marge d’un atelier de partage et de validation de l’avant-projet de cette loi.

Une loi sur la gestion des déchets dangereux sera bientôt validée au Sénégal.  Pour être efficace, cette loi se chargera de prévenir la nocivité des déchets dangereux, organiser leur collecte, règlementer les sites et installations de leur traitement et définir les rôles et responsabilités des acteurs intervenant dans leur gestion, entre autres.

D’après Benoit Cacheu, juriste au ministère sénégalais de l’Environnement et du Développement durable, « Cette loi vise à organiser la gestion écologiquement rationnelle des déchets dangereux au Sénégal pour assurer qu’ils ne créent pas de dommages à l’environnement et à la santé des personnes, aux animaux et aux écosystèmes naturels », a-t-il expliqué

Il s’adressait à la presse en marge d’un atelier de partage et de validation de l’avant-projet de loi sur la gestion des déchets dangereux au Sénégal.

« Avec cette loi, le Sénégal va transposer les dispositions des conventions de Bâle et de Stockholm dans ses lois nationales. Ce qui n’a jamais pu être fait, malgré la ratification par le pays desdites conventions », a indiqué Aïta Sarr de la Direction de l’environnement et des établissements classés.

 

La BM compte 977 milliards de FCFA d’investissement au Sénégal

L’essentiel de cette enveloppe couvre les domaines tels que l’agriculture, la santé, l’éducation, l’emploi des jeunes, et bien d’autres.

Le portefeuille de coopération de la Banque mondiale au Sénégal comprend actuellement 30 projets actifs pour un montant total d’environ 1710 millions de dollars US, soit environ 977 milliards de F CFA, a déclaré, mardi à Dakar, le ministre sénégalais de l’Économie, des Finances et du Plan, Amadou Ba.

Les domaines couverts par cette coopération portent pour l’essentiel sur l’agriculture, la santé, l’éducation, l’emploi des jeunes, le développement des compétences, le genre, la protection sociale, l’énergie, les transports et l’hydraulique qui restent des leviers importants pour tirer le Sénégal vers l’émergence, a expliqué Amadou Ba qui s’exprimait lors de la présentation de la Revue conjointe du Portefeuille des Opérations de la Banque Mondiale au Sénégal.

Poursuivant, il a indiqué que les différents projets du portefeuille enregistrent des taux d’exécution satisfaisants ces dernières années du fait, d’une part d’un suivi rapproché avec l’implication effective des équipes de la BM à travers l’organisation de missions conjointes de supervision, d’appui-conseil et une meilleure exploitation des rapports d’audit, et d’autre part, de l’utilisation du système électronique des décaissements (Client Connexion) qui raccourcit les délais de paiement.

De même, a-t-il ajouté, les retards déplorés il y a quelques années dans l’instruction des dossiers de marché ont connu une sensible amélioration avec le relèvement substantiel par votre Institution, des seuils de revue a priori et la suppression de la double revue pour les marchés d’un certain seuil.

Par ailleurs, le ministre des Finances a informé que la mise en œuvre des projets financés par la Banque mondiale a fortement contribué au bon comportement des agrégats macroéconomiques en 2018 avec un taux de croissance du PIB projeté à 7,0% et celui de 2019 à 6,9% grâce aux performances du secteur agricole, au redressement du secteur de l’industrie et à la consolidation de la dynamique des services.

Toutefois, a indiqué Amadou Ba, le déficit budgétaire a connu une légère dégradation due, entre autres, à la hausse des cours du pétrole qui est passé de 362,2 milliards (3,0% du PIB) en 2017 à 475,2 milliards (3,5% du PIB) en 2018.

Cependant, pour être inclusive et soutenable, la croissance du PIB doit être davantage génératrice d’emplois, surtout pour les jeunes générations et s’opérer dans un cadre de gouvernance et d’allocation des moyens publics rigoureux, a-t-il encore dit.

Par conséquent, la relance et la diversification des moteurs de croissance du pays nécessitent une meilleure synergie entre l’offre de formation et le marché du travail ainsi que la mise en place d’un cadre propice à l’investissement privé générateur d’emplois et de revenus, a-t-il conclu.

 

 

Casamance : électrification de 25 villages d’ici la fin d’année

L’électrification de ces villages est une initiative de l’Union Européenne à travers le programme dénommé « Développement durable par les énergies renouvelables du Sud-est du Sénégal »

L’électrification de 3000 ménages dans 40 villages et une centaine d’infrastructures de base (école, hôpitaux, lieux de culte, lieux communautaires) sont ciblés par le programme « Développement durable par les énergies renouvelables du Sud-est du Sénégal », financé par l’Union Européenne, à travers le Centre pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique de la CEDEAO.

Pour un début nous apprend l’un des promoteurs, plus de 25 villages sur les 40 seront électrifiés d’ici la fin du mois de décembre 2018 dans la zone sud-est par un projet d’installation de mini-centrales d’énergies propres.

Pour la réalisation de ce grand projet, plusieurs acteurs sont associés notamment l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER) et d’autres partenaires techniques, dont Energie R.

« Sur les 40 villages ciblés, plus de 25 seront électrifiés dès le mois de décembre. Tous les travaux d’installation seront terminés avant la fin du mois de novembre. Ces 25 village auront de l’électricité avant la fin du mois de décembre », a expliqué Cheikh Wade, responsable du contrôle et du suivi à l’ECREE.

En visite dans les régions de Kolda et Ziguinchor avec des responsables et techniciens de l’ASER, M. Wade a assuré que les autres villages ciblés par le projet seront bientôt connectés.

« Au cours du déroulement du projet, des villages ont été enlevés et remplacés par d’autres qui sont plus qualifiés parce que le projet vise essentiellement les localités qui sont très éloignées du réseau existant », a-t-il justifié.

« Dans la plupart des villages, les travaux liés au génie civil, à la mise en place du réseau sont terminés. La partie solaire est presque aussi en phase terminale. Le projet vise essentiellement les villages qui sont très éloignés du réseau de la SENELEC où, d’ici 15 ou 20 ans, ils ne pourront jamais été branchés »  au réseau, a souligné Cheikh Wade.

Les villages ciblés par le projet auront un « réseau assimilable » à celui de la SENELEC. « Pour l’accessibilité, des études et des enquêtes préalables ont été effectuées pour mesurer la capacité des villageois à pouvoir payer les factures. Mais ces derniers auront la possibilité de développer plusieurs activités génératrices de revenus », a-t-il poursuivi.

Les techniciens de l’ASER et les promoteurs du projet ont salué la collaboration des autorités administratives et locales « dans l’accompagnement sur le terrain, surtout dans les zone les plus sensibles de la Casamance ».

Ce projet d’électrification de 40 villages vise aussi 150 petites et moyennes entreprises évoluant dans près de 20 aires d’affaires, dans les régions de Kolda, Ziguinchor, Sédhiou, et une partie de Tambacounda.

Selon les promoteurs, il sera installé dans les localités ciblées, 40 mini-réseaux électriques alimentés par des mini-centrales photovoltaïques d’une capacité totale de 800 KWC.

 

154 millions pour la construction des infrastructures dans 3 communes de Thiès

Cet argent est destiné pour les travaux de construction des infrastructures éducatives, sanitaires dans les communes de Pout, Mont-Rolland et Keur-Moussa

Le maire de Keur-Moussa, El Hadji Momar Ciss, a procédé le 12 novembre au lancement des travaux de construction d’infrastructures sanitaires et éducatives prévues dans les communes de Pout, Mont-Rolland et Keur-Moussa, pour un coût de 154 millions de francs CFA, a appris l’APS.

Niakhip (Keur Moussa) a abrité le démarrage officiel des travaux auquel ont pris part des notabilités locales, avec la pose de la première pierre le même jour du CEM dont le chantier démarrera « demain ou après-demain » pour un coût de 50 millions de francs CFA.

Il devrait être fonctionnel dès l’année prochaine, annonce la société Dangote Cement Sénégal (DCS), à l’origine de ces investissements qui s’inscrivent dans le cadre de la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE).

Ces infrastructures sont composées d’un collège d’enseignement moyen (CEM) et d’une maternité. Elles seront construites respectivement à Niakhip, dans la commune de Keur-Moussa, et à Pout.

A Fouloum, dans la commune de Mont-Rolland, la cimenterie prévoit de construire, « sur fonds propres », un « poste de santé flambant neuf », en plus de la réhabilitation d’une école primaire, en partenariat avec les Carrières de Diobass.

La première pierre de la maternité de Pout a été posée dans l’après-midi et sera suivie mardi, de celle du poste de santé de Fouloum (Mont-Rolland).

Ces travaux sont considérés par la société de production de ciment, comme « les plus importants (qu’elle a) consentis depuis le démarrage de ses activités de RSE au Sénégal en 2007 ».

 

Saint-Louis : 7eme édition des journées médicales gratuites des pharmaciens

Ces journées qui se tiendront du 19 au Novembre prochain sont une initiative de l’Amicale des pharmaciens dans cette région.

collaboration avec les associations de quartiers, l’amical des pharmaciens de la région de Saint-Louis, organisent à partir du 19 au 30 novembre, la 7eme édition des journées médicales au profit des populations des départements de Dagana, Podor et Saint-Louis, annonce un communiqué reçu à l’APS.

Ces consultations gratuites avec dons de médicaments et de moustiquaires imprégnées du nord, sont initiées par l’amicale des pharmaciens en partenariat avec l’association humanitaire belge ‘’SEENEGAL SANTE DU NORD’’, l’association française ‘’SAMBO EDUCATION SANTE’’ et les structures sanitaires et administratives de la région de Saint-Louis, précise le communiqué.

La mission médicale associative et les partenaires belges et français retiennent la dispensation humanitaire de soins de qualité à Saint-Louis, pendant la mission médicale fluviale itinérante ciblant les agglomérations sur le trajet du mythique ‘’BOU EL MOGDAD’’, à Richard Toll, Dagana et Podor, souligne la même source.

 

Cours d’appel : des magistrats à l’école du DIH

A l’initiative du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et du Centre de Formation judiciaire (CFJ), les magistrats des Cours d’appel du Sénégal vont bénéficier d’une formation sur le droit international humanitaire (DIH)

les magistrats de la cours d’appel du Sénégal débutent ce lundi 12 novembre, une formation de trois jours sur le droit international humanitaire.  « Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et le Centre de Formation judiciaire (CFJ) du Sénégal ont mis sur pied une formation continue des formateurs en droit international humanitaire (DIH) à l’attention de 15 Magistrats des ressorts des 5 Cours d’appel du Sénégal », indique un communiqué reçu des initiateurs. D’après ce même communiqué cette formation se fera sur trois ans et pour cette première phase c’est la localité de Somone qui va accueillir cette initiation des hommes de loi du 12 au 14 Novembre 2018.

Le droit international humanitaire (DIH) « établit des règles précises qui cherchent à limiter les effets des conflits armés », rappelle que le communiqué, ajoutant qu’il « protège en particulier les personnes qui ne participent pas ou plus aux combats, et fixe des limites aux méthodes et moyens de combat ».

Le CICR « contribue à soutenir les Etats pour qu’une expertise technique nationale en matière de DIH se développe pour permettre la promotion des capacités nationales aux fins de renforcer la protection des victimes des conflits armés ».

Pour Charles Sanches, conseiller juridique de la délégation régionale du CICR à Dakar, « la répression pénale des infractions graves au DIH est un élément essentiel pour en assurer le respect ».

« Le rôle des tribunaux nationaux ainsi que des magistrats sénégalais dans la mise en œuvre du DIH est crucial. L’objectif de la formation continue est donc de renforcer les connaissances fondamentales en DIH des magistrats pour une meilleure réponse aux infractions du DIH », soutient-il.

Le communiqué rappelle qu’en sa qualité de « gardien » du droit international humanitaire, le CICR « soutient les activités de formation visant à faire mieux comprendre cette branche du droit aux magistrats ».

« En tant qu’organisation humanitaire neutre et indépendante, le CICR n’intervient en aucune façon dans les enquêtes, les poursuites ou les sanctions prononcées contre les auteurs d’infractions », ajoute le texte.

 

CAN de Slam : Abdourrahmane Dabo remporte la 1ère édition

Le Sénégalais Abdourrahmane Dabo alias Al Faruq a remporté la première édition de la Coupe d’Afrique de slam poésie (CASP) qui s’est tenue, à N’Djaména au Tchad.

Al Faruq a battu en finale le Sud-africain Thuthukane Myeza, au cours d’une belle soirée, rehaussée par la présence de slameurs issus de 36 pays africains.

« Le représentant du Sénégal a su manier la langue de Molière avec des phrases rythmées et des jeux de mots qui n’ont laissé aucune chance à son adversaire sud-africain. Le public a été très fan du Sénégalais », a confié à APA un membre du comité d’organisation.

En plus d’un trophée le champion d’Afrique du slam a reçu un chèque de l’Association Tchad Plus. La troisième place de la compétition est revenue au Gabon, représenté par Lens Ulrich Kami.

Le jury a remis à chacun des candidats une attestation de participation.

 

Tambacounda : 162 villages de la région disent non à l’excision

Quelque 162 villages des départements de Tambacounda et Goudiry (est) ont déclaré dimanche avoir renoncé à la pratique de l’excision et des mariages précoces.

La déclaration d’abandon a été faite lors d’une cérémonie à Goumbayel, un village situé dans le département de Goudiry, au terme de la mise en œuvre du Programme de renforcement des capacités communautaires, exécuté par l’ONG Tostan pour mettre fin à la pratique de l’excision.

Ce programme a été mis en œuvre au profit de « 42 communautés » vivant dans les deux départements.

Selon l’ONG Tostan, « 24 des 42 communautés » bénéficiaires du programme ont pris part à la cérémonie marquant la déclaration d’abandon de l’excision et des mariages précoces.

Seize autres communautés, parmi les 42, ont déjà fait leur déclaration d’abandon, et deux autres restent « sceptiques » à l’idée d’abandonner l’excision, selon un document de Tostan.

Le village de Goumbayel, situé à environ 80 kilomètres de la ville de Tambacounda, avec une population de quelque 2.500 habitants, a été ‘’un participant actif’’ du Programme de renforcement des capacités communautaires.

Ce village abrite, depuis 2011, un centre dédié à la sensibilisation des populations, pour les emmener à renoncer à l’excision et aux mariages précoces.

« Ses populations ont pris des engagements qu’elles vont respecter », a assuré la coordinatrice nationale de Tostan Sénégal, Rose Diop, lors de la cérémonie de déclaration d’abandon.

De 1997 à maintenant, 6.749 villages sénégalais ont définitivement renoncé à la pratique de l’excision et des mariages forcés ou précoces, selon Mme Diop.

Un « mécanisme » sera mis en place pour assurer le suivi des déclarations d’abandon, a-t-elle annoncé, ajoutant que cette initiative sera dirigée par le ministère de la Femme.

 

L’AIBD certifié par l’OACI

L’Aéroport internationale Blaise Diagne (AIBD) a obtenu la certification de l’OACI, sésame qui place désormais la plateforme aéroportuaire sénégalaise parmi les plus modernes au monde.

La cérémonie de remise du certificat d’aérodrome a eu lieu hier, jeudi 08 décembre, juste à un mois du premier anniversaire de l’Aibd.

L’Aéroport internationale Blaise Diagne a désormais le statut d’aéroport certifié. En clair, les installations et l’exploitation technique de l’AIBD répondent désormais aux spécifications internationales de l’annexe 14 de l’OACI. L’AIBD a reçu hier le Certificat d’Aérodrome délivré par l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile-OACI. Ce, suite à un audit portant sur l’alignement des équipements, infrastructures et services aéroportuaires aux standards de l’OACI. La certification signifie également que la plateforme aéroportuaire est capable de continuer à y répondre pendant la période de validité du certificat.

Le Directeur général de l’ASECNA, Mohamed Moussa, et le Directeur régional de l’OACI, Mam Sait Jallow, ont réaffirmé le soutien de leurs institutions «pour l’amélioration continue de la sécurité et de la qualité des services rendus», mais aussi «pour un système de transport aérien robuste et jouant pleinement son rôle d’appui au développement économique et social du Sénégal».

Le ministre des Transports Aériens et du Développement des Infrastructures Aéroportuaire qui a présidé la cérémonie, a souligné qu’avec ce nouveau statut d’aérodrome certifié, AIBD renforce sa crédibilité et son image vis-à-vis de ses partenaires et des compagnies aériennes ». Maïmouna Ndoye SECK ajouten: « cela contribue également à l’atteinte de nos objectifs de faire de Dakar-Diass, le 1er hub aérien d’Afrique de l’Ouest avec un trafic de 5 millions de passagers par an à l’horizon 2023 et 10 millions par an à l’horizon 2035. »

Dès la fin de ce mois, l’AIBD va accueillir une nouvelle équipe d’inspecteurs dans le cadre des audits de suivis, a annoncé le Directeur 4énéral de LAS Xavier Mary. «Le travail ne s’arrête pas là, nous devons veiller au maintien de notre certificat et à son évolution, tel un pilote d’avion, nous devons surveiller continuellement notre altitude et notre vitesse», recommande-t-il.

A noter que cette certification est devenue une exigence de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) pour tout aéroport recevant un vol international.