Jugé moyen en équipe nationale: Cissé défend Sadio Mané

Le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a défendu Sadio Mané jugé moyen en équipe nationale par rapport à ses prestations éclatantes avec Liverpool où il fait office de métronome dans le dispositif de Jörgen Klopp.

Les prestations de l’attaquant des Reds suscitent le débat après chacune de ses sorties enflammées en club. Sadio Mané de Liverpool n’est pas le même qu’en équipe nationale où il peine à assumer son statut de leader technique.

Interrogé sur la question, son entraineur en sélection a tout simplement pris la défense de son n°10. ‘’Ce n’est pas uniquement Sadio Mané qui est dans cette situation. D’autres grands joueurs du continent, voire du monde, ont eu, dans le passé, ces difficultés, en comparaison avec leurs performances en équipe nationale et en club’’. Selon Aliou Cissé, les réalités ne sont pas les mêmes. ‘’En équipe nationale, c’est différent avec le club. La préparation n’est pas la même, encore moins les conditions de travail’’, a-t-il fait comprendre. ‘’Sadio Mané, croit-il, fait partie des grands joueurs de notre équipe nationale, mais aussi du continent africain, pour ne pas dire du monde. Son talent, aujourd’hui, n’est plus à démontrer’’. L’ancien capitaine des Lions est convaincu que l’ex-joueur du Fc Metz a répondu présent lors des grandes réalisations de l’équipe nationale. ‘’Il est présent lors des matches décisifs en marquant un but ou en servant une passe décisive’’.

Cissé a aussi rejeté l’idée selon laquelle les prestations en demi-teinte de Mané sont dues à un choix tactique. ‘’Sadio Mané est un grand joueur qui a eu à évoluer dans d’autres clubs où il jouait en 4-4-2 ou en 4-2-3-1, mais son talent est resté le même. Il continue à être ce joueur de percussion capable de faire la différence’’, a-t-il soutenu.

Le coach dit comprendre ‘’l’énormité des attentes’’ sur le natif de Bambali. Mais, martèle-t-il, ‘’seul, il n’y arrivera pas’’. ‘’Il a besoin du soutien de tout le monde pour aller de l’avant et aider cette équipe nationale’’. Aliou Cissé a exprimé sa satisfaction quant à la qualité du groupe qu’il dispose et de ‘’l’état d’esprit’’ de ses hommes. ‘’J’ai envie de féliciter mes joueurs. Ce sont de vrais patriotes. Je suis fier de leur comportement. Regardez les conditions dans lesquelles on s’est entraîné et joué contre Madagascar, ils sont restés très professionnels et concentrés. C’est des attitudes que j’ai envie de voir en équipe nationale’’, a-t-il magnifié.

MCC : Washington et Dakar démarrent les négociations pour un second Compact

Le Sénégal et les États-Unis démarrent, ce lundi, les négociations pour la mise en place d’un second Compact. Ces discussions, prévues à Washington, dans le cadre du Millenium Challenge Corporation, dureront 5 jours, renseigne l’Unité de formulation et de coordination du second programme Mca-Sénégal dans un communiqué parvenu à Seneweb.

«Ces négociations interviennent à l’issue d’un processus entamé en 2016 et mené de manière inclusive à travers une consultation et une implication des acteurs privés, publics et de la société civile. En outre, elles permettront aux deux parties de convenir des contours techniques légaux et opérationnels de ce second Compact conçu pour accompagner les objectifs ambitieux du gouvernement du Sénégal dans le sous-secteur de l’électricité, énoncés dans le Pse», renseigne le communiqué.

L’Unité de formulation et de coordination du second programme Mca-Sénégal informe que les investissements inscrits dans ce second Compact vont accompagner le Sénégal dans sa volonté de réduire la pauvreté à travers la croissance économique en faisant de l’électricité un service accessible et à moindre coût.

«C’est une mise en œuvre réussie de son premier Compact et compte tenu des performances réalisées par le pays en matière de bonne gouvernance, de liberté économique et de l’investissement dans le capital humain, que le Sénégal a été déclaré éligible, en décembre 2015, à poursuivre sa collaboration avec le Gouvernement américain pour la formulation d’un second programme MCA-Sénégal dont la signature est prévue en décembre 2018», précise la même source.

Pour rappel, le Sénégal avait bénéficié de plus de 250 milliards de francs Cfa d’investissements dans le premier Compact.

Présidentielle 2019: Le Pds ne boycottera pas, mais…

Le Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) ne boycottera pas l’élection présidentielle de février 2019. Mais il en empêchera la tenue en cas d’invalidation de la candidature de Karim Wade.

La mise en garde est du responsable libéral Amadou Sall. Il n’y aura pas de Présidentielle sans Karim. Me Amadou Sall a fait savoir que son parti « n’acceptera pas qu’une élection soit organisée sans son candidat désigné, Karim Meïssa Wade.

A l’en croire, le Pds ne boycottera pas l’élection présidentielle de 2019, mais empêchera sa tenue si leur candidat est exclu de la compétition.

«La candidature de Karim n’est pas un problème technique, mais un problème politique. Et si elle est rejetée, nous ne boycotterons pas l’élection, mais nous en n’empêcherons la tenue», a avisé Me Sall.

Il poursuit : «Le problème se réglera sur le terrain politique et Macky Sall n’a qu’à marcher sur nos cadavres ou nous mettre en prison parce que s’il veut la guerre, on lui donnera le feu».

A l’en croire, Macky Sall est à la manœuvre d’une justice aux ordres. (…) « Karim Wade n’a pas un problème avec la Justice, mais il en a avec Macky Sall », a martelé Me Sall. Il était l’invité d’Objection (Sud Fm), ce dimanche.

Aliou Sow tacle Sonko : « Nous n’avons pas de leçons à recevoir de lui »

Le leader du Mouvement patriotique pour le développement (MPD/Liggey) s’est prononcé sur l’occupation de l’espace médiatique par certains responsables.

En effet, docteur Aliou Sow n’a pas mis de gants pour fustiger ce qu’il considère comme des manœuvres politiciennes qui consistent à faire des déballages, des révélations fracassantes pouvant même fragiliser les institutions de la République. A ce titre, il a nommément cité et sans ambages le président du Pastef Ousmane Sonko qui, selon lui, n’est pas à même de leur donner des leçons.

Mieux, ce membre du Haut conseil des collectivités territoriales d’ajouter : »Un candidat de parti ou de coalition qui ne jouit pas d’un électorat pour un poste à l’Assemblée nationale siège par-dessus tout au plus fort reste et qui se permet de faire des sorties incendiaires à travers une surmédiatisation pour jeter du discrédit au pouvoir en place après avoir été dans la fonction publique n’est pas crédible de se voir attribuer les destinées de ce pays ».

Sous ce rapport, Aliou Sow a salué la mémoire de Bruno Diatta qui était entièrement dévoué au service de l’État et en silence. « L’État, c’est une tombe. Bruno Diatta doit inspirer tout le monde par son silence dont il a fait preuve en étant au plus sommet de la République » souligne-t-il.

Pour finir, l’ancien ministre sous l’ère Wade a invité les autorités à pendre toutes les mesures appropriées pour assainir l’espace médiatique.

Relations heurtées dans les minibus – Les receveuses accusent les passagers

Qualifiées de fragiles et trop belliqueuses pour se tailler une place dans les transports publics, les femmes dégagent en touche, tout en se déchargeant sur les usagers. Elles reconnaissent tout de même quelques difficultés.

‘’Nul n’est méchant volontairement’’. Ce déterminisme d’Emile Durkheim, Ndèye y croit fermement. Cette receveuse de la ligne 75 reliant Keur Massar à la gare routière de Colobane, souligne que le comportement des femmes dépend de l’attitude des passagers. ‘’Aucune receveuse n’est aigre volontairement. Ce sont les clients qui nous poussent à l’être. Ils nous répondent d’une manière sèche. Ce qui déclenche notre colère. Certains nous sous-estiment. Or, nous sommes tous des êtres humains. Si je demande à un client de céder le passage ou de se tenir correctement, s’il refuse, je ne réagis même pas. Je le laisse faire et me concentre sur mon travail’’, se défend-elle, le visage fermé. Dans son bus stationné à Colobane, celle qui s’est lancée dans le secteur, il y a quelques mois, décompte, avec un autre receveur, le nombre de tickets qui lui reste de son dernier voyage.

Cette jeune fille, la vingtaine, ne se laisse pas décourager par le comportement ‘’désagréable’’ de quelques clients. Elle n’en fait même pas cas. Pour elle, le plus dur dans son travail, c’est le fait de se réveiller tôt, chaque jour, et non pas l’attitude des passagers. ‘’Les gens qui disent que les femmes ne peuvent pas résister dans le secteur du transport racontent ce qu’ils veulent. On peut bel et bien le faire. Il suffit juste d’avoir la passion et la volonté. Pour le reste, Dieu va s’en charger’’, lance-t-elle.

A quelques pas du lieu de stationnement de sa ligne, une autre femme est au milieu des hommes. Feuilles et stylo à la main, cette dame, la trentaine, est régulatrice de la ligne 33. Comme Ndèye, elle aussi accuse les clients. ‘’On rencontre toutes sortes de clients. Certains sont bien éduqués, d’autres non. Il y a aussi des gens qui se fâchent chez eux et veulent déverser leur bile sur les receveurs. Souvent, il suffit de leur demander de céder le passage ou de se tenir bien pour qu’ils deviennent agressifs. Pourtant, ce n’est pas trop demander. Mais chacun a sa vision des choses’’, renchérit cette régulatrice sous couvert de l’anonymat.

Elle invite les Sénégalais à faire preuve de discernement pour ne pas mettre toutes les receveuses dans le même sac. Mais surtout à faire preuve de considération et de ne pas les mésestimer. ‘’Il faut aussi que les gens nous respectent. S’ils vont dans un bureau, ils vont s’adresser correctement à la personne qu’ils trouvent sur place afin qu’elle règle leurs besoins. Pourquoi ne pas faire autant avec nous ? Ces caves sont nos bureaux. Peut-être cela est dû à la nature de notre travail’’, plaide la jeune dame.

Par ailleurs, ajoute cette régulatrice de la ligne 33, les clients ne sont les seuls à être désagréables dans ce secteur. ‘’Des fois, on demande aux chauffeurs de prendre le départ, mais ils refusent. Ils se querellent avec les régulateurs et même parfois se battent. Personnellement, je n’en arriverai pas jusque-là. A chacun de voir comment faire son travail dans le respect des normes. Je pense que les femmes peuvent percer dans ce secteur. Il suffit juste qu’elles aient la foi et la volonté pour y arriver’’, dit-elle.

‘’On se lève à 4 h du matin et on rentre à 22 h, voire 23 h. Ce n’est pas évident pour une mariée’’

Toutefois, ces femmes admettent que c’est ‘’compliqué’’ d’être dans le secteur du transport public, compte tenu des horaires. ‘’Il est difficile de gérer son foyer et son boulot. On se lève à 4 h du matin et on rentre à 22 h, voire 23 h. Ce n’est pas évident pour une mariée. Si on est célibataire, le problème majeur auquel on fait face, ce sont les agressions. On rentre avec d’importantes sommes d’argent qui ne nous appartiennent pas. En cas de problème, on se retrouve dans le pétrin’’, souligne Nafy. En guise d’exemple, cette receveuse fait remarquer qu’il arrive qu’une dame habite les Parcelles-Assainies et doive aller tôt le matin à Colobane, ou à Bargny pour démarrer sa journée. ‘’C’est compliqué’’, gémit-elle.

Cependant, précise-t-elle, il n’y a pas de concurrence avec les hommes. ‘’On travaille dans la fraternité. On les considère tous comme nos propres frères, nos pères. C’est pourquoi, nous n’avons aucun souci. Certains nous conseillent. Nous acceptons le fait qu’ils connaissent le secteur mieux que nous, dans la mesure où, ils y ont été avant nous. En plus, ce qu’ils peuvent faire, nous ne le pouvons pas. Pour moi, une femme ne doit pas être en concurrence avec un homme. Car si nous essayons d’entrer dans ce jeu, nous serons les grandes perdantes. Ils maitrisent les choses mieux que nous’’, avoue Nafy, toute souriante.

Toutefois, ajoute-t-elle, vu l’évolution de la société, on ne peut pas dire qu’un métier soit réservé ‘’exclusivement’’ aux hommes. Car les femmes sont partout.

En effet, Mabelle a été taxi-woman pendant 5 ans. Cependant, dit-elle, le programme taxi-sister initié par l’ancien chef de l’Etat, Abdoulaye Wade, était ‘’trop difficile’’ pour une femme. ‘’J’ai eu un accident et la reprise était un peu pénible pour moi. C’était très grave. Je suis restée pendant deux ou trois ans sans même conduire. J’avais un peu peur de reprendre le volant’’, explique-t-elle.

Sentinelle de la révolution dans le transport public, le souhait d’Aïssatou est de voir, dans l’avenir, les femmes intégrer en masse ce secteur. ‘’Je dis souvent aux autres conductrices qu’il faut qu’on fasse tout pour bien faire notre travail. Ainsi, les recruteurs auront confiance en nous et pourront recruter d’autres femmes’’, se projette-t-elle. Néanmoins, cette battante reconnait que toutes les branches du transport en commun ne sont pas aisées pour la gent féminine. C’est le cas des bus Tata, des ‘’cars rapides’’ et ‘’Ndiaga Ndiaye’’. Un milieu qu’elle juge ‘’plus agressif’’.

Le procès d’Aby Ndiaye renvoyé le 05 Octobre prochain

La responsable Apériste écrouée pour Traffic de cartes d’électeurs n’est pas au bout de ses peines.
Le procès est reporté sur le 05 octobre sur demande de ses avocats, nous rapporte Sud Fm.

En ce qui concerne l’APR Mbour, ils ont pondu un communiqué pour se démarquer des agissements de la dame. Pour rappel, elle a interpellé avec un lot de cartes électeurs volés pour la campagne de parrainage par le commissariat de Mbour.

Depuis la dame est dans les liens de la prévention, elle sera fixée sur son sort le 05 octobre prochain qui coïncidera avec l’ouverture de son procès.

 

Toutes les femmes voudront sûrement une coépouse en regardez cette vidéo.

Cette Ibadou s’adresse aux femmes qui sont obnubilées par la jalousie. Ces femmes qui ne veulent en aucun cas avoir une coépouse.  Sur ce, l’ibadou qui anime la chaîne « Khoubou té Dagane » conseille aux femmes d’accepter d’avoir des coépouses pour prendre le temps de  s’occuper de leur bien être.

https://youtu.be/QGcG2rH61Sk

Oumar entre la vie et la mort après avoir été tabassé par des militaires français à Dakar

L’information a été relayée par Guy Marius Sagna, activiste et membre du mouvement « France Dégage ». Un sénégalais du nom de Oumar a été roué de coups par des militaires français stationnés à Dakar. Il serait dans un état critique, sa famille demande même de l’aide pour l’évacuer hors du pays.

La publication de l’activiste in extenso :

« Quand la Police sénégalaise assassine impunément des citoyens sénégalais pourquoi l’armée française, armée d’occupation, ne casserait pas du sénégalais ?

Chers Frères et sœurs Sénégalais et en humanité,

Je me permets de vous contacter pour vous informer d’un événement alarmant impliquant des militaires français stationnés à Dakar (Sénégal).

Dans la nuit du 16 Septembre 2018, cinq militaires Français en civil ont pris part à une altercation avec des jeunes sénégalais dans le restaurant le « Patio » aux Almadies de Dakar.
L’un de ces derniers prit plusieurs coups sur la tête avec une arme qui a été décrite comme un « poing américain ». Oumar WATT, le jeûne homme en question, âgé de 31 ans est actuellement dans le coma nouveau papa de deux enfants.

Il est diagnostiqué « de multiples contusions cérébrales, bi-frontales, temporales gauches et diencéphaliques ».

Selon le témoignage d’une personne présente sur les lieux, la scène s’est déroulée de la façon suivante :

Dans les environs de 5 heures du matin, Oumar et quatre de ses amis dont deux jeûnes filles profitaient tranquillement de leur fin de soirée dans le Club restaurant.
Ils furent interrompus par un groupe de cinq militaires français en civil qui ont commencé à taquiner les jeunes filles. L’un des sénégalais protesta alors en leur demandant d’arrêter de tourmenter sa « sœur ».

Les militaires étant en état d’ébriété, une bagarre éclate rapidement entre les 2 groupes. Dans l’intention d’apaiser la situation, Oumar se mit entre les principaux concernés afin de les séparer mais il reçut un coup sur la nuque de la part d’un des militaires. Cela lui fit perdre conscience automatiquement mais l’agresseur continua à lui rouer de coups malgré le fait qu’il soit déjà à terre.

Voyant une personne blessée, une foule se forme rapidement autour des faits et prit à parti le groupe des jeunes français qui voulaient fuirent les lieux. Il fallut l’intervention de la brigade de police pour diffuser la situation à l’aide de coups de semonce.

Oumar fut évacué au centre hospitalier national et universitaire de Fann où il est actuellement pris en charge.

Malgré la plainte déposée par la famille de Oumar, la détention en garde à vue des cinq militaires ne dura même pas vingt-quatre heures. Ils furent libéré dans la journée après une visite au commissariat d’un représentant de l’ambassade Française.

La famille de Oumar cherche à le faire évacuer en urgence en France et lance un appel à toute personne ou organisme pouvant aider Oumar à être pris en charge rapidement.

Rapporté par un membre proche de la famille ».

Tamkharit Admirez le Sagnsé de Adja, à couper le souffle

La  beauté étincelante, la reine du petit écran très classe. La très charmante femme de Pathé dans la série Adjia a encore fait étalage de toute sa classe. Depuis ses premiers pas, l’actrice ne cesse de prendre du volume avec une fan base qui connait une montée en puissance.

https://youtu.be/Avc8al_C6Qs

Abba No Stress et Ndèye Ndiaye sont des « jumeaux »

Ce vendredi 21 septembre, deux (2) de nos stars fêtent leurs anniversaires. Abba No Stress (humoriste) et Ndèye Ndiaye (actrice) célèbrent leurs naissances. Sur les réseaux sociaux, leurs proches leur souhaite « Happy Birthday ». Senego en a sélectionné les 2 meilleurs vœux.

1 – Abba No Stress toujours égal à lui même

2- L’actrice Ndèye Ndiaye : Découvrez le message touchant de son époux

« Ah Tay nak c’est jour spécial pour moi. Ma femme, ma vie, mon amour mo ayé nakk. kigua khamni dafama beugue bamou diékh takeu ma bolé woule léneu ak mane. une femme simple, aimable sans façon. Bagnalouma dara louma beugue mou neksiii. mougnalema yeureum ma beugue toute ma famille.

Sache que dale ma femme:

Tu m’a donné ce que je voulais et ce que je nécessitais
Ton amour, ta joie et ton humanité
Bon anniversaire ma femme, ma guérissante beauté. Je t’aime tay dou yombeu dalll nak le 21 septembre yaye borom nak.