Réduction des risques: Pour la décriminalisation de l’usage de la drogue

La réduction des risques (Rdr) est une approche qui se concentre sur les conséquences sanitaires et socio-économiques chez les consommateurs de drogue. Accusée de faire la promotion de l’usage, la méthode est ici défendue par le Docteur Hubert Traoré.

En matière de consommation de drogue, mieux vaut prévenir. Car, une fois que l’individu a goûté au ‘’fruit interdit’’, il lui est difficile de s’abstenir. Les premiers centres de soins spécialisés ont vu le jour dans les années 1970, en marge du système de santé. C’est l’épidémie galopante du Vih/sida, dans les années 1980, qui impose la réduction des risques (Rdr) comme l’approche la plus évidente et plus efficace pour lutter contre les dommages causés par l’usage de stupéfiants.

Selon le médecin en santé publique au Burkina Faso, Docteur Hubert Traoré, il n’y a pas de stratégie de prévention ou de traitement qui fonctionne sur tous les usagers. Il estime que l’important, c’est de proposer des options et de faciliter l’accès à un large panel d’interventions qui répondent aux besoins des usagers et les aident à rester en vie. ‘’Les individus et les communautés affectés ont besoin d’être impliqués dans l’élaboration et la mise en œuvre des stratégies de réduction des risques. Il ne s’agit pas de n’importe quels risques, mais ceux liés aux effets des produits consommés, au mode de consommation et les risques sociaux. Nous luttons pour que la loi soit plus flexible avec les consommateurs, pas pour les dealers’’, explique le Dr Traoré.

S’agissant des risques liés aux effets des produits utilisés, il y a les overdoses avec de multiples symptômes en fonction de la drogue consommée. S’agissant des conséquences, ils peuvent aller jusqu’au décès, en passant par la baisse de la vigilance pouvant conduire à des prises de risques sexuels susceptibles de découler sur les Ist/Vih/Vhb/Vhc (plus fréquent avec la cocaïne et ses dérivés), la dénutrition par manque d’appétit et le mauvais état bucco-dentaire. Il y a également la rétention urinaire, les troubles de la libido, la perturbation de cycles menstruels (héroïne), les complications cardiovasculaires, pulmonaires, neurologiques, rénales et oculaires (cocaïne) et les troubles psychologiques : altération du sommeil, troubles de l’humeur, troubles bipolaires, troubles psychotiques. Pour ce qui est des risques liés au mode de consommation, ils sont relatifs aux problèmes dermatologiques et cardiovasculaires. Il y a aussi les infections (bactériennes, virales, etc.) à transmission sanguine ou cutanée Vih, Vhb, Vhc, Tb, etc., du fait du partage du matériel de consommation. Les problèmes pulmonaires sont également notés avec des coupures, des brûlures, des ulcères, des plaies au niveau Orl et digestif.

Approche controversée

Concernant les risques sociaux, on peut citer les comportements antisociaux, les risques d’exclusion (familiale, amicale, professionnelle, sanitaire), l’itinérance et la stigmatisation, les risques judiciaires (incarcérations) et ceux liés au trafic et au deal (violences, répression policière, etc.) et à la pauvreté. A en croire le docteur Hubert Traoré, de prime abord, les gens sont sceptiques sur l’efficacité d’une approche comme la réduction des risques.

C’est pourquoi de nombreuses barrières persistent pour sa mise en œuvre. ‘’Beaucoup de gens soutiennent que la Rdr incite les usagers de drogues à en consommer, que son coût peut être utilisé pour réduire la consommation ou lutter contre les drogues ou soigner des personnes qui le méritent plus’’. D’après le médecin, il y a d’autres qui disent que c’est une approche qui ne facilite pas l’abstinence et met en danger la sécurité publique. Ainsi, certains individus ne manquent pas de les inviter à s’adresser à des personnes responsables et non à des usagers de drogue. Il y a aussi l’aspect juridique qui est reproché à la Rdr. ‘’Ceux qui disent que ce que nous faisons est une légitimation de l’usage de la drogue en contradiction avec les lois n’ont pas compris la valeur et l’importance de cette lutte que nous menons’’, se défend-il.

Historiquement, affirme-t-il, les programmes qui se focalisent sur la réduction ou l’arrêt de la consommation n’ont pas montré des résultats constants et satisfaisants. L’approche de la réduction des risques, par contre, est reconnue aujourd’hui comme une méthode efficace dans des contextes économiques, culturels et politiques variés, sauvant, du coup, d’innombrables vies.

Un mort et 40 blessés dans un accident à Goudiry

41 victimes dont un corps sans vie. C’est le bilan de l’accident survenu sur la Route nationale (Rn) n°1, sur le tronçon Goudiry-Tamba. Un bus malien s’est renversé vers 16 heures à trois kilomètres de Goudiry. Le bus évitait un camion qui venait dans le sens inverse.

Le correspondant de Radio Sénégal, qui donne l’information, précise que les sapeurs-pompiers viennent de boucler les opérations d’évacuation des blessés vers l’hôpital régional de Tamba.

Agé de 48 ans, le défunt est un homme de nationalité malienne. Parmi les blessés, 10 sont dans un état grave et 30 présente des blessures légères, rapporte la même source.

Démantèlement d’un réseau de trafic de migrants

La division de lutte contre la cybercriminalité de la Police nationale a démantelé un réseau de cybercriminels. Ils sont cinq (5) individus, tous des non-sénégalais à être arrêtés depuis le 8 septembre dernier et déférés au parquet.

Selon le lieutenant Mbaye Sady Diop qui animait une conférence de presse ce jeudi, la bande recrutait des candidats à l’émigration moyennant une somme allant de 500 mille à 1 million de fcfa. Elle utilise de faux papiers: passeport, visas cartes commerçant ou bulletin de salaire.

Une bande très organisée avec des filiales un peu partout dans la sous région et leur mode d’opérations est exclusivement sur les réseaux sociaux.

Macky Sall, le Libéralisme, et la BCEAO

Le Président Macky Sall poursuit l’inclinaison libérale de sa politique en fin de mandat et en perspective de la Présidentielle. Que ses alliés ou l’opinion publique le sachent ou non, cette option devient de plus en plus claire.  Son opposition peut se saisir du socialisme, libéralisme social ou socio-libéralisme qui perdent du terrain dans sa mutation ou comme nous le disions dans notre précédente contribution (Macky et Wade à la Croisée des Chemins) s’allier ou s’opposer à lui sur ce même registre du libéralisme. S’opposer ou s’allier sur ce même registre, car les alternatives ci-dessus mentionnées ont toutes déjà été essayées par tous les régimes y compris le sien lors de son premier mandat sans succès et avec comme résultat l’endettement et la vulnérabilité extérieurs qu’on a que trop bien connus dans les années 80-90.

La BCEAO, élément central qui accommode, accompagne, ou contrarie ces options stratégiques n’est malheureusement pas suivie et comprise par la classe politique et l’opinion. Elle a accompagné le financement indirect de nos déficits budgétaires avec une croissance par l’endettement sans progrès social significatif et avait entrainé le secteur bancaire dans cette option à travers le refinancement de leurs souscriptions aux titres d’états.  Elle est elle-même en train d’opérer la même mutation (nous y reviendrons) pour accompagner la nouvelle option libérale prise par les deux locomotives de l’UEMOA que sont la Côte d’Ivoire et le Sénégal.  Cette mutation est imposée par l’atteinte des limites du financement du leadership d’état de nos ambitions d’émergence, ce qui fait que des solutions au financement du secteur privé national et local, particulièrement des PMEs, sont devenues nécessaires.

En effet, dans le sillage de la dernière déclaration de politique générale du Premier Ministre, Macky Sall poursuit son changement de cap vers davantage de libéralisme et le confirme avec force dans le communiqué du conseil des ministres du 12 septembre 2018 en disant : «Le Président de la République insiste sur l’impératif stratégique de renforcer le rôle moteur et la place centrale du secteur privé, notamment local, dans le pilotage, le financement et l’exécution effective des projets et réformes du PSE ».

Auparavant, lors du Forum sur la réforme de l’administration en 2016, il mettait en avant son socio-libéralisme ou socialisme tout court, en interpellant son auditoire en ces termes : « On dit, avec raison d’ailleurs, que l’administration est le point cardinal de toutes les politiques de développement. Celui duquel partent toutes les dynamiques et celui vers lequel évidemment elles aboutissent…il me faut rappeler que le PSE a pour ambition de promouvoir une croissance économique forte et inclusive par une meilleure répartition des richesses nationales et une plus grande protection des couches vulnérables…S’adapter pour être une Administration de développement afin de mieux assumer son rôle de locomotive, vecteur de compétitivité et de performance ».

Le Président Macky Sall a donc changé de conviction par rapport au moteur de l’émergence. Nous disions déjà en 2014 suite à la première déclaration de politique générale du Premier Ministre Dionne que: «la transformation structurelle de l’économie sénégalaise ne se fera pas sous le leadership et l’impulsion de l’Etat mais bien celui du secteur privé national appuyé ».  Comment appuyer le secteur privé dans un système monétaire et financier où ni les banques, ni l’état n’ont les moyens de cet appui ? c’est l’extérieur avec l’endettement que cela induit (d’où les groupes consultatifs et les émissions d’eurobonds) et/ou c’est la BCEAO dans les contraintes actuelles de son régime de change où tout argent injecté à une forte chance de se retrouver en importations sans impacter le bien-être général.

Les émissions d’eurobonds du Sénégal et de la Côte d’Ivoire comme nous l’avions dit sont venues au « secours de la BCEAO et des banques » car elles ont permis de renflouer les réserves de change perdues par le BCEAO du fait de sa politique de financement indirect des états et la dépense des FCFA correspondants par les états est entrain de permettre aux banques de reconstituer leur liquidité propre. Dans ce contexte, l’endettement extérieur du Sénégal et de la Côte d’Ivoire va devoir se poursuivre jusqu’à ce que les réserves de la BCEAO et la liquidité propre des banques comme en 2010-2011 soient complétement reconstituées à leurs bons niveaux.  Il se posera alors la question de savoir comment financer l’économie si les banques n’ont pas l’intention de donner cette liquidité excédentaire aux PMEs du fait de contraintes objectives de risque de non remboursement effectivement constaté?

La BCEAO dans son activisme habituel et en réponse aux injonctions des états vient de créer un guichet de refinancement des crédits bancaires aux PMEs.  Comme pour le refinancement des titres d’états qui eux au moins seront toujours remboursés, ce financement des PMEs va également alimenter les importations et à terme des pertes de réserves de change et des crédits non performants dans le bilan de la banque centrale. Cette situation sera accompagnée d’une vulnérabilité extérieure de l’union car ce sont nos états qui auront financé cette option en donnant à la BCEAO les réserves de change nécessaires au financement de cette option et en entrainant une nouvelle fois les banques dans cet activisme socialiste.

Nous affirmons avec force que la BCEAO ne doit pas accompagner cette option stratégique dans son cadre institutionnel actuel.  Il lui faut d’abord une autonomie d’objectif sur le taux de change du FCFA qu’elle n’utilisera pas comme instrument de dévaluation compétitive mais comme instrument devant nous éviter des importations inutiles tout en garantissant la stabilité des prix. Dans ce cadre institutionnel nouveau, elle accompagnera la diversification progressive de nos économies et leur industrialisation. Le risque de crédits PMEs non performants sera réduit et pris en charge par les banques elles-mêmes et/ou les états par leurs propres mécanismes de garantie. C’est ça la responsabilité.

A défaut, nous exhortons les membres du comité de politique monétaire de la BCEAO et le Monsieur le Gouverneur de méditer les lignes qui suivent. Vous savez que les banques avaient en 2010-2011 de la liquidité bien au-delà des réserves obligatoires exigées et ne les prêtaient pas aux PMEs. Vous aviez l’option d’éponger cette liquidité avec des titres BCEAO ce qui vous aurait couté de l’argent et affecté vos revenus nets mais au moins vous auriez un peu plus d’influence sur les taux d’intérêt du marché comme vous le souhaitez.

Vous avez opté plutôt de laisser les banques prêter cet argent aux états pour ensuite les refinancer ce qui leur a permis de toujours garder de la liquidité au-delà du nécessaire chez vous mais cette fois-ci rémunérée.  Du fait de réserves de change perdues à cause de cette politique, vous avez réduit le volume de votre refinancement ce qui a crée en partie des tensions de liquidité sur le marché et les états sont venus à la rescousse en empruntant massivement à l’extérieur.  Ces emprunts en injectant de la liquidité sur le marché sont entrain de baisser les taux d’intérêt à vos adjudications en réduisant les besoins qu’avaient les banques à vos guichets.

Dans le même temps vous nous annoncez des taux directeurs de 2.50 minimum et 4.50 maximum à vos adjudications hebdomadaires de liquidité qui ne correspondent pas aux taux du marché monétaire libre qui sont au-dessus de vos taux car votre guichet marginal à taux 4.50 n’est pas automatique d’accès en dernier recours.  Même les taux que vous annoncez guider hebdomadairement montent et descendent en moyenne (4.10, 4.50, 3.77, 2.95 en 2018) de manière trop significative d’un trimestre à l’autre au grès de facteurs que vous ne maitrisez pas.  Vous ne contrôlez en réalité que votre volume de refinancement hebdomadaire qui suit la demande non maîtrisée des banques et bientôt les banques n’en auront presque plus besoin comme en 2010-2011.  A ce moment-là, vous devrez à défaut de déstabiliser le marché à nouveau vous en arrêter à presque un rôle de caisse d’émission que vous ne voulez pas accepter.

Il y a mieux à faire, mais malheureusement, cela relève du pouvoir politique. Le libéralisme est effectivement ce qu’il nous faut, mais il doit s’accompagner de la libération du FCFA et du libéralisme du pouvoir politique que nous n’avons jamais connu et qui semble enclenchée par nécessité. Pour une fois, anticipons avec vision plutôt que de corriger après erreur comme nous l’avons fait de 1975 à 2017.

Librement

Dr. Abdourahmane SARR

Président du CEFDEL/MRLD

Moom Sa Bopp Mënël Sa Bopp

Un immeuble de la cité Aliou Sow démoli par la Direction de la surveillance et de l’occupation des sols

La Direction de la surveillance et de l’occupation des sols (Dscos) a procédé, ce jeudi à la Cité Aliou Sow de Guédiawaye, à la démolition d’un immeuble. Le bâtiment a été entièrement réduit en débris, a constaté le correspondant de la Rfm. Au grand bonheur des habitants de la cité.

Ils jubilent : « Ils n’ont pas d’autorisation de construire et nous n’accepterons pas l’encombrement, a déclaré une habitant de la cité Aliou Sow. Nous ne serons jamais d’accord pour la construction de cet immeuble. Nous n’avons pas d’espace vert où peuvent jouer nos enfants. Ils veulent nous obstruer alors que l’on a droit un environnement sain. »

Un autre résident : « La Dscos était venue, il y a deux jours, pour les sommer d’arrêter le chantier, mais en vain. »

Du côté des victimes de la Dscos, c’est le désarroi : « On a acheté nos maisons à 28 millions hors taxe », s’esclaffe une propriétaire.
Selon la Rfm, la Société immobilière en charge de la construction de l’immeuble, s’est refusée à tout commentaire.

Fallou Sène : La veuve de l’étudiant et deux membres de sa famille recrutés

La veuve de Fallou Sène, l’étudiant tué par balles lors de manifestations à l’Ugb, a été recrutée à l’université de Bambey. Bineta Niang a signé un Contrat à durée indéterminée (Cdi) pour un poste de lingère au Centre des œuvres universitaires sociales (Crous). Elle commence au bas de la hiérarchie : Classe 1, niveau 1, 1re catégorie et 1er échelon.

Deux autres membres de la famille de l’étudiant tué ont également bénéficié d’un contrat de travail de l’État. Il s’agit de Moussa Sène, engagé comme commis administratif (Classe 2, niveau 1, 1re catégorie, 1er échelon) au Crous de Bambey, et de Serigne Fallou Sène (différent, bien sûr, du défunt), recruté comme agent d’entretien au Crous de l’université de Thiès.

Selon L’AS, qui donne ces informations dans son édition de ce jeudi, les contrats en question sont entrés en vigueur au début du mois de septembre.

Le journal signale que le dossier de l’enfant de Fallou Sène, qui doit bénéficier du statut de pupille de la Nation, est dans le circuit. Le retard pour son enrôlement s’explique, selon des sources de L’AS, par le fait qu’il n’avait pas été déclaré à la naissance.

Tivaouane : Un homme de 60 ans décapité

Assane Seck, la soixantaine environ et habitant au village de Keur Assane Ndiaye, dans la commune de Tivaouane, a subi une mort atroce. Il a été agressé mardi par des individus non encore identifiés, battu à mort et décapité. Sa tête a été emportée par ses bourreaux.

D’après L’AS, qui donne l’information, Assane Seck, a été attaqué alors qu’il se rendait à un baptême dans un village voisin, tôt le matin le jour des faits.

Son corps, gisant dans une mare de sang, a été retrouvé par des passants, selon le journal. Qui indique qu’alertés, la police et les pompiers se sont déployés sur les lieux pour faire les constats d’usage avant de déposer la dépouille à l’hôpital Abdoul Aziz Sy Dabakh de Tivaouane.

L’AS informe qu’une enquête est ouverte.

Trois Sénégalais arrêtés en Italie pour trafic de drogue

Selon Le journal Libération, trois (3) sénégalais et des gambiens qui s’activaient sur la plage de Gallipoli (Sud de l’Italie) ont été arrêtés dans le cadre d’une opération de lutte contre le trafic de drogue dure.

Il s’agit de Mahanta Diop, Cheikh Kandji et Ibrahima Faty, âgés respectivement de 38, 28 et 26 ans.

L’Artp remporte deux prix aux « Awards » de l’UIT

L’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) a été honorée, une nouvelle fois, par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).

En effet, l’UIT a décerné à l’ARTP, pour la deuxième année consécutive, un «AWARD» de Reconnaissance de l’Excellence pour la promotion de l’innovation des solutions TIC à fort impact social.
L’Institution internationale des télécommunications a également attribué à l’ARTP un Certificat d’honneur en tant que partenaire privilégié de «ITU Telecom World», rapporte un communiqué dont copie nous a été parvenu.
Ces distinctions ont été remises, ce mercredi 12 septembre 2018, par le Secrétaire général de l’UIT, M. Houlin ZHAO à M. Ousmane NDIAYE, Directeur de la Stratégie et des Relations Internationales, représentant du Directeur général, M. Abdou Karim SALL.

Il est également important de noter que le Secrétaire général de l’UIT, accompagné d’une forte délégation, a effectué une visite de courtoisie et d’amitié au Pavillon Sénégal.

L’édition 2018 prend fin, ce jeudi 13 septembre, sur une note de satisfaction pour la délégation sénégalaise au regard des avancées notables enregistrées dans la campagne pour la réélection du Sénégal au Conseil de l’UIT.

Démission du Directeur de L’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail

L’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT) perd son Directeur Exécutif en la personne de Amadou Badiane pour « convenance personnelle ».

« Je  vous informe que j’ai démissionné le vendredi 7 septembre 2018 de mon poste de Directeur Exécutif et de ma qualité de membre du parti ACT de Abdoul Mbaye pour des raisons de convenance personnelle », a-t-il écrit dans un communiqué parvenu à Senego.

L’ancien Directeur de campagne des législatives 2017 poursuit:  « je quitte L’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail après avoir occupé le poste de Secrétaire national à l’organisation et à la mobilisation , puis directeur de campagne des législatives 2017 et enfin Directeur Exécutif  du parti ».

Abdoul Mbaye perd un élément clé dans la course à la présidentielle 2019.