« Personne n’y comprend rien » : Le film documentaire qui dévoile les coulisses de l’affaire Sarkozy-Kadhafi

Personne n’y comprend rien, un documentaire captivant qui explore les relations entre Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi, sort sur les écrans français le 8 janvier 2025. Réalisé par Yannick Kergoat, coécrit avec les journalistes d’investigation de Mediapart, Fabrice Arfi, Karl Laske et Michaël Hajdenberg, ce film met en lumière les coulisses d’une affaire qui a secoué la politique française.

Une enquête complexe, une affaire tentaculaire

Le film commence en 2011, lorsque les journalistes de Mediapart reçoivent un email crucial concernant Ziad Takieddine, un intermédiaire libanais impliqué dans le dossier du financement présumé de la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime libyen. Ce mail marque le début d’une enquête approfondie qui va se transformer en une série d’articles, puis en un livre et, finalement, en un film documentaire.

Les journalistes de Mediapart, soutenus par le réalisateur Yannick Kergoat, retracent cette investigation pas à pas, en dévoilant des documents, des témoins clés et des archives qui éclairent les relations entre l’ex-président français et le dictateur libyen. Le film se structure autour de chapitres chronologiques, permettant au spectateur de suivre l’évolution de cette affaire politique. L’objectif n’est pas seulement de relater les faits mais de donner une vision complète de l’enquête et du rôle déterminant joué par le journalisme d’investigation dans la démocratie.

La diplomatie parallèle et le « grave secret » de Sarkozy

À travers les témoignages des journalistes et des experts, le film révèle la diplomatie parallèle mise en place entre Paris et Tripoli. Des visites officielles, des négociations secrètes, et des valises de billets présumées deviennent des pièces essentielles du puzzle. Parmi les révélations, on trouve également des indices sur le possible financement de la campagne de Nicolas Sarkozy par la Libye, ce que le fils de Kadhafi, Saïf al-Islam, a évoqué comme un « grave secret ».

Le film met également en lumière les personnages clés de cette affaire, tels que Claude Guéant, Brice Hortefeux et d’autres figures politiques françaises, dont les noms ont souvent été cités dans les enquêtes judiciaires. À travers une narration sobre et efficace, le film dévoile les dessous de cette affaire et les manipulations politiques de la Vᵉ République.

Un appel à la démocratie et à l’indépendance du journalisme

Loin de se contenter de relater les faits, Personne n’y comprend rien est également un hommage au journalisme indépendant. Le documentaire, financé par le crowdfunding, met en lumière le rôle fondamental que jouent les journalistes d’investigation dans une démocratie. Le film témoigne du courage des journalistes de Mediapart qui ont, contre vents et marées, suivi cette affaire pendant plus de 12 ans. Leur travail a permis à la justice de se saisir du dossier, ce qui a conduit à la mise en examen de Nicolas Sarkozy en 2018.

Le documentaire ne se contente pas de présenter des faits, mais s’efforce de faire réfléchir le spectateur sur l’importance du journalisme libre et indépendant. Un aspect essentiel de cette enquête est le respect de la présomption d’innocence, un principe qui est respecté tout au long du film.

Un récit captivant et pédagogique

Le film, qui pourrait presque être pris pour un thriller judiciaire, est aussi un outil pédagogique. À travers des images d’archives, des témoignages et des analyses, il redonne du sens à une affaire complexe et donne au spectateur les clés nécessaires pour mieux comprendre ce qui est en jeu. Il soulève également des questions fondamentales sur la transparence, la corruption et l’impunité au plus haut niveau de l’État.

En résumé, Personne n’y comprend rien est un documentaire essentiel pour quiconque souhaite comprendre les coulisses de l’une des affaires politiques les plus retentissantes de la République française. Ce film, au-delà des révélations, est aussi un cri de ralliement pour la défense du journalisme d’investigation, un pilier de la démocratie.

CHAN 2025: Le tirage au sort du prévu le 15 janvier à Nairobi

La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé que le tirage au sort du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) 2024 aura lieu le 15 janvier prochain à Nairobi, au Kenya. La cérémonie se déroulera à partir de 17h00 GMT au Kenyatta International Convention Centre, un événement très attendu par les passionnés de football africain.

La huitième édition du CHAN, qui se tiendra du 1er au 28 février 2024, réunira des joueurs évoluant exclusivement dans leurs championnats nationaux en Afrique. Cette édition sera coorganisée par le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie. Le Sénégal, champion en titre, participera pour la quatrième fois et tentera de défendre son titre face à une compétition plus féroce que jamais.

Ce tirage au sort déterminera les groupes et les confrontations à venir, mettant en lumière les forces et les talents qui se disputeront le titre de champion d’Afrique.

Ousmane Sonko appelle à l’unité et à la sérénité

Le Premier ministre Ousmane Sonko a profité d’un direct sur sa page Facebook, le dimanche 5 janvier, pour répondre aux spéculations entourant la nomination de Dr Aoua Bocar Ly Tall. Face aux rumeurs sur une prétendue volonté du Président Diomaye de nommer d’anciens détracteurs à des postes stratégiques, Sonko a été catégorique : « C’est faux. Rappelez-vous que Diomaye a passé presque 12 mois en prison pour me défendre. »

Il a également mis en garde contre ceux qui cherchent à déstabiliser le Président Diomaye : « Il est le Président de tous les Sénégalais. Par conséquent, nous ne devons pas chercher à affaiblir notre chef de l’État. » Insistant sur l’importance de respecter les institutions, il a appelé à maintenir l’unité nationale et à éviter de semer la confusion par des accusations infondées.

Appel à l’autocritique pour le Pastef

Sonko n’a pas hésité à adresser un message direct aux militants de son parti, Pastef, affirmant : « Pastef est le problème de Pastef. » Cette déclaration résonne comme une invitation à l’autocritique et à la réflexion interne.

Il a aussi répondu aux appels pour le limogeage d’Aoua Bocar Ly Tall du CNRA, insistant sur l’importance de la transparence : « Rien ne se fera en catimini. » Rappelant une précédente polémique sur une autre nomination, il a souligné que des situations similaires avaient été gérées avec tact et responsabilité.

« Laissez-nous travailler »

Appelant à la sérénité, Sonko a exhorté ses partisans à continuer de faire confiance au Président et au gouvernement, tout en évitant de perturber l’action gouvernementale : « Laissez-nous travailler. » Il a insisté sur le besoin de donner aux responsables politiques et gouvernementaux l’espace nécessaire pour accomplir leurs missions.

Sonko semble déterminé à renforcer la cohésion au sein de son parti tout en soutenant le Président Diomaye dans un contexte politique marqué par des attentes élevées et une forte agitation.

Journée d’action citoyenne “Sétal Sunu Réew” : Un appel à la responsabilité environnementale sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye

La 8ᵉ édition de la journée d’action citoyenne “Sétal Sunu Réew” s’est tenue ce samedi 4 janvier 2025, à la cité Comico de Yeumbeul Nord, sous la présidence du Chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye. Cet événement, placé sous le thème « Sétal sa gokh, aar sa yaaram : aux côtés des citoyens, les forces armées s’engagent », a marqué un début d’année axé sur l’engagement collectif pour la propreté et la préservation de l’environnement.

La journée a mobilisé le ministre des Forces armées, le général Birame Diop, ainsi que des autorités locales, des forces de défense et de sécurité, et les habitants de Yeumbeul Nord. Ensemble, ils ont participé à des activités de nettoyage et de sensibilisation.

Lors de son discours, le Président Faye a lancé un appel solennel à tous les Sénégalais, les exhortant à adopter des comportements responsables en matière de gestion des déchets et de propreté. « La salubrité publique est une responsabilité collective, et chaque citoyen doit jouer son rôle pour préserver notre cadre de vie », a-t-il déclaré.

Le Chef de l’État a également mis en lumière l’importance du concours national récompensant les quartiers les plus propres, une initiative visant à promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement à travers le pays.

En conclusion, le Président Faye a souligné que cet engagement collectif est essentiel pour bâtir un Sénégal où la protection de l’environnement devient une valeur partagée, renforçant ainsi l’unité nationale autour de cet objectif commun.

Touba vers la fin des pénuries d’eau : un projet révolutionnaire en marche

Le ministre de l’Hydraulique, Cheikh Tidiane Dièye, a annoncé le lancement d’un projet visant à résoudre les pénuries d’eau récurrentes à Touba. Ce programme, piloté par la Sones, mise sur la construction d’une station de traitement alimentée par les eaux du lac de Guiers.

Ce projet repose sur une solution innovante : une usine de grande capacité sera projetée à l’entrée de Touba pour transformer l’eau brute du lac en eau potable. Afin de garantir une autonomie énergétique et de réduire les coûts, l’usine sera équipée d’une centrale photovoltaïque.

« La Sones a pour mission de conduire les études, structurer le projet et sélectionner l’entreprise chargée des travaux », a précisé Cheikh Tidiane Dièye. En plus de cette station de traitement, le programme prévoit le renouvellement complet du réseau de distribution d’eau. « Tout le réseau sera modernisé pour intégrer des technologies de pointe, offrant à Touba les mêmes standards que les grandes villes du Sénégal », a ajouté le ministre.

Cette initiative répond à un vœu cher au maire de Touba, Serigne Abdou Lahat Ka, et à Serigne Mountakha Mbacké. « Serigne Mountakha a toujours prié pour que l’eau du lac de Guiers arrive à Touba. Aujourd’hui, cet espoir devient réalité grâce à l’État », a souligné le maire.

Ce projet s’inscrit dans la stratégie nationale « Sénégal 2050 », visant une gestion durable et équitable des ressources en eau. Les travaux en cours marquent déjà un tournant décisif pour Touba et ses habitants.

L’Assemblée nationale installe les membres de la Haute Cour de justice

Le samedi 30 décembre 2024, l’Assemblée nationale du Sénégal a procédé à l’élection et à l’installation des 16 membres titulaires et suppléants de la Haute Cour de justice, une institution clé chargée de juger les hauts responsables pour des infractions commises dans l’exercice de leurs fonctions.

Une étape cruciale pour la justice sénégalaise

Cette élection marque une avancée majeure dans le renforcement de la gouvernance judiciaire du pays, en assurant la reddition des comptes et en consolidant l’État de droit.

Prochaines étapes : installation de la commission d’instruction

L’installation des membres de la commission d’instruction, entité centrale pour la conduite des enquêtes judiciaires, est prévue pour le 8 janvier 2025 au Palais de justice de Dakar. Conformément à la procédure, la Cour d’appel de Dakar a convoqué les magistrats de son ressort territorial pour désigner les membres titulaires et suppléants de cette commission.

Un levier pour la transparence et la démocratie

La Haute Cour de justice constitue un instrument essentiel pour garantir l’équilibre des pouvoirs et promouvoir la transparence dans la gestion publique. Les observateurs espèrent que cette juridiction d’exception répondra aux aspirations démocratiques du Sénégal, en rendant la justice de manière impartiale et efficace.

Fonds Diaspora DER/FJ : Plus de 860 millions FCFA pour booster l’entrepreneuriat des Sénégalais de l’extérieur

La Délégation générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ) a organisé, lundi à Dakar, une cérémonie de remise de financements dans le cadre du Fonds Diaspora DER/FJ. Ce programme innovant vise à stimuler l’entrepreneuriat au sein de la diaspora sénégalaise, qualifiée de « 15e région du Sénégal », pour renforcer leur rôle dans le développement économique et social du pays.

Un financement ambitieux pour des secteurs clés

Lancé en février 2022 à Paris, le Fonds Diaspora DER/FJ a atteint un montant total de 860 017 257 FCFA en 2024, validant 71 projets répartis dans divers secteurs :

  • Agriculture et élevage : 44 projets pour 440 398 498 FCFA
  • Services et transformation : 17 projets pour 292 456 693 FCFA
  • Artisanat : 5 projets pour 37 546 450 FCFA
  • Pêche : 2 projets pour 30 134 764 FCFA
  • Tourisme : 2 projets pour 27 541 728 FCFA

Une mobilisation internationale

Les bénéficiaires du programme sont répartis dans 17 pays, avec des financements majeurs pour :

  • France : 218 353 062 FCFA
  • Italie : 144 085 663 FCFA
  • États-Unis : 61 673 437 FCFA

Cette dynamique illustre l’implication de la diaspora dans la diversification économique et le développement des localités d’origine.

Objectifs à long terme

Avec un budget prévisionnel de 2 milliards FCFA sur quatre ans, le Fonds Diaspora DER/FJ projette de financer :

  • 100 projets individuels de migrants pour 500 millions FCFA
  • 75 projets générateurs de revenus pour 750 millions FCFA
  • 250 millions FCFA pour soutenir les coopératives agricoles

Ces initiatives visent à promouvoir l’investissement local et la réinsertion économique des Sénégalais de retour.

Une synergie pour des résultats durables

Lors de l’événement, la déléguée générale de la DER/FJ, Aissatou Mbodji, a souligné que ces financements constituent des « réalisations concrètes » pour répondre aux aspirations de la diaspora. Le Secrétaire d’État chargé des Sénégalais de l’extérieur, Amadou Cherif Diouf, a exhorté les bénéficiaires à devenir des modèles de réussite et a insisté sur l’importance de leur rôle dans le développement économique du Sénégal.

Signature d’une convention entre l’EF du Sud et Sonatel pour le déploiement du service universel au Sénégal

Le 30 décembre 2024, l’École de Formation du Sud (EF du Sud) et la Sonatel ont officialisé un partenariat stratégique pour améliorer la connectivité numérique dans les régions rurales du Sénégal. Ce projet ambitieux vise à offrir un accès aux services de télécommunication à environ 1,7 million de personnes vivant dans des zones où l’accès au numérique est encore limité.

Une lutte contre l’« obscurité numérique »

Les zones ciblées comprennent les régions le long du fleuve Sénégal, le Sénégal oriental, ainsi que les régions du sud comme Sédhiou et le centre du pays. Ces zones, souvent appelées « zones d’obscurité numérique », bénéficieront d’une expansion significative grâce à cette initiative.

Mme Diop Blondin, coordinatrice du Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT), a souligné l’importance de mobiliser les ressources nécessaires pour répondre aux attentes des autorités et des opérateurs.

Un projet de développement durable

Selon le directeur général de Sonatel, M. Sékou Dramé, ce projet s’inscrit dans la vision du gouvernement sénégalais pour accélérer le développement numérique et démocratiser l’accès aux services de télécommunication. Il a également rappelé l’objectif d’installer plus de 500 sites au cours des dix prochaines années, consolidant ainsi la connectivité et stimulant le développement économique des zones rurales.

Le service universel : un droit essentiel

Ce projet traduit l’objectif national de faire de l’accès à la télécommunication un service aussi fondamental que l’eau ou l’électricité, conformément aux recommandations de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).

Grâce à cette convention, le Sénégal franchit une nouvelle étape dans sa transformation numérique, tout en réduisant la fracture numérique entre les zones urbaines et rurales.

 

Indemnisation des victimes des manifestations politiques : Les recommandations de Seydi Gassama

Le directeur exécutif d’Amnesty International au Sénégal, Seydi Gassama, a appelé à un processus clair et équitable pour l’indemnisation des victimes des manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024.

Un appel à la transparence et à l’inclusion

Dans un message publié sur X (anciennement Twitter) le 30 décembre 2024, Seydi Gassama a insisté sur la nécessité d’une approche inclusive :

« L’État doit travailler avec les associations des victimes des violences politiques de 2021-2024, les avocats et les organisations de la société civile qui les soutenaient pour mettre en place un processus d’indemnisation inclusif, transparent et équitable. »

Il a également souligné l’importance d’éviter toute controverse ou contestation qui pourrait entacher la crédibilité du processus.

Un fonds d’indemnisation de 5 milliards de FCFA

Cette déclaration intervient alors que le projet de loi de finances rectificative pour 2024 a prévu la création d’un fonds d’indemnisation des victimes des violences politiques préélectorales de février et mars 2024. Ce fonds, doté de 5 milliards de francs CFA, a été annoncé dans un rapport de la commission des finances de l’Assemblée nationale.

Un enjeu de justice et de cohésion sociale

L’indemnisation des victimes est un pas crucial vers la reconnaissance des torts subis et la réparation des dommages causés. Cependant, pour que cette démarche soit perçue comme légitime et rassembleuse, Seydi Gassama a rappelé l’importance d’associer toutes les parties prenantes, notamment les victimes, leurs représentants légaux et les organisations de la société civile.

Cette initiative pourrait également jouer un rôle clé dans la réconciliation nationale et le renforcement de la cohésion sociale, après des années marquées par des tensions politiques.

JOJ Dakar 2026 : Progrès remarquables dans la rénovation des infrastructures sportives

À moins de deux ans des 4èmes Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ), prévus du 31 octobre au 13 novembre 2026, le Comité d’organisation (COJOJ) de Dakar affiche des avancées notables dans la rénovation des infrastructures sportives.

Propos clés mis en avant :

  • Balla Dièye : « Les travaux se déroulent très bien, nous respectons les délais fixés. »
  • Ibrahima Wade : « Ces infrastructures seront d’une grande utilité pour la jeunesse dakaroise et les sportifs sénégalais. Nous avons saisi l’opportunité des JOJ pour améliorer non seulement ces équipements, mais aussi d’autres infrastructures de proximité. »
  • Balla Dièye : « Nous tenons quotidiennement des réunions pour aborder les volets techniques. »

Zoom sur les infrastructures rénovées

  1. Stade Iba Mar Diop :
    • Les tribunes ont été entièrement démolies.
    • Reprise des fondations en cours.
    • Financé par l’AFD, à hauteur de 60 millions d’euros (40 milliards de francs CFA).
  2. Piscine olympique du Tour de l’Œuf :
    • Modernisation de la plomberie et autres équipements techniques.
    • Une relance stratégique pour les sports aquatiques.

Une vision durable et inclusive

Selon Ibrahima Wade, ces rénovations s’intègrent dans une perspective de développement durable et visent à promouvoir des équipements sportifs modernes, durables, et accessibles dans toutes les localités impliquées, notamment Dakar, Diamniadio et Saly.

Coopération avec les fédérations sportives

Le COJOJ collabore avec 35 fédérations nationales et internationales pour garantir des infrastructures conformes aux normes techniques :

  • Suivi rigoureux : Réunions quotidiennes sur les aspects techniques.
  • Échéance : Livraison prévue pour décembre 2025.

Une opportunité pour le rayonnement du Sénégal

Avec un taux d’exécution des travaux déjà à 15% selon le bilan intermédiaire, les JOJ Dakar 2026 s’annoncent comme un levier pour doter le Sénégal d’infrastructures sportives pérennes et renforcer sa visibilité sur la scène internationale.