Match Sénégal vs Algérie: Les lions «déçus» par leur défaite mais «confiants»

L’équipe du Sénégal a perdu (0-1) face à l’Algérie hier, 27 juin lors de la deuxième journée du Groupe C de la Coupe d’Afrique des Nations, au stade du 30 juin au Caire.

Sur le plan tactique, les Algériens ont été meilleurs pendant le match. L’équipe du Sénégal a été largement dominée sur le plan tactique et dans l’engagement par leur adversaire, hier 27 juin.

Maintenant pour les Sénégalais, il reste à aller jouer la qualification contre le Kenya. Et pour le capitaine des Lions Cheikhou Kouyaté, le plus important sera de tout faire pour ne pas perdre face aux Kényans.

«On est déçu par le résultat. On n’a pas été bien en place. On s’est fait avoir. Il faut maintenant bien se préparer parce que c’est la qualification qui est désormais plus importante. Il nous faut beaucoup plus de motivation et d’engagement pour le prochain. On savait que cette rencontre ne serait pas facile. Maintenant, il nous faut tout faire pour ne pas perdre le match face au Kenya», soutient le capitaine Cheikhou Kouyaté.

Le milieu de terrain sénégalais Krépin Diatta admet que le Sénégal n’a pas affiché son meilleur niveau, mais garde ses chances pour accéder au deuxième tour.

Le Sénégal va jouer son troisième match contre le Kenya, le 1er juillet prochain.

Affaire de l’accident mortel des Almadiès: Walid Hassan condamné à trois ans de prison

Jugé pour homicide involontaire, blessures involontaires et conduite en état d’ivresse, le libanais Walid Hassan a été condamné, ce vendredi, à 3 ans ferme.

Le juge du tribunal des flagrants délits de Dakar a infligée à Walid Hassan, ce vendredi, 28 juin, une peine de 3 ans d’emprisonnement. L’élève juriste, va en plus, payer au père des victimes (3 enfants guinéens), Mamadou Yacine Diallo la rondelette somme de 200 millions de Fcfa. Ceci, à titre de dommages et intérêts. Pendant le procès, ouvert en début de semaine, le parquet avait requis 5 ans de prison à l’encontre du prévenu, le libanais de 30 ans.

Pour rappel, Walid Hassan qui était en état d’ébriété, a tué 3 enfants de nationalité guinéenne (Mariama Ciré Diallo 20 ans, Maïmounatou Diallo, 13 ans et Mouhamed Mansour 11 ans) dans un accident et blessé 2 autres personnes, le 08 juin dernier aux environs de 3 heures du matin.

Ainsi, il a été placé sous mandat de dépôt pour homicide involontaire, blessures involontaires et conduite en état d’ivresse.

Le Sénégal/ Algérie: le match des titans

Les deux équipes victorieuses de leur première sortie s’affrontent ce soir.

Le Sénégal a fait une bonne entame dans la 32 ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (Can) 2019. Avec une victoire (2-0) contre la Tanzanie, dimanche 23 juin, les Lions de la Teranga ont l’intention de garder le cap ce soir.

L’équipe de Aliou Cissé affronte l’Algérie ce soir à 19h au Caire. Ce dernier, a lui aussi remporté son match contre le Kenya (2-0). Avant leur entrée en force dans la compétition, cette affiche a fait couler beaucoup d’encre et de salive depuis le tirage au sort du 12 avril.

«Nous, on a un peut-être un futur Ballon d’or, mais l’Algérie a Mahrez, et aussi beaucoup de bons joueurs, comme par exemple Brahimi. L’arrivée de Belmadi a aussi fait beaucoup de bien. L’Algérie, c’est un vrai favori», assure Aliou Cissé, le sélectionneur sénégalais.

Pour son confrère algérien, Djamel Belmadi: «pour être favori, il aurait fallu avoir gagné une fois en dehors de nos terres [l’Algérie a remporté sa seule CAN en 1990 à domicile, NDLR]. On a été sortis en 2017, on n’a pas été à la Coupe du monde. Il n’y a pas les ingrédients pour être favoris.»

Les Lions de la Teranga et les Fennecs sont en tout cas considérés comme des favoris de la poule C.

Affaire Petro Tim: vendredi à hauts risques

La Plateforme «Aar Li Ñu Bokk», le Mouvement «Samm Sunu Reew» et la Coalition des travailleurs du Sénégal (Cts) ont décidé de manifester afin que la lumière soit faite autour de l’affaire Petro Tim dans laquelle Aliou Sall est cité.

Un vendredi sous tension en perspective. Le préfet de Dakar, Alioune Badara Diop, a reçu sur sa table, plusieurs demandes de manifestations pour demain vendredi 28 juin 2019.

La plateforme «Arr Li Nu Bokk» veut que toute la lumière soit faite dans l’affaire Petro Tim. Les membres de ce groupe ont pris la décision de manifester chaque vendredi pour exiger la transparence sur les contrats pétroliers et gaziers au Sénégal.

Le Mouvement «Samm Sunu Reew», prévoit également de manifester vendredi. Des sources indiquent que la coalition en question est acquise à Aliou Sall, frère du Président Macky Sall, cité dans cette affaire qui révèle des faits de fraude et corruption dans le secteur du pétrole et du gaz au Sénégal. La Coalition des travailleurs du Sénégal (Cts) est également annoncée pour la marche de demain.

Si les demandes de manifester de ces différents rassemblements sont validées par l’autorité administrative, tous ferront entendre leurs voix au même lieu.

 

Port de Dakar: 238 kg de cocaïne saisis par la douane

Le produit saisi dans la nuit du 24 au 25 juin, était dissimulé dans des véhicules en provenance du port de Paranagua au Brésil.

La drogue découverte était cachée dans 4 véhicules dans un lot de 24 de marque Renault à bord d’un bateau venant du port de Paranagua au Brésil, à destination de Luanda en Angola.

Après la saisie les 238 kg de  drogue ont été certifiés par les services compétents comme étant de la cocaïne. Actuellement, l’équipe continue les recherches pour détecter d’éventuels autres produits stupéfiants.

La procédure est en cours pour passer au peigne fin tous les véhicules du lot, a informé le Bureau des relations publiques et de la communication de la Direction générale des douanes.

Zone de libre-échange: Macky Sall donne des conditions pour être compétitif

C’est la substance du discours du président de la République, Macky Sall, le 25 juin, lors de la cérémonie d’ouverture du forum régional du commerce pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, qui se tient à Dakar du 24 au 25 juin.

Tirer profit de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) passe par l’établissement des champions nationaux, régionaux ou sous-régionaux, indique Macky Sall.

Le développement du continent africain se doit, selon le chef de l’Etat, d’être à un «niveau jamais égalé». Le président de la République, présidait, hier, 25 juin à Dakar, la cérémonie d’ouverture du forum régional du commerce pour l’Afrique de l’Ouest et du centre.

«On peut, aujourd’hui, se féliciter d’avoir mis en place les jalons majeurs dans cet espace commercial intégré à l’échelle du continent. (…) Il est clair que les Africains ne pourront profiter de cette zone que si nous ne bâtissons des champions nationaux, régionaux ou sous-régionaux. L’étroitesse de nos marchés, la qualité de notre industrie, sont telles que si nous voulons que cette zone profite à l’Afrique, il nous faut porter ces champions nationaux du privé africain. Et les Etats devront aider dans cette perspective», déclare le Président sénégalais.

Pour le chef de l’Etat, un accent particulier doit être mis sur les Petites et moyennes entreprises (Pme). Ceci, dans le cadre de la promotion des exportations intra-africaines, à même de générer une plateforme d’éclosion des talents et d’expansion pour les opérateurs économiques de l’Afrique. Il y a des préalables à la réussite de la mise en œuvre du marché commun, selon Macky Sall. «Pour ce qui concerne les Etats, nous devons poursuivre les réformes pour la dématérialisation des procédures. Il faut travailler à renforcer les infrastructures de communication. Si on n’a pas de chemins de fer, les ports ne fonctionnent pas, les frontières ne sont pas fluidifiées, ce sont là des défis à notre portée. Avec la Zlecaf, il faudra changer le paradigme et ancrer résolument les activités économiques et leur régime de régulation vers des standards de compétitivité », renchérit-t-il.

Sénégal: Aliou Sall démissionne

Le directeur de la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) quitte son poste suite aux révélations de BBC. Lire l’intégralité de sa lettre de démission. 

 Alors que ses partisans s’érigent pour empêcher sa démission, Aliou Sall a pris sa décision. Le frère du chef de l’Etat a décidé de quitter la CDC. Une démission qui intervient en pleine tourmente dans une vague déchainée et réveillée par le reportage de la BBC sur le pétrole sénégalais.

In extenso, la correspondance de ALiou Sall à leral :

On semble malheureusement l’oublier.

En effet, cette campagne présente l’autre (moi en l’occurrence), comme l’ennemi public numéro un, et elle se donne  les moyens de faire mouche parce qu’elle finit de prendre le visage de la vérité à force de travestir les faits les uns après les autres.

Elle joue également de manière indécente sur la corde sensible de populations qui se battent au quotidien pour vivre voire pour survivre ; et à ces populations, elle s’emploie à offrir comme provision, des raccourcis cyniques et dangereux du genre :

Lii yeen ako moom, ay nitt akiimoo ko, def ko seen yeufi boop, niom ak seeni diabarr, seeni doom, seeni kharitt.

En somme, c’est une campagne visant à me « déshumaniser » (le mot n’est pas trop fort), parce que c’est de cela qu’il s’agit, une campagne qui présente l’autre (toujours moi) comme le méchant face aux bons, celui qui s’abreuve du sang et de la sueur du peuple sénégalais, le personnage sans foi ni loi qui nargue un peuple exsangue.

La caricature est sans pitié !

Qui ne serait pas indigné, choqué, offensé au plus haut point par une telle tyrannie langagière, un tel déferlement de bavures au propre comme au figuré.

C’est donc dire si je peux comprendre dans un certain sens, ceux qui, de bonne foi, ont pu à un moment ou un autre, prêter une oreille attentive et bienveillante aux propos tendancieux déversés à longueur de journée, ou même ceux qui ont choisi de hurler avec les loups parce que tout simplement mus par une haine viscérale.

Ainsi va le monde ! Et lorsque la perfidie du champ politique se mêle à la duperie érigée en dogme, l’ombre prend de l’épaisseur et la lumière est réduite à sa plus simple expression.

Que Dieu nous préserve de la méchanceté gratuite, et surtout du mensonge structuré !

Face à une telle entreprise de déstabilisation savamment construite, il faut l’avouer, il y avait, à mes yeux, deux réponses à apporter : l’une par la prise de parole publique, l’autre par les actes.

Faut-il rappeler que j’avais dans un premier temps décidé de répondre point par point aux accusations iniques sur mon appartenance à telle ou telle société, sur des éléments de salaire, sur des versements de commissions indues, sur une rente pétrolière ahurissante étalée sur pas loin d’un demi-siècle. Pas moins.

Certains parmi mes compatriotes ont bien saisi la substance du message que j’ai voulu délivrer et y ont souscrit. D’autres ont continué leur entreprise de destruction en s’inscrivant bien entendu, toujours dans leur logique préconçue de politique de la terre brûlée.

Toutes choses qui ont fini de pousser l’Etat du Sénégal à ouvrir une information judiciaire pour donner corps à sa volonté de rétablir la vérité d’une part, et celle de prendre les mesures idoines, d’autre part.

Bien évidemment, comme je l’ai dit, depuis le premier jour, toute cette malheureuse controverse n’est entretenue qu’autour d’un tissu d’amalgames et de contrevérités destinées à alimenter une autre campagne, plus insidieuse, celle-là, et qui va au-delà de ma modeste personne.

Croyez bien que je suis le premier à être en phase avec cette décision de l’Etat du Sénégal.

Ceci dit, il s’agit aujourd’hui d’apporter la seconde réponse. C’est la raison pour laquelle j’ai voulu moi aussi m’adresser aux sénégalais et à l’opinion internationale à travers la vaillante population de Guédiawaye qui m’a fait l’honneur de m’accorder sa confiance, mais aussi qui, au milieu de la tempête et des vagues successives de diffamations, de critiques et d’insultes de toutes sortes, n’a de cesse de me manifester son soutien, à l’instar de nombreux autres sénégalais d’ici et d’ailleurs, révulsés par l’ampleur de la cabale et de l’injustice.

Je remercie toutes ces personnes, souvent des anonymes, qui me témoignent tous les jours leur sympathie et leur affection.

Je tiens donc à répondre cette fois-ci par les actes parce qu’il est aussi de mon devoir, pour le présent comme pour l’avenir, pour ne pas dire pour l’histoire tout court, il est de mon devoir de laver mon honneur sali, de protéger les miens qui sont aujourd’hui encore plus touchés que moi dans leur chair et dans leur esprit. C’est à la fois un problème de justice, de dignité mais aussi de responsabilité.

Monsieur Le Président de la République qui, au-delà du même sang que nous partageons, sait, mieux que quiconque, dans quel moule de vertu, de sagesse et d’humilité nous avons été éduqués ensemble et qui m’a témoigné sa confiance pour assumer une charge publique, comprend les actes que je pose en ce moment précis.

Permettez-moi ici de lui renouveler mes remerciements les plus sincères.

Pour dire enfin, que, fort de la conviction profonde que demain il fera jour, et que la lumière finira d’avoir raison des ténèbres, je prends ici devant vous la décision de donner ma démission de la tête de la Caisse de Dépôts et de Consignations à compter de ce jour.

Dans le même temps, je peux vous assurer, mes chers amis, que je prends date pour l’avenir, parce que je reste persuadé que cette épreuve rendra beaucoup de service à mon peuple dans le futur.

Elle aura en effet le mérite, j’en suis sûr, de montrer à la face du monde les vrais visages de ceux qui salissent la noblesse de la politique sous des dehors de serviteurs du peuple.

Je vous remercie.

Aliou Sall

Maire de Guédiawaye.

Distinction: Macky Sall désigné «homme de l’année du secteur pétrolier africain»

La société Africa Oil & Power a plébiscité le président du Sénégal en reconnaissance de ses «efforts visant à relancer l’économie sénégalaise et à créer un marché attractif pour le pétrole et le gaz».

«Macky Sall, président de la République du Sénégal, se verra remettre le prestigieux prix ‘Homme de l’année’ lors de la conférence Africa Oil & Power, qui se tiendra du 9 au 11 octobre 2019 au Cap. Le prix sera remis au président lors de la conférence, au cours de laquelle il présentera également le discours liminaire», annonce un communiqué parvenu à l’APS dimanche.

Africa Oil & Power cite le Sénégal comme une terre propice pour les affaires. «Alors que les pays africains de tout le continent cherchent à stimuler la croissance et à se diversifier économiquement, le Sénégal est un bon exemple de pays qui fait fonctionner l’énergie – il crée un environnement propice au succès des affaires, attirant d’énormes investissements internationaux, tout en assurant des nombreuses opportunités d’investissement en amont et en aval et de développement des capacités locales», a déclaré Guillaume Doane, Pdg d’Africa Oil & Power.

«Macky Sall est l’un des principaux dirigeants africains, non seulement dans les domaines du pétrole et du gaz, mais également en tant que défenseur de la réussite économique globale. Nous sommes honorés de lui remettre ce prix» a ajouté M. Doane dans des propos contenus dans le communiqué.

«Sur un continent où les conflits frontaliers ont freiné le développement des ressources en mer, le président Macky Sall insiste sur un résultat plus productif. Il a travaillé avec son homologue mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, pour obtenir un accord visant à développer conjointement des ressources offshore dans l’intérêt mutuel des deux pays», a déclaré Jude Kearney, ancien sous-secrétaire adjoint aux industries de service et aux finances du département du Commerce des États-Unis sous l’administration Clinton et actuellement président de Kearney Africa Advisors.

Sénégal: El Hadji Hamidou Kassé emporté par l’affaire Petro-Tim

Il est désormais l’ancien chargé de communication de la Présidence. Il est remplacé par Seydou Guèye.

Des têtes commencent à tomber. Depuis l’enquête de BBC sur la fraude dans le secteur du gaz et du pétrole sénégalais impliquant Aliou Sall, le frère de Macky Sall, des enquêtes et des sanctions ont été annoncées. En attendant que le procureur général de Dakar livre sa copie, le Président Macky Sall fait le ménage dans son entourage. Le ministre-conseiller chargé de la communication du Président, El Hadji Hamidou Kassé a été limogé. Il sera remplacé à ce poste par Seydou Guèye.

Dans la même veine, Latif Coulibaly est pressenti comme porte-parole du président de la République. L’ancien ministre de la Culture Abdou Latif Coulibaly, pourrait ainsi faire un retour en grande pompe.

Le limogeage de El Hadji Hamidou Kassé sonne comme une sanction après sa sortie controversée sur Tv5. En effet, il soutenait que «le petit frère du président de la République, Aliou Sall, a bel et bien reçu la somme de 250 000 dollars (146 millions Fcfa) de Timis Corporation».

Des propos qu’il a réitérés, par la suite, sur Rfi. En plus, il va en rajouter sur les ondes de Radio Africa : «Macky Sall a fini par nommer son petit frère Aliou Sall à la tête de la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) parce qu’il a été mis dos au mur».

Sénégal: 4554 accidents et 550 décès enregistrés par an (ministre)

L’annonce a été faite jeudi 20 juin par Oumar Youm, ministre des Infrastructures terrestres et du Désenclavement.

«Notre pays connait une recrudescence des accidents de la circulation qui ont atteint des proportions inquiétantes avec une moyenne annuelle de 4554 accidents et d’environ 550 pertes en vies humaines», a déploré Oumar Youm ministre des Infrastructures terrestres et du Désenclavement. C’était jeudi 21 juin, lors du lancement de la Semaine nationale de la prévention routière.

 

Une situation qui impacte négativement sur l’économie du pays «les accidents de la circulation engendrent des conséquences économiques, sociales et environnementales énormes qui atténuent les performances économiques du pays», a-t-il fait observer. Analyse corroborée par le président de l’Association des assureurs du Sénégal (AAS), Mouhamadou Moustapha Noba «ces accidents représentent un lourd fardeau pour notre économie nationale», a-t-il estimé.

 

La cause humaine est le principal facteur d’accidents dénoncé par Me Youm. La conduite en état d’ivresse, l’excès de vitesse, la somnolence au volant, la fatigue et le non-respect des règles sont pointés du doigt. Mouhamadou Moustapha Noba place les facteurs humains à 90 %.

 

«C’est pourquoi, le chef de l’Etat a demandé à la tutelle en rapport avec les acteurs concernés, notamment la police et la gendarmerie, de prendre des mesures durables à cette problématique qui constitue un enjeu économique et sociétal majeur», a-t-il expliqué.

Des mesures visant entre autres à préserver la vie humaine et booster l’économie «environ 12 milliards de dollars, qui sont versés par les sociétés d’assurance pour indemniser les victimes et prendre en charge les soins spécialisés des blessés gravement atteints», a ajouté le président de l’Association des assureurs du Sénégal (AAS).