Afrobasket 2019 : la liste des 12 lionnes sélectionnées par Cheikh Sarr

Le sélectionneur de l’équipe nationale féminine, Cheikh Sarr, a dévoilé hier soir la liste des 12 joueuses sélectionnées pour participer à la compétition.

Dakar accueille l’Afrobasket féminin 2019. La compétition se tient du 10 au 18 août 2019. La liste des Lionnes sélectionnées pour le tournoi regorge de noms connus. L’inconditionnel Astou Traoré, meilleure marqueuse de l’histoire de l’Afrobasket, reste en poste.

La liste des 12 joueuses :

Bintou Diémé (1)

 Mame Diodio Diouf  (1)

Yacine Diop (2)

Ndeye Sene (2-1)

Astou Traoré (3-4)

Lala Wone (3)

Lena Niang (3-2)

Mame Marie Sy (4-5)

Coumba Sarr (4-5)

Fatou Diagne (5)

Maimouna Diarra (5)

Aida Fall (5)

Sénégal-Tribunal: l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye condamné

La Cour d’appel de Dakar l’a condamné ce mardi à 1 an assorti du sursis. La condamnation intervient dans le cadre de la procédure pour faux l’opposant à son ex-épouse.

La Cour d’appel de Dakar a infirmé le jugement de première instance en le déclarant coupable d’usage de faux et de tentative d’escroquerie à jugement. En plus de la sanction pénale, Abdoul Mbaye doit payer une amende de 1 million Fcfa. Son coaccusé, l’officier d’état-civil Adama Thiam, a écopé également d’un an assorti du sursis mais avec une amende de 200.000 Fcfa.

En sus de l’amende, tous les deux doivent payer la somme de 100 millions à la partie civile.

Selon les confrères e rewmi, poursuivi en justice pour complicité de faux et usage de faux en écritures publiques authentiques et tentative d’escroquerie commis en 1994 au préjudice de son ex-épouse Aminata Diack, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye avait été relaxé par le tribunal correctionnel de Dakar, le 18 mars 2017. Le procureur avait toutefois requis l’infirmation du jugement de première instance, lors du procès en appel tenu le 18 juin dernier. Il a demandé que l’ex-PM soit condamné à 1 an ferme pour obtention indue d’un document administratif.

En revanche, il avait requis la relaxe de l’officier d’état-civil Adama Thiam. En instance, celui-ci avait écopé de 6 mois assortis de sursis pour faux commis en 2012. Il estime que M. Thiam a agi sous les ordres de la défunte présidente du tribunal d’instance de Dakar qui lui a présenté une ordonnance.

Sénégal-Administration: le gouvernement va en congés

Le Conseil des ministres de ce jour, 06 août est le dernier avant le départ en congés des ministres.

Ils auront jusqu’à un mois pour se reposer et se ressourcer. Selon Les Echos, le Gouvernement va en vacances à partir de ce mercredi 7 août 2019. Ils comptabilisent quatre mois de travail.

Le Président Macky Sall va ainsi présider ce jour le dernier Conseil des ministres qui feront leur retour dans un mois.

Restrictions budgétaires: Macky Sall dissout 16 agences gouvernementales

Le président de la République a supprimé 16 agences sur les 32 existantes. C’est dans l’optique d’une mutualisation des efforts et d’une plus grande efficacité.

Macky Sall l’a révélé, hier 05 août à Diamniadio. C’était lors du lancement du Programme d’appui à la modernisation de l’administration (Pama). Il a d’ailleurs indiqué qu’une commission travaille d’arrache-pied, à cet effet, depuis deux semaines.

«Nous sommes en train de fusionner certaines agences. On a réuni l’Agence de la grande muraille verte, celle des éco-villages et la nouvelle Agence de lutte contre la déforestation en une seule entité qui aura un budget conséquent et pourra travailler de façon efficace», a indiqué le chef de l’État.

Cette mesure vise à rationaliser les ressources financières de l’État. Le président de la République a également résilié toutes les lignes téléphoniques mobiles de l’État.

Au ministère du Pétrole et des Energies, trois agences vont disparaître. Il s’agit de l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (Aser), de l’Agence pour l’économie et la maîtrise de l’énergie (Aeme) et de l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (Aner). Elles seront réduites à de «simples» directions au niveau de la Société nationale d’électricité (Senelec).

Sénégal-Hann Pêcheur: une collision entre deux «Car rapides» fait une trentaine de blessés

Les victimes sont en train d’être évacuées à l’hôpital général de Grand-Yoff.

L’accident est survenu à Hann Pêcheur, près du dépôt mobile. Deux véhicules de transport en commun «Car-rapide» se sont rentrés dedans. Le bilan provisoire fait état d’une trentaine de blessés.

Selon Iradio qui donne l’information, les blessés sont en train d’être évacués à l’hôpital général de Grand-Yoff.

Sénégal: 35 milliards Fcfa pour venir à bout des délestages

L’Etat met cette somme à la disposition de la Société nationale d’électricité (Senelec) pour endiguer le phénomène.

 

La sortie du secrétaire général de la Société nationale d’électricité (Senelec), Habib Aïdara, a fait bouger les lignes. «Si elles ne réagissent pas rapidement, les longs délestages vont revenir dès la semaine prochaine», craignait-il.

Suite à cette interpellation du secrétaire général de Senelec, l’Etat du Sénégal a réagi en mettant à la disposition de la structure la somme de 35 milliards Fcfa. Ceci afin qu’il n’y ait pas de rupture de stock de fuel.

Le ministère des Finances et du Budget a par ailleurs réglé la totalité de la dette due aux fournisseurs dans le cadre du Train express régional (Ter). En sus, en raison de la Tabaski, les salaires et pensions ont été payés par anticipation depuis quelques jours.

Plainte du Crd : la procédure s’accélère dans l’affaire Petro Tim

La plainte déposée par le Congrès de la renaissance démocratique (Crd) « And Dekkil Bokk » contre  Aliou Sall et Franck Timis, cités dans l’affaire Petrotim, a été transmise au Procureur.

L’affaire semblait déjà s’être tassée. Que non! La plainte déposée par le Congrès de la renaissance démocratique (Crd) « And Dekkil Bokk » contre Aliou Sall et Franck Timis, tous deux impliqués dans l’affaire de corruption et de fraude dans le pétrole sénégalais révélée par la BBC, maintient la pression.

Dans son édition du jour, le journal «Les Echos» publie indique que le Doyen des juges, Samba Sall, a transmis le dossier au Procureur pour réquisitoires. Selon la procédure, le magistrat instructeur ne pourra poursuivre son information, si besoin est, qu’après observations du parquet.

Les observations du Parquet ne lient cependant pas le juge d’instruction. Ce sera donc au Doyen des juges seul de décider de la suite à donner à cette affaire. Le journal ajoute qu’aucun délai n’est imparti au chef du parquet. Il dispose de toute la latitude nécessaire. Toutefois, Me Moussa Sarr joint au téléphone par nos confrères, estime qu’il y a un délai raisonnable que le Procureur ne doit pas dépasser.

Le Crd « And Dekkil Bokk » est constitué du Mouvement Tekki, du Parti de l’Émergence citoyenne, du Mouvement pour la République des Valeurs, de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail, de la LD Debout, Taxaw Temm et Ensemble.

 

Sénégal-Kédougou : 3 morts et 7 blessés dans un accident de circulation

L’accident est survenu dimanche, 04 août suite à une collision entre un camion et une petite voiture.

Encore des morts sur les axes routiers. C’est sur la nationale numéro 7 qu’une collision entre un camion malien et une voiture de type « 7 places » s’est produite, ce dimanche.

3 morts et 7 blessés, c’est le bilan provisoire de cet accident. Le drame a eu lieu précisément à Ngary Sékatou, localité située à 13 kilomètres de la commune de Kédougou, sur la route de Tambacounda.

Affaire des 94 milliards : Ousmane Sonko veut porter plainte contre la commission d’enquête parlementaire

Lors d’une conférence de presse, le président du Pastef indique que l’instance a publié les résultats de leur enquête sans l’aval de l’Assemblée nationale.

Pour Ousmane Sonko, les membres de la Commission d’enquête parlementaire, chargée de faire la lumière sur l’affaire dite des 94 milliards méritent la prison. Un emprisonnement de 2 à 6 mois en plus d’une amende. Cr, dit-il, ils ont violé le règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Le président du Pastef s’appuie sur l’article 48 dudit règlement qui précise que les membres de la commission d’enquête parlementaire sont soumis au secret de l’enquête. Ainsi, c’est à l’Assemblée est seule institution habilitée à publier ce rapport, dénonce le député de l’opposition.

«Ils ont publié ce rapport alors que cela n’a pas encore été transmis à l’Assemblée nationale pour un vote spécial. Nous allons les poursuivre en justice», promet Ousmane Sonko. Le candidat malheureux à l’élection présidentielle (deuxième du scrutin) maintient cependant ses accusations à l’encontre de Mamour Diallo et compagnie qui, selon lui, ont fait du faux et usage de faux. «Et les membres de cette commission sont complices de détournement de deniers publics», a-t-il ajouté.

Sénégal: les médias ont joué un rôle essentiel pour la paix lors de la présidentielle de février (Cnra)

Dans son rapport sur la couverture médiatique du scrutin du 24 février, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) félicite le professionnalisme de la presse lors de cette joute électorale.

L’Aps qui a reçu le rapport du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) au sujet de l’élection présidentielle de février 2019 en fait une synthèse claire. Le président du Cnra, Babacar Diagne, a salué «tous ceux dont le concours et l’appui institutionnel ont permis de réussir un scrutin que les médias ont beaucoup contribué à rendre paisible dans son déroulement, des phases préparatoires à la proclamation du résultat définitif».

«Durant la présidentielle de 2019, l’organe de régulation a certes relevé des cas isolés de violation manifeste de la réglementation, mais a tout aussi clairement constaté que, dans l’ensemble, les médias ont joué un rôle déterminant dans cette élection», ajoute M. Diagne.

Il indique par ailleurs que «pour préserver la sérénité particulièrement importante en ces moments de vie démocratique, que le Cnra se retient de ne pas aller vers des sanctions, tant que les manquements n’avaient pas pris une proportion inacceptable».

De manière globale, le rapport «donne beaucoup d’indications sur les langues de communication les plus parlées durant la campagne, le temps d’exposition des candidats par média, les acteurs les plus présents en UNE des quotidiens», peut-on retenir de la synthèse.

«Le document de 98 pages donne également de larges extraits de textes législatifs et réglementaires portant sur les élections en général, celle du 24 février 2019 en particulier», précise le rapport.