Moustapha Niasse, qui assistait à une réunion de cette structure organisée par visioconférence, « a, par ailleurs, appelé au renforcement d’une solidarité plus agissante entre les parlements membres », rapporte un communiqué transmis à l’APS.
Selon le texte, l’objectif visé par un tel changement est de « préserver et de promouvoir l’Etat de droit dans le respect des valeurs communes de démocratie et de libertés individuelles ».
Le communiqué souligne également que Moustapha Niasse a « indiqué l’urgence de mesures d’alerte pratiques, en vue de juguler les inégalités et les iniquités qui risquent d’être exacerbées par les effets néfastes de la Pandémie de la Covid-19 ».
Cela justifie, à l’en croire, « la nécessité pour l’APF, de redéfinir ses priorités à la lumière des nouveaux défis Post Covid-19, en plaçant l’homme et ses préoccupations fondamentales au cœur de son plan d’action ».
Cette réunion a « regroupé une trentaine de responsables parlementaires, membres du Bureau de l’APF ».
Elle s’est tenue sous la présidence d’Amadou Soumahoro, président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire et président de l’APF, et en présence de Jacques Kbrabal, secrétaire général parlementaire de l’APF.