Le 14 octobre 2024, le Centre International de Conférence Abdou Diouf (CICAD) accueillera le lancement tant attendu du référentiel « Sénégal 2050 », une vision ambitieuse pour un développement durable et prospère du pays. Présenté par le Premier Ministre Ousmane Sonko, ce projet structurant se base sur quatre axes majeurs, surnommés « Les 4 axes du Baobab », et vise à faire du Sénégal une nation prospère et compétitive à l’horizon 2050.
Les 4 axes du Baobab : un chemin vers l’excellence
Lors du séminaire de présentation, Ousmane Sonko a détaillé les fondements de cette vision :
- Bonne gouvernance et engagement africain : une approche qui place le Sénégal comme un acteur clé sur la scène continentale, avec des institutions solides et une gouvernance exemplaire.
- Aménagement optimal et développement durable : des infrastructures modernes et un urbanisme respectueux de l’environnement pour garantir un cadre de vie harmonieux.
- Capital humain et équité sociale : investir dans l’éducation, la santé et les opportunités économiques pour tous les citoyens, sans discrimination.
- Économie compétitive : créer un environnement propice au développement d’un secteur privé national fort, tout en misant sur des pôles industriels et commerciaux viables.
Une vision à long terme pour un Sénégal prospère
Dans son discours, Ousmane Sonko a affirmé : « Nous avons choisi d’adopter un nouveau modèle de développement à long terme, reposant sur un État stratégique qui favorisera le développement de filières compétitives, de pôles viables, ainsi que des villes épicentres et un secteur privé national fort. » Ce plan vise à transformer le Sénégal en un modèle de prospérité économique et de durabilité environnementale.
Ce référentiel « Sénégal 2050 » est non seulement une feuille de route pour le gouvernement, mais aussi un appel à l’unité nationale autour d’une vision commune pour un avenir meilleur.