Une histoire invraisemblable de sexe a failli tourner au meurtre.
Pape A. Ndour, commerçant de son état échappe de justesse à la mort. En effet, les faits ont eu lieu aux Almadies.
Le commerçant voulant satisfaire sa libido, compose le numéro de téléphone d’une proxénète. Il s’agit de A. Sané, qui détient un carnet d’adresses fourni de prostituées clandestines de luxe.
Ensuite, cette dernière jouant son rôle d’intermédiaire rentre en contact avec une gracieuse fille de joie, qu’elle met en relation avec Pape Ndour. Ce dernier se prélasse allégrement dans un appartement meublé qu’il a au préalable loué.
Quelques instants après, il reçoit la visite tant attendue que lui a envoyé la proxénète. En effet, sans discuter du prix de la passe avec la prostituée, le commerçant passe à l’acte sexuel. Après avoir assouvi sa libido, il remet 5000 Fcfa à la prostituée.
Cependant, celle-ci vide les lieux et contact A. Sané, qui furieuse de la modicité de la somme d’argent, joint le commerçant qui confirme le fait.
En outre, A. Sané, accompagnée de son amie T. Bâ, se rend à l’appartement loué par le commerçant. De même, elle verrouille de l’intérieur la porte de l’appartement et contacte deux gros bras de venir le rejoindre.
Un plaisir charnel qui vire au cauchemar.
Le commerçant sera violenté et chassé de l’appartement. Pendant le passage à tabar de , ce dernier reçoit un gros et imposant caillou sur la tête que lui a jeté la demoiselle T. Bâ. Et l’un des gros bras qui tenait une bouteille d’alcool lui en assène un violent coup à la tempe. Mais, après ces multiples coups, il s’évanouit.
Par ailleurs, Pape A. Ndour doit son salut à l’intervention des vigiles et autres passants. Il sera acheminé par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Principal de Dakar où il est retenu en réanimation.
Enfin, ses bourreaux ont été arrêtés et placés en garde à vue pour coups et blessures volontaires.