Le Sénégal va bientôt lancer un appel d’offres pour une dizaine de blocs

Le Sénégal va lancer prochainement un appel d’offres international pour la cession d’une dizaine de blocs offshore, dont 8 se situant en offshore ultra profond.

D’après Le Soleil, les compagnies retenues seront connues dans près d’un an, le 1 septembre 2020. Le directeur général de Petrosen, Mamadou Faye, repris par le journal, informe que les compagnies intéressées devront payer le ticket d’entrée pour 15 000 dollars (8,8 millions de francs Cfa).

En vue du lancement de cet appel d’offres, le Sénégal entend faire la promotion de son bassin sédimentaire auprès des acteurs du secteur. Pour ce faire, renseigne Le Soleil, Petrosen prendra part à la 25e conférence internationale d’Africa Oil Week, prévue du 4 au 8 novembre prochain à Cape Town, en Afrique du Sud.

Une loi pour la production d’électricité à partir du gaz naturel adoptée

Vers un projet de loi gazière. Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre du Pétrole et des Energies, a présenté un projet de loi ratifiant la stratégie « gas-to-power » du gouvernement du 21 novembre 2018, adopté en conseil des ministres.

Le projet de loi gazière a été élaboré en collaboration avec les autres départements ministériels concernés. « Ce projet de loi, se veut un processus inclusif et participatif impliquant l’ensemble de la population sénégalaise à qui appartiennent les ressources minérales, au terme de la constitution », inique un document du ministère du Pétrole, reçu à emedia.sn.

Le projet « Gas-to-power » vise la production d’électricité à partir du gaz naturel. Cette stratégie, informe le document, doit être accompagnée d’un cadre législatif, réglementaire et institutionnel favorable au développement du gaz.

Le document en question a été remis à différents membres de la société civile.

Source: emedia.sn

Pétrole et gaz du Sénégal : place à la concurrence!

L’Etat est envisage de procéder au lancement de l’appel à la concurrence sur les blocs de pétrole et gaz libres.

L’annonce a été faite lundi, par le ministère du Pétrole et des Energies (Mpe). C’est en octobre, que l’Etat du Sénégal va procéder au lancement officiel de l’appel à la concurrence sur les blocs libres.

C’est à la faveur du salon international du pétrole et du gaz en Afrique du Sud (Africa Oil and Power) que l’Etat du Sénégal va profiter pour préciser « aux compagnies pétrolières les procédures d’accès aux cahiers de charge et de la soumission des offres», indique le communiqué du Secrétariat permanent du Comité d’orientation stratégique et de la Société nationale des pétroles du Sénégal (Petrosen).

La méthode utilisée sera la Licensing rounds. Un procédé expérimenté par de nombreux pays producteurs de pétrole dont la Norvège. Un pays riche, avec une économie basée sur les hydrocarbures. Selon le communiqué, après le lancement, les compagnies pétrolières prendront contact avec le Ministère du Pétrole et des Energies, la seule autorité compétente pour l’attribution des permis de recherche d’Hydrocarbures au Sénégal (article 3 de la Loi n°2019-03 portant Code pétrolier).

Plusieurs informations sont souvent relayées concernant les hydrocarbures offshores (pétrole et gaz) au Sénégal. Les spécialistes sur ce domaine aussi « sensible que stratégique » ne sont pas nombreux. Il est à noter le Cos pétrogaz et la Société Nationale des Pétroles du Sénégal (Petrosen) ont appelé à « plus de responsabilité et de sérénité.»

Affaire Petro-tim: Babacar Mbaye Ngaraf auditionné par la Dic

Les auditions dans l’affaire Petro-tim ont débuté. Suite à l’enquête diffusée par BBC révélant des faits de corruption dans le secteur du pétrole et du gaz sénégalais, la Division des investigations criminelles (Dic) a convoqué ce lundi matin Babacar Mbaye Ngaraf pour audition.

La Dic a démarré les auditions dans le dossier Petro-Tim. Le président de l’Alliance sauver le Sénégal, Babacar Mbaye Ngaraf a été cuisiné ce lundi par les fins limiers de la Dic.

Avant on audition, Babacar Mbaye Ngaraaf s’est dit prêt à déférer à la convocation de la Dic.

«Je ne sais pas pour le moment ce que me veut la Dic. Mais, en tous cas, si c’est lié à l’affaire Pétro-Tim, c’est avec beaucoup de plaisir que nous allons répondre à cette convocation», a-t-il réagi sur la Rfm.

Concernant l’affaire Petro-tim et le rapport de l’Ige qui a fuité, la Sections de Recherche s’occupe des investigations et le volet technique, rapporte L’As.

Pour rappel, Babacar Mbaye Ngaraf a été l’une des premières personnes a avoir déposé une plainte auprès de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofanc) dans cette affaire de scandale de corruption impliquant Aliou Sall, le frère du président Macky Sall.

Affaire BBC: le procureur de la République Serigne Bassirou Guèye lance un appel à témoin

S’exprimant lors d’une conférence de presse, le procureur de la République Serigne Bassirou Guèye a appelé toute personne détentrice d’une quelque information se rapportant à ce dossier à aider à la manifestation de la vérité.

L’ouverture d’une «enquête complète et approfondie». C’est l’instruction du procureur de la République au sujet de l’affaire Petro-Tim déclenchée par l’enquête de la BBC et mettant en cause Aliou Sall, frère du chef de l’Etat Macky Sall, dans le cadre des contrats pour l’exploitation du pétrole et du gaz découverts sur la Grande Côte.

«Tous ces experts, analystes et grands connaisseurs du pétrole et du gaz qui s’agitent sur les plateaux de télévision et à travers les réseaux sociaux ont ainsi une occasion de diriger leurs efforts vers la Division des investigations criminelles (DIC) pour, à cet effet, parler de façon officielle sur la question et éclairer la lanterne des Sénégalais», a tancé Serigne Bassirou Guèye.

Le Procureur de la République a  par ailleurs indiqué avoir saisi la DIC de même que la section de recherches de la Gendarmerie pour mettre fin à ces rumeurs et commentaires se rapportant aux contrats pétroliers et gaziers ces derniers, suite à la publication du documentaire de la BBC.

L’homme de loi a décliné le rôle de chacun de ces acteurs. La DIC doit «entendre toutes personnes détentrices d’un document ou d’une quelque connaissance sur ces supposés contrats pétroliers et gaziers», tandis que la section de recherches de la Gendarmerie, «elle est appelée à mener des investigations sur l’identité de l’auteur de ce rapport de l‘Inspection générale d’Etat (IGE) ainsi que sur les conditions de sa divulgation», a souligné le procureur.

«Cet appel à témoin n’épargnera aucune personne et ne négligera aucun témoignage devant faciliter la manifestation de la vérité», a notamment insisté le procureur.

Concernant Mayeni Jones, la journaliste de la BBC auteur de l’enquête publié par la chaîne britannique, le procureur déclare que si elle ne se présente pas de son propre chef pour témoigner, une convocation lui sera transmise.

«Toute personne citée sur cette affaire sera entendue, y compris Frank Timis et Aliou Sall», a-t-il dit, assurant avoir «toutes les coudées franches pour conduire une enquête complète et approfondie».

Serigne Bassirou Guèye a aussi rappelé qu’il ne se plaçait pas dans une perspective «d’arrestation» ou «d’intimidation», mais qu’il était plutôt guidé par le souci d’aider à la manifestation de la vérité sur cette affaire.

Révélations de la BBC: levée de boucliers au Sénégal

Depuis la diffusion de l’enquête de la chaîne, les avis fusent de partout dans la sphère politique et économique du pays. A ce propos, Thierno Alassane Sall, alias TAS, et le député de Tekki Mamadou Lamine Diallo donnent une conférence de presse ce jour.

La conférence de presse est prévue pour16h, heure locale. Les supputations vont déjà bon train quant à ce qui va se dire cet après-midi. L’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye, l’ex-ministre de l’Énergie Thierno Alassane Sall, alias TAS, et le député de Tekki Mamadou Lamine Diallo seront face à la presse. Ils vont certainement analyser les révélations de la BBC sur le pétrole sénégalais et les diverses sorties et suites données à cette affaire.

L’enquête de la BBC révélant des faits de fraudes et de corruption dans les secteurs du pétrole et du gaz au Sénégal a créé un tollé général et une suite d’instructions judiciaires.

La saisie du procureur général de Dakar pour «l’ouverture d’une enquête complète» et la procédure devant le parquet près le tribunal de grande instance de Dakar pour l’ouverture d’une information judiciaire après la divulgation d’un rapport attribué à l’Inspection générale d’État (Ige) sur le scandale Petro-Tim. L’objectif de cette deuxième procédure étant de débusquer la personne qui aurait rendu public ledit rapport qui n’est pas en faveur du régime de Macky Sall. Aliou Sall, cité dans le dossier a lui aussi annoncé une plainte pour diffamation.

Jacques Habib Sy consultant international, interviewé par senego avoue que le seul à pouvoir éclairer l’opinion publique sur le sujet est le Président Macky Sall. Au sujet de la saisie du procureur de la République de Dakar, les procédures doivent être «menées par des hommes de l’art intègre. Que les choses soient diligentées dans les règles de l’art, qu’on évite tout ce qui divise, tel qu’il a été le cas lors des élections…»

Près de 84 mille milliards de francs CFA attendus du gaz et du pétrole

L’exploitation des deux gisements SNE et Grand tortue va apporter des revenus totaux de plus de 150 milliards de dollar US selon le DG de PETROSEN.

Cette exploitation va générer également des dépenses de près de 60 milliards de dollar US (33000 milliards de Francs CFA).

Faisant une présentation lors de la concertation nationale sur la gestion des recettes issues de l’exploitation du pétrole et du gaz, M.Faye a indiqué que la part de l’Etat du Sénégal représente 52 à 66% des profits.

Selon le DG de PETROSEN, les revenus de l’Etat se chiffrent à plus de 30 milliards de dollar US (soit 16.000 milliards de francs CFA) pendant une trentaine d’années.

Depuis 2014, des découvertes de gaz de classe mondiale ont été faites dans les profondeurs offshores, au nord de la péninsule de Dakar.

Il s’agit de Grand tortue, 20 Tcf (560 milliards de mètres cubes), Teranga 5Tcf (140 milliards de mètres cubes) et Yakaar 15 Tcf (420 milliards mètres cubes).  Le développement et l’exploitation de ces découvertes vont commencer avec le champ Grand tortue.  Le gisement de Grand tortue est à cheval sur la frontière entre le Sénégal et la Mauritanie. Les deux pays ont signé en février un Accord de coopération internationale.

Les deux sociétés nationales du Sénégal et de la Mauritanie et BP et Kosmos ont commencé les études pour le développement du champ.

Le développement de Grand tortue nécessite un investissement total de 16, 289 milliards de dollars US, dont 10% pour la participation de PETROSEN soit 1,629 milliards dollar US. Pour le pétrole, depuis 2014 quatre découvertes ont été faites dans le bloc Sangomar profond.

La découverte SNE-1 a été entièrement évaluée avec des réserves entre 346 et 998 millions de barils pétrole. Le développement du champ SNE nécessite un investissement global de 5,83 milliards de dollar US, pour la mise en œuvre des trois phases. La participation de PETROSEN est de 18%, soit un montant de 1,05 milliard de dollar US .

 

Ressources pétro-gazières : une organisation participera au dialogue

Il s’agit de l’association de la société civile « Publiez ce que vous payez » (PCQVP/Sénégal)

La Coalition nationale « Publiez Ce Que Vous Payez » organisation de la société civile, a donné son accord pour participer au dialogue national sur la gestion des ressources pétro-gazières du Sénégal, convoqué 12 Juin par le président Macky Sall, a appris APA auprès de la coalition. « Vu l’importance du dialogue dans la gestion des ressources publiques en général, et des revenus issus du secteur extractif en particulier, la Coalition et ses partenaires marquent leur disponibilité à prendre part à ce processus de concertation des acteurs », écrit le mouvement qui lutte pour la transparence et la redevabilité dans la gouvernance des ressources minérales, dans un communiqué dont APA a reçu copie lundi.

Cette décision a été prise samedi dernier, au terme d’une réunion portant sur la réponse à apporter à l’appel au dialogue du président Sall sur la gestion des revenus issus de la prochaine exploitation du pétrole et du gaz au Sénégal, en 2021.

« Relativement à cet appel au dialogue, la Coalition et ses partenaires se félicitent de la démarche du Président de la République et de son Gouvernement. Cet appel constitue un début de matérialisation de la dernière réforme constitutionnelle qui a consacré la propriété des ressources naturelles au Peuple », commente la coalition « Publiez Ce Que Vous Payez », coordonnée au niveau national par le Sénégalais Demba Seydi.

Toutefois, souligne le communiqué, la Coalition et ses partenaires « restent préoccupés » par la méthode adoptée par le président de la République et son gouvernement.

 

Hydrocarbure : le dialogue sur le pétrole et le Gaz s’ouvre ce 12 Juin

Le colloque sur l’exploitation des ressources pétrolières et gazières découverte au Sénégal se tiendra au palais présidentiel de Dakar

Le dialogue national sur l’exploitation des ressources pétrolières et gazières découvertes au Sénégal s’ouvre, mardi 12 juin 2018 au Palais présidentiel, à Dakar, a appris APA d’une source officielle. « (…) le Président de la République informe le Conseil du lancement, le 12 juin 2018, des travaux du Dialogue national sur l’exploitation des ressources pétrolières et gazières afin d’instaurer une Gouvernance inclusive et transparente de nos ressources naturelles et d’asseoir un consensus national durable sur les orientations stratégiques qui encadrent le développement, au service exclusif de la Nation, de l’industrie pétrolière et gazière », rapporte le communiqué du Conseil des ministres de mercredi dernier.

Selon le texte, le Président de la République rappelle que le Comité d’Orientation stratégique sur le Pétrole et le Gaz (COS- PETROGAZ) a été mis en place et l’Institut National du Pétrole et du Gaz (INPG) créé, pour consolider la dynamique de gestion concertée, responsable et transparente des ressources naturelles du Sénégal.

Ce dialogue est rejeté par une partie de l’opposition qui fustige les accords signés entre Dakar et Nouakchott et qui portent sur le partage du gaz découvert de leur frontière commune.

 

Hydrocarbure : l’accord de partage de gaz entre le Sénégal et la Mauritanie validé

L’Assemblée nationale a approuvé le 1er Juin dernier la loi autorisant le président de la République à ratifier l’accord sur le partage du  gaz avec la Mauritanie

Le projet de loi numéro 16/2018 autorisant le président de la République à ratifier l’accord de coopération inter-Etat portant sur le développement et l’exploitation des réservoirs du champ grand tortue/Ahmeyim entre le Sénégal et la Mauritanie, signé le 09 février 2018 à Nouakchott a été voté vendredi soir à l’Assemblée nationale.

Ainsi, il ressort du dossier de l’accord que des travaux de forage entrepris dans chacune des zones économiques du Sénégal et de la Mauritanie ont révélé l’existence de réservoirs de gaz naturel, dénommés les réservoirs  du champ Gand Tortue/Ahmeyim (GTA) entre le Sénégal et la Mauritanie.

Au sens du présent accord le Champ désigne tous les horizons géologiques, les réservoirs et les zones renfermant du gaz naturel situés au-dessus du périmètre de l’unité jusqu’à la profondeur qui sera définie d’un commun accord et sont spécifiés dans les décrets portant autorisation d’exploitation.

Cette  découverte à fait l’objet de travaux d’évaluation suivis d’essais de production entre 2016 et 2017. Et les données sismiques 3D et celles recueillie des puits ont révélé d’importantes ressources récupérables pour les réservoirs  GTA évaluées à près de 560 milliards de mètres cubes, réparties équitablement entre les deux pays.

Les parties ont manifesté leur désir de s’accorder sur les conditions et les modalités efficientes inhérentes au développement et à l’exploitation du Champ Grand tortue/Ahmeyim GTA comme une unité unique.

C’est au terme de ce processus de négociations avec leurs partenaires que les gouvernements du Sénégal et de la Mauritanie ont signé, le 09 février 2018 à Nouakchott, cet accord  de coopération inter-Etat pour le développement et l’exploitation de ces importants réservoirs.

 

BP s’engage pour une gouvernance transparente des hydrocarbures

Cette décision est celle du Directeur général de la multinationale British Petroleum lors de l’ouverture de la 3ème conférence nationale sur le développement durable (CNDD).

La multinationale pétrolière britannique BP (British Petroleum) dit œuvrer pour une bonne gouvernance des ressources gazières et pétrolières découvertes au Sénégal, afin que le pays occupe une place importante sur la carte énergétique mondiale. « Nous mesurons la tâche que vous nous avez confiée et nous comptons l’accomplir avec toutes les parties prenantes pour développer les ressources gazières. Ces ressources devront être développées de manière compétitive », a déclaré Géraud Moussarie, directeur de cette compagnie au Sénégal.

Il intervenait mardi à Diamniadio (département de Rufisque), à l’ouverture de la troisième conférence nationale sur le développement durable (CNDD).

« Il s’agit de faire en sorte que le Sénégal trouve sa juste place sur la carte énergétique mondiale, de manière éthique, responsable et écologique afin que nos options répondent aux attentes en développement durable », a-t-il souligné au cours de cette rencontre dont l’ouverture officielle a été présidée par le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Mame Thierno Dieng.

« Nous comptons amener notre expertise en gaz naturel liquéfié au Sénégal, en vue de créer, un environnement compétitif et inclusif », a promis M. Moussa rie, selon qui la problématique du développement durable relève d’une mission collective.

Selon lui, « les quantités de gaz disponibles au Sénégal peuvent être exportées tout en alimentant le canal énergétique domestique. C’est une chance ».

Aussi, pour que le projet gaz naturel aboutisse, « il est utile d’avoir un cadre d’investissement favorable et des investisseurs expérimentés, car le marché international du gaz liquéfié est très compétitif », a-t-il indiqué.

Géraud Moussarie a ainsi réaffirmé l’option de BP de transférer sa technologie et son savoir-faire commercial au Sénégal, dans le but d’appuyer le renforcement des capacités des experts locaux.

« BP a une expérience variée en développement. Le développement durable ne se limite pas seulement aux pays émergents. Nous prenons très au sérieux, notre responsabilité d’agir de manière transparente et éthique, tout en encourageant un environnement des compétitif », a-t-il fait valoir.

La multinationale pétrolière britannique envisage de faire ses premières livraisons de gaz sur le marché mondial à l’horizon 2021.

Le gisement Grand-Tortue, considéré comme l’un des plus importants gisements d’Afrique de l’Ouest, pourrait générer 700 milliards de mètres cubes de gaz, selon la compagnie pétrolière.

Dans le but de produire ses premières quantités de gaz naturel liquéfié, BP va installer sa première usine de liquéfaction de gaz naturel – une barge flottante – à la frontière maritime sénégalo-mauritanienne, à huit kilomètres de Saint-Louis.