Rewmi: Badara Gadiaga démissionne.

Encore une nouvelle démission au parti Rewmi d’Idrissa Seck. Après le départ d’Abdourahmane Diouf et l’épisode Déthié Fall qui a pris ses distances, un autre responsable et pas des moindres quitte le navire qui a fini de s’amarrer dans la mouvance présidentielle. En effet, l’ex-membre du Secrétariat national et de la Cellule de communication du Parti Rewmi, Badara Gadiaga vient d’officialiser sa démission. Voici sa déclaration:

Chers amis, frères, sœurs et compatriotes,

Après 16 ans de compagnonnage empreint de joie, de peine , de succès, d’échecs, de hauts et de bas, je vous informe par ce présent communiqué de ma décision de démissionner du parti Rewmi et donc de me décharger de toutes les responsabilités y afférentes.

Cette décision quoique difficile et probablement inattendue pour certains, est le fruit d’une mûre et sérieuse réflexion.

J’exprime toute ma gratitude et toute ma reconnaissance au président Idrissa SECK ainsi qu’aux militants et sympathisants du Rewmi avec qui j’ai partagé cet idéal pour notre cher SENEGAL ????????.

Je ne saurais terminer sans remercier mais aussi rendre un vibrant hommage à ceux-là qui m’ont accompagné et soutenu depuis le début du projet, qu’ALLAH vous le rétribue en bien et en bienfaits.

Badara GADIAGA

Ex membre du Secrétariat National et de la Cellule de communication du Parti Rewmi

Conseiller municipal à la mairie de Grand Dakar

Conseiller à la ville de DAKAR

Président de la commission Communication et NTIC de la ville de DAKAR

Le nouveau président du CESE, Idrissa Seck, dévoile sa feuille de route

Le nouveau président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), l’ancien Premier ministre Idrissa Seck a dévoilé jeudi sa feuille de route à la tête de cette institution qu’il s’est engagé à rendre la plus utile possible en s’appuyant sur le triptyque ’’humilité, ouverture et disponibilité’’.


M. Seck a pris ses fonctions au cours d’une cérémonie officielle organisée en présence du ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions, Samba Sy.


Une écharpe aux couleurs nationales symbolisant ses nouvelles représentations lui a été présentée avant qu’il ne la porte avec l’aide du premier vice-président du CESE, Baidy Agne.


« J’appelle tout le monde à faire preuve d’humilité, d’ouverture et de disponibilité pour plus de collaboration avec les autres institutions mais aussi envers les citoyens’’, a déclaré M. Seck.


Il a ensuite évoqué les principes devant guider l’action du CESE, à partir du triptyque humilité-ouverture-disponibilité, qui devrait selon lui permettre de ’’mieux écouter les Sénégalais, de mieux entendre leurs voix, de mieux identifier leurs attentes, pour enfin mieux les relayer à qui de droit.’’


’’Au cours de la longue et enrichissante audience que le président a bien voulu m’accorder pour me signifier ses orientations et attentes, j’ai pu mesurer que le sort de la jeunesse qui se tourne désespérément vers l’émigration clandestine, constitue une sur priorité pour le chef de l’Etat’’, a relevé le nouveau président du Conseil économique, social et environnemental.


Aussi a-t-il annoncé de ’’larges concertations’’ à venir pour mieux étudier les causes de ce phénomène ainsi que d’autres sujets à l’instar du chômage, des inondations, ainsi que ’’toutes les urgences retiendront son attention.’’


En vue d’arriver à un Conseil économique, social et environnemental ’’plus utile’’, Idrissa Seck explique que sur ’’des sujets d’intérêt national, chaque citoyen qui parviendrait à réunir plus de 5000 signatures » pourrait les déposer auprès du CESE pourra l’amener à s’autosaisir d’une question déterminée.


Il a salué la qualité des ressources humaines qu’il dit trouver sur place et a aussi émis l’idée d’une « plus grande ouverture aux centres de recherche, aux universitaires afin de faire profiter au CESE les meilleurs talents d’ici et d’ailleurs.’’


M. Seck, répondant à ceux qui s’interrogent sur son choix jugé inattendu de rejoindre la majorité, a déclaré que ’’la nécessité crée l’exception, même en religion’’, citant ainsi une sagesse du soufisme musulman.


’’Au-delà de la cérémonie d’installation, il s’agit de la vie constante de nos institutions’’, a rappelé le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions, Samba Sy.


Il dit espérer que de par sa touche personnelle, son parcours professionnel et politique, Idrissa Seck saura œuvrer à « davantage amener les Sénégalais à mieux appréhender la noblesse et l’utilité de cette institution constitutionnelle, consultative et représentative.’’


L’ancien Premier ministre a été nommé par décret le 1 novembre 2020, président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), en remplacement de madame Aminata Touré.


Ancien allié du président Macky Sall, Idrissa Seck avait par la suite rejoint l’opposition. Depuis quelques années très critique envers le régime de ce dernier, l’ex-maire de Thiès ne semblait plus actif dans l’opposition depuis l’apparition de la COVID-19, en mars dernier.


Idrissa Seck, également président du conseil départemental de Thiès, a tour à tour été ministre d’État, directeur de cabinet du président de la République et Premier ministre sous le régime du président Abdoulaye Wade (2000-2012).


Auparavant, il avait été ministre du Commerce, de l’Artisanat et de l’Industrialisation dans le gouvernement d’union nationale formé par le Premier ministre Habib Thiam, sous le régime d’Abdou Diouf.

Adama Gaye regrette son soutien à Idrissa Seck

Adama Gaye regrette son soutien à Idrissa Seck. Le journaliste récemment élargi de prison s’est exprimé sur sa page Facebook sur son compagnonnage avec le patron de Rewmi.

« Le temps des clarifications exige que j’informe le pays entier que j’ai décidé de couper tout lien politique et autres avec Idrissa Seck. Je regrette de lui avoir accordé mon soutien à la dernière présidentielle. Je le sais : la realpolitik est machiavélique et donc cynique. Elle n’en demeure pas moins un instrument de politique, un tantinet politicien », a écrit le journaliste sur son mur.

Poursuivant, il mentionne : « Je crois cependant davantage aux idéaux plus humains. L’un d’eux nous impose de reconnaître nos erreurs et errements. Ce fut mon cas en soutenant Idy. Je marque ma distance, ici. Finale. Définitivement ! ». « Libre, n’est-il pas temps de suivre un chemin que l’on peut assumer », s’interroge-t-il. Avant d’annoncer : « Je suis ma piste en compagnie de celles et ceux partageant les mêmes idées, idéaux et attitudes ».

Source : Senenews

Dialogue politique: les leaders de l’opposition passent un message

Les candidats malheureux à la présidentielle de février et Cie veulent se servir de la plateforme du dialogue national pour s’adresser au peuple.

Ils ont gardé le suspense. Les leaders de l’opposition, ont pris à contre-pied l’opinion publique. Bon nombre pensait qu’ils allaient briller par leur absence ce 09 mai aux travaux du dialogue national.

Idrissa Seck, Issa Sall, Madické Niang et Cie sont plutôt porteur d’un message au peuple. «On a eu des consensus très forts. On s’est mis d’accord sur une position et vous le saurez demain (ce jeudi : Ndlr). Nous irons là-bas pour porter un message, chacun des partis membres du Front», déclarent les membres du Front de résistance dans Le Quotidien.

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Au menu des assises, les points tels que la date des élections locales, le statut du chef de l’opposition, l’application de la suppression du poste de Premier ministre.

Réforme constitutionnelle: les candidats malheureux à la Présidentielle demandent un référendum

Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Issa Sall et Madické Niang s’opposent au projet de loi et réclament la tenue d’un référendum.

Ils ont été peu loquaces tout au long de la procédure. Alors que le projet de loi portant réforme constitutionnelle est sur la table des députés, l’opposition sort de son mutisme.  Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Madické Niang et Issa Sall, candidats malheureux à la Présidentielle 2019 s’opposent à ce projet de loi et exigent la tenue d’un référendum.

Pour eux, cette réforme est inaccessible dans la mesure où elle n’était pas mentionnée dans les programmes proposés aux Sénégalais lors de la Présidentielle passée.

Le projet, validé en Conseil des ministres le 17 avril, a été présenté ce jeudi à l’Assemblée nationale. Mardi 30 avril, le texte sera présenté en Commission des lois, et le vote a été fixé au samedi 4 mai, lors d’une séance plénière.

Victoire à la présidentielle sénégalaise: Macky Sall tend la main à l’opposition

Il a été officiellement déclaré vainqueur de la présidentielle sénégalaise par le Conseil constitutionnel, le 5 mars et il rempile pour un mandat de cinq ans.

La confirmation de la victoire de Macky Sall par l’instance sonne comme une validation du plan Sénégal émergent (Pse). Le Président du Sénégal s’engage à « faire encore plus et mieux» avec cette planification qu’il a impulsée.

Pour lui, l’heure est au dialogue républicain. « Mon rôle c’est de nous rassembler autour des idéaux que nous partageons. C’est pourquoi je tends la main à toutes et à tous, pour engager un dialogue ouvert et constructif dans l’intérêt supérieur de la nation. Je ferai des propositions en ce sens. Je convie à ce dialogue républicain toutes les forces vives de la nation, sans exclusive. Un dialogue auquel mes prédécesseurs, Abdou Diouf et Abdoulaye Wade pourrait apporter leur contribution. » Rappelons que Abdoulaye Wade avait appelé au boycott de l’élection présidentielle car, disait-il, elle était toute acquise à Macky Sall.

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Le Conseil constitutionnel a confirmé et validé, hier les résultats provisoires de la commission nationale de recensement des votes de l’élection présidentielle du 24 février 2019.

Macky Sall s’en sort avec 58,26% des voix. C qui lui confère une victoire dès le premier tour. Des suffrages qui correspondent à plus de 2,5 millions de voix, soit trois fois plus de que le second de ce premier tour, Idrissa Seck, 20,5%.

Le Conseil constitutionnel confirme également le score de Ousmane Sonko qui arrive en troisième position obtient 15,67%. Les deux derniers Issa Sall et Madické Niang sont loin derrière avec 4,07% et 1,48% des voix.

Les candidats de l’opposition n’ont pas déposé de recours devant le Conseil constitutionnel bien qu’ayant rejeté les résultats provisoires. Le Conseil constitutionnel a donc confirmé qu’il n’en avait pas reçu dans le délai de 72 heures imparties aux candidats pour saisir le Conseil.

Election présidentielle au Sénégal: Macky Sall réélu au premier tour [Cnrv]

D’après les résultats provisoires officiels de la Commission nationale de recensement des votes le président sortant est vainqueur de l’élection présidentielle sénégalaise du 24 février, avec 58,27 % des votes.

La Commission nationale de recensement des votes a tombé sa copie. 58, 27%, c’est le score de Macky Sall à l’élection présidentielle du 24 février dernier. Le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) est suivi d’Idrissa Seck, qui obtient 20,50 % des voix. Ousmane Sonko arrive troisième avec 15,67 %. Des scores qui correspondent à ceux compilés par les commissions départementales de recensement des votes (Cdrv).

L’universitaire Issa Sall a obtenu 4,07 % des suffrages, et l’ancien ministre Madické Niang a eu 1,48 % des voix. Le taux de participation est de 66,25 %, selon le président de la Cnvr.

En rappel, au soir de l’élection le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne a fait une sortie où il déclarait Macky Sall, vainqueur de l’élection avec 57% des voix.

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Pas plus tard que hier mercredi, Macky Sall lors du Conseil des ministres a prescrit au Premier ministre de prendre des dispositions pour l’organisation de la cérémonie de prestation de serment. Alors même que l’opposition réclame un second tour.  Le Conseil constitutionnel a jusqu’à demain, minuit pour proclamé les résultats officiels.

Le président qui rempile a gravi progressivement les échelons. Il a été maire de Fatick et directeur général de la société nationale pétrolière. Il a exercé les fonctions de ministre plusieurs fois. Il est également passé par la députation avant d’occuper la fonction de Premier ministre et président de l’Assemblée nationale.

Il a été militant d’AJ/PADS avant de rejoindre le Parti démocratique sénégalais (PDS), la formation de son ancien mentor Abdoulaye Wade, son adversaire au second tour de l’élection présidentielle de février-mars 2012.

Climat post-électoral: Macky Sall prépare la prestation de serment, l’opposition réclame un second tour

Alors que l’attention est cristallisée sur la proclamation des résultats de la présidentielle du 24 février dernier, Macky Sall donne des directives pour la préparation du 4 avril ainsi que la cérémonie de prestation de serment du nouveau Président.

Nombreux sont ceux qui attendent ce jour la lecture des résultats de l’élection par la Commission nationale de recensement des votes (Cnrv). Pendant ce temps, Macky Sall a donné des directives en vue de la préparation de la fête nationale, le 4 avril prochain.

« Le chef de l’Etat a terminé sa communication sur son agenda et les préparatifs de la fête du 4 avril 2019, marquant le 59 anniversaire de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale », peut-on lire sur le communiqué final du Conseil des ministres tenus hier, 27 février.

Le chef de l’Etat a également demandé au Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne « de faire prendre toutes les dispositions, en relations avec les services compétents de l’Etat, pour la bonne préparation de l’installation du président de la République élu à l’issue du scrutin du 24 février 2019.

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Ceci alors même que l’opposition réclame un second tour. Notamment Ousmane Sonko et Idrissa Seck qui ont appelé les électeurs à se préparer au second tour. Les partisans de la coalition « Idy 2019 » ont d’ailleurs organisé des manifestations en protestation « d’une victoire volée en préparation dans le camp BBY ». Des arrestations ont d’ailleurs été enregistrées.

En rappel au soir de l’élection, le Premier ministre et directeur de campagne du candidat de la coalition BBY a proclamé Macky Sall vainqueur dès le premier tour avec un pourcentage de 57%.

Présidentielle du 24 février: les résultats provisoires portent Macky Sall gagnant dès le premier tour

D’après les résultats provisoires des Commissions départementales de recensement des votes relayés par les médias, le président sortant l’emporte avec un peu plus de 57%.

Les résultats des Commissions départementales rendus publics hier, 26 février semble confirmer l’assertion du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne au soir de l’élection présidentielle du 24 février dernier. Il donnait le président sortant, Macky Sall, vainqueur dès le premier tour avec 57% des suffrages exprimés.

Selon l’Agence de presse sénégalaise (Aps), sur les 4 362 309 votants, le président sortant Macky Sall, a glané lors du scrutin de dimanche plus de 2,2 millions de voix, contre près de 1,7 million au total pour les quatre autres candidats. Les chiffres officiels des commissions départementales ont été affichés devant les tribunaux départementaux.

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Des chiffres qui correspondent à une majorité absolue de 57,26 % pour Macky Sall, contre 21,63 % pour l’ex-Premier ministre Idrissa Seck, 15,55 % pour le candidat Ousmane Sonko. D’autres médias brandissent d’autres chiffres qui reflètent toutefois la même réalité: Macky Sall: 58%, Idrissa Seck: 20% et Ousmane Sonko: 16%.

Les autres candidats Issa Sall (4,09 %) et Madické Niang (1,47 %) sont assez distancés. Sur les 6 683 043 d’inscrits, 4 362 309 ont pris part au scrutin, soit un pourcentage de 65%.

La Commission nationale de recensement des votes (Cnrv) a déjà débuté à scruter les chiffres dévoilés par les commissions départementales. La Cnrv doit publier ses résultats jeudi ou vendredi au plus tard. Ils seront ensuite rendus définitifs par le Conseil constitutionnel, après l’examen d’éventuels recours.

Scrutin présidentiel au Sénégal: la guerre des estimations a débuté

En attendant les résultats provisoires des commissions départementales qui devraient être proclamés au plus tard demain, le camp Macky Sall le proclame vainqueur avec un score de 57%. L’opposition appelle les populations à préparer le second tour.

Le premier ministre, Mahammed Boun Abdallah ne pouvait attendre plus longtemps. A minuit (heure locale), il a mobilisé la presse pour annoncer la réélection de Macky Sall. «Au moins 57%» au premier tour, c’est le chiffre qu’il brandit pour son candidat. « Les résultats nous permettent de dire qu’il nous faut féliciter le président Macky Sall pour sa réélection », a déclaré M. Dionne.

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Une proclamation «hâtive» des résultats que l’opposition redoutait. Quelques minutes avant la sortie du Premier ministre Dionne, Idrissa Seck et Ousmane Sonko, principaux rivaux du candidat sortant, ont donné une conférence de presse.

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«Dans l’état actuel du dépouillement, aucun candidat, je dis bien aucun candidat, moi y compris, ne peut se proclamer vainqueur de l’élection présidentielle », avisait Ousmane Sonko. Les deux candidats de l’opposition appelaient les populations à se préparer à un second tour « à ce stade, un deuxième tour s’annonce et les résultats qui sont déjà compilés nous permettent de le dire », a affirmé l’ancien premier ministre Idrissa Seck, qui se présente pour la troisième fois à la présidentielle.

Contrairement aux estimations de la majorité des médias qui donnaient Macky Sall Favori, Ousmane Sonko constate « cette volonté de changement, nous l’avons notée, et au regard des premières compilations d’information que nous avons, vous l’avez majoritairement exprimée en faveur de l’opposition », a-t-il ajouté.

Résultats définitifs

Les Commissions départementales de recensement des votes (Cdrv), ont jusqu’au mardi 26 février à midi pour publier les résultats provisoires de leur département.

Autre article: Présidentielle 2019 : les résultats définitifs devraient être connus le 1er mars

Les procès-verbaux sont par la suite acheminés vers la Commission nationale de recensement des votes (Cnrv), à Dakar. Elle est tenue de publier les résultats provisoires avant vendredi, soit le 1er mars, à minuit. L’ensemble des résultats sont alors transmis au Conseil constitutionnel qui proclame les résultats définitifs après avoir examiné d’éventuels recours en cas d’irrégularités.

Idrissa Seck, au dégoût du jour !

Comme annoncé dans la journée, Fabinho quitte Monaco pour Liverpool, avec qui il a signé cinq ans. Sur son compte twitter, le club anglais a posté une vidéo, avec ce titre : ‘’Welcome Fabinho’’.

Le club de la Principauté doit empocher 50 M€ plus 5 M€ de bonus pour la vente de son milieu brésilien de 24 ans, qui avait rejoint l’ASM en 2013. Avec Monaco, Fabinho a remporté le titre la saison dernière en Ligue 1, et contribué cette année-là au fantastique parcours monégasque en C1 (demi-finales).

Idrissa Seck réaffrime son appartenance à la religion musulmane

Thiès, Le leader du parti Rewmi (opposition), Idrissa Seck a réaffirmé mardi à Thiès son appartenance à la religion musulmane, répondant à des critiques dont il a fait l’objet, suite à ses propos sur La Mecque et le pèlerinage musulman que d’aucun ont jugé blasphématoires.

« Ce que je veux dire d’abord, c’est que j’aspire à être un musulman et un mouride ‘sadiq’ (véridique) », a notamment dit M. Seck s’exprimant en wolof, lors d’un point de presse au cyber campus de Thiès.

« Ces deux aspirations ne sauraient rimer avec ce que des détracteurs tentent de m’imputer, en tentant de faire croire j’ai essayé de minimiser la valeur du Prophète et de la Kaaba », a-t-il dit, estimant que c’est des positions incompatibles.

« +Tu es le noble et je suis ton serviteur+ », a écrit Serigne Touba le fondateur de la confrérie mouride, au sujet du prophète (PSL), a-t-il poursuivi, rejetant toute paternité desdites affirmations.

« Je m’excuse auprès de tous ceux qui ont ressenti de la peine en entendant ces paroles, et en pensant qu’elles sont de moi », a toutefois dit l’homme politique.

Disant avoir « pardonné » en vertu de la sainteté du mois de Ramadan, à ceux qui lui ont attribué ces propos, il a promis de leur répondre à la fin du mois béni.