Le Président sortant de Mauritanie, Mohamed Ould Ghazouani, se porte candidat pour un second mandat

Le Président de la Mauritanie, Mohamed Ould Ghazouani, a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle du 29 juin 2024, lors d’une lettre ouverte adressée à la population mercredi dernier. Cette annonce confirme sa volonté de briguer un second mandat, alors qu’il est à la tête du pays depuis 2019.

Dans sa lettre, le Président sortant a souligné son engagement à servir le pays et à répondre aux attentes de la population. Il s’est engagé à consolider l’unité nationale, à améliorer les conditions de vie des plus démunis, à garantir la sécurité et la stabilité du pays, ainsi qu’à lutter contre la corruption et le détournement des fonds publics.

Le Président Ghazouani a également reconnu les aspirations de la jeunesse mauritanienne, affirmant que répondre à leurs besoins et à leurs espoirs est l’un de ses plus grands défis. Il a mis en avant ses réalisations durant son mandat, notamment la création d’une caisse nationale solidaire et d’un programme pour les plus démunis, ainsi que des avancées en matière de sécurité et de dialogue politique.

La candidature du Président Ghazouani était largement attendue, alors qu’il fait figure de favori dans cette élection. Toutefois, il devra faire face à une dizaine d’autres candidats, dont l’opposant Biram Dah Abeid, arrivé deuxième lors de l’élection présidentielle de 2019.

Cette annonce intervient dans un contexte politique tendu, marqué par des contestations concernant le système de parrainages et des alliances politiques en cours de formation. La campagne électorale officielle débutera le 14 juin et prendra fin le 27 juin, avec un premier tour prévu le 29 juin.

La candidature du Président Ghazouani ouvre ainsi la voie à une compétition électorale cruciale pour l’avenir politique de la Mauritanie, alors que le pays cherche à consolider ses institutions démocratiques après des décennies de coups d’État et de transitions politiques tumultueuses.

Le Parlement britannique approuve la loi controversée sur l’expulsion vers le Rwanda des demandeurs d’asile entrés illégalement

Dans une décision historique, le Parlement britannique a donné son aval, dans la nuit de lundi à mardi, à la mise en œuvre du projet de loi controversé visant à expulser vers le Rwanda les demandeurs d’asile ayant pénétré illégalement au Royaume-Uni. Cette mesure, conçue pour décourager l’immigration clandestine, a suscité des réactions mitigées aussi bien sur la scène nationale qu’internationale.

La délibération a été précédée par une longue lutte entre la chambre haute et la chambre basse, mettant en lumière les divergences au sein du gouvernement britannique. Porté par l’exécutif, ce projet de loi a été présenté comme une pierre angulaire de sa politique migratoire, notamment pour contrer les traversées illégales de la Manche.

Kigali a accueilli favorablement cette décision, exprimant sa satisfaction quant à l’adoption du projet de loi par le Parlement britannique. Toutefois, cette initiative a suscité des inquiétudes au niveau international. L’ONU et le Conseil de l’Europe ont vivement critiqué cette mesure, exhortant le gouvernement britannique à réévaluer sa position et à agir en conformité avec le droit international des droits de l’homme.

Initialement annoncé il y a deux ans par le gouvernement conservateur, ce projet de loi vise à déplacer vers le Rwanda les demandeurs d’asile entrés clandestinement au Royaume-Uni, avec un accent particulier mis sur les traversées de la Manche à bord de canots pneumatiques.

L’appui financier au Rwanda, prévu dans le cadre d’un nouveau traité entre les deux nations, constitue un élément central de cette mesure. Cependant, des préoccupations persistent quant à la désignation du Rwanda comme un pays tiers sûr, notamment en raison des inquiétudes concernant les droits de l’homme sous le régime du président Paul Kagame.

La bataille législative entre les deux chambres du Parlement britannique a finalement pris fin avec l’approbation définitive du projet de loi, malgré les amendements proposés par la chambre des Lords. Cette décision assure l’entrée en vigueur de la loi, marquant un tournant significatif dans la politique migratoire du pays.

Cette mesure revêt également une importance politique, avec le Premier ministre mettant en avant sa volonté de mener à bien ces expulsions, dans un contexte où les conservateurs font face à des échéances électorales délicates.

Toutefois, le projet de loi a suscité de vives critiques, tant de la part de l’opposition que d’organisations de défense des droits de l’homme, qualifiant cette initiative de « brutale » et de violant les droits fondamentaux des individus. Les appels à une approche plus humanitaire et respectueuse des droits de l’homme se multiplient, mettant en lumière les défis persistants auxquels est confrontée la politique migratoire britannique.

Malgré les réserves exprimées par certaines parties prenantes, le gouvernement britannique reste déterminé à mettre en œuvre cette mesure, symbolisant un défi majeur pour la protection des droits des demandeurs d’asile et des migrants dans le contexte actuel.

Hommage à Mamadou Koné, une figure marquante de la justice ivoirienne

Mamadou Koné, magistrat hors classe, est décédé le 8 avril dernier à l’âge de 71 ans en présence du président Alassane Ouattara. Ancien ministre de la Justice et président du Conseil constitutionnel, il sera inhumé aujourd’hui à Bouaké.

Sa carrière exceptionnelle a été soulignée par plusieurs personnalités, dont le ministre de la Défense, le président de l’Ordre national et le président de la Cour des Comptes, qui l’ont qualifié unanimement d’« homme de valeur ».

Sorti major de sa promotion à l’École de la magistrature de Paris, Mamadou Koné a gravi rapidement les échelons pour devenir Garde des Sceaux, président de la Cour suprême, et président du Conseil constitutionnel. Depuis juillet 2023, il présidait le Conseil supérieur de la magistrature.

Hua Koffi, président de la Cour de cassation, a salué sa vision de la justice, la décrivant comme porteuse d’une « justice nouvelle, efficace, qui se réconcilie avec le peuple au nom duquel elle applique la loi. »

En reconnaissance de ses actes, le président Ouattara a remis le drapeau de l’État à la veuve de Mamadou Koné après le défilé des troupes. Mamadou Koné sera inhumé aujourd’hui à Bouaké.

La Russie bloque la surveillance des sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord

Le jeudi 28 mars, la Russie a opposé son veto à la dissolution du système de surveillance des sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord et son programme nucléaire, déclenchant des réactions fortes de la part de la Corée du Sud, des États-Unis et de leurs alliés.

L’avenir du groupe d’experts de l’ONU sur les sanctions contre la Corée du Nord est désormais incertain. L’épisode survenu au Conseil de sécurité de l’ONU illustre les tensions croissantes et risque de priver les États membres d’un outil vital créé en 2009 pour éclairer les politiques vis-à-vis de la Corée du Nord et lutter contre ses tentatives d’évasion des sanctions.

Depuis 2006, la Corée du Nord est soumise à des sanctions de l’ONU liées à son programme nucléaire, renforcées à plusieurs reprises en 2016 et 2017. Cependant, depuis 2019, la Russie et la Chine, invoquant la situation humanitaire en Corée du Nord, réclament un assouplissement de ces sanctions, qui ne comportent pas de date d’expiration.

Malgré des reports de vote visant à permettre des négociations, la Russie a mis son veto au projet de résolution prolongeant d’un an le mandat du comité d’experts, jeudi dernier. Le texte a recueilli treize voix pour, la Chine s’abstenant.

Cet épisode est d’autant plus préoccupant que le premier des deux rapports annuels du comité d’experts, publié début mars dernier, pourrait être le dernier. Ce rapport avait pourtant mis en lumière le rôle des hackers du régime, le nombre de travailleurs nord-coréens à l’étranger, les violations des sanctions maritimes et des limites d’importation de pétrole, ainsi que les différentes méthodes utilisées par Pyongyang pour contourner les sanctions.

Le représentant permanent de la France auprès des Nations unies, Nicolas de Rivière, souligne l’importance de cet outil dans le contexte géopolitique actuel, mettant en garde contre les conséquences d’un affaiblissement de la surveillance des résolutions du Conseil de sécurité.

Le veto russe a été largement dénoncé par les États-Unis et leurs alliés, qui voient dans cette décision une collusion entre la Russie et la Corée du Nord. Ils dénoncent une manœuvre cynique qui compromet la paix et la sécurité mondiales. De son côté, la Corée du Sud a qualifié le veto russe d’« irresponsable ».

Pour justifier son veto, l’ambassadeur russe a affirmé que le comité servait les intérêts occidentaux et entravait la capacité du Conseil à réévaluer l’efficacité des sanctions dans le temps. Un argument contesté par l’ambassadeur français, qui souligne que le projet de résolution proposait un réexamen des sanctions d’ici avril 2025.

En conclusion, la Russie a bloqué un mécanisme crucial de surveillance des sanctions de l’ONU contre la Corée du Nord, suscitant des inquiétudes quant à l’avenir de la diplomatie internationale face à la prolifération nucléaire.

Mali: Les magistrats demandent une nouvelle transition à la Cour constitutionnelle

La Référence syndicale des magistrats (Refsyma) et l’Association malienne des procureurs et poursuivants (AMPP), membres de la coalition d’opposition Appel du 20 février, ont déposé une requête devant la Cour constitutionnelle malienne. Ils demandent que les autorités actuelles, toujours en poste malgré la fin officielle de la période de transition, soient reconnues comme n’ayant plus de mandat. Ils appellent à une nouvelle transition incluant toutes les composantes de la nation, y compris l’armée républicaine, en vue d’organiser des élections pour le retour à l’ordre constitutionnel.

Les magistrats invoquent la nécessité de préserver les acquis démocratiques et de mettre fin aux atteintes aux libertés publiques. Cette action s’inscrit dans la lignée des revendications exprimées par de nombreux partis politiques maliens ces derniers jours.

Cheick Mohamed Cherif Koné, président des deux organisations, a été démis de ses fonctions de premier avocat à la Cour suprême du Mali il y a deux ans et demi, puis radié de la magistrature l’été dernier, en raison de ses déclarations sur l’instrumentalisation de la justice malienne.

Bien que cette requête ait peu de chances d’aboutir, les autorités en place, qui n’ont pas communiqué sur la fin officielle de la période de transition, semblent déterminées à conserver le pouvoir.

Rencontre décisive entre les présidents Tshisekedi et El Ghazouani pour renforcer la coopération et la sécurité

En visite de 48 heures à Nouakchott, en Mauritanie, le président Félix Tshisekedi a tenu des entretiens en tête-à-tête avec son homologue Mohamed Cheikh El Ghazouani, président en exercice de l’Union africaine (UA) ce jeudi.

Les discussions entre les deux chefs d’État ont porté sur la crise sécuritaire persistante dans l’Est de la RDC ainsi que sur la revitalisation de la coopération bilatérale, en mettant l’accent sur les domaines du commerce, de la pêche et de l’éducation.

Le président de l’UA s’est engagé à apporter un soutien diplomatique ferme aux processus de paix de Luanda et de Nairobi, visant à restaurer la stabilité dans la région troublée de l’Est de la RDC. Suite à ces échanges, une séance de travail élargie a eu lieu, rassemblant les délégations respectives des deux pays.

Le ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, ainsi que le haut représentant du chef de l’État, Serge Tshibangu, étaient également présents lors de cette rencontre historique, marquée par l’engagement commun en faveur de la sécurité et de la prospérité dans la région.

Contestation après l’adoption de la nouvelle Constitution au Togo

Une conférence de presse organisée par les partis d’opposition et des groupes de la société civile a été brutalement interrompue par les gendarmes mercredi matin, moins de 48 heures après l’adoption d’une nouvelle Constitution. Cette répression a accentué les difficultés des opposants à faire valoir leur voix dans le débat public.

La première tentative de conférence de presse, orchestrée par une coalition d’une trentaine de partis d’opposition et d’organisations de la société civile, a été interrompue par les forces de l’ordre togolaises. Nathaniel Olympio, leader du Parti des Togolais, qui présidait la réunion, a dénoncé cette intrusion des gendarmes, affirmant que le régime en place à Lomé avait franchi une ligne rouge en privant les citoyens de leur droit de choisir leur président.

Dans un contexte tendu, les contestataires ont dû faire face à un autre obstacle lorsque le propriétaire de la salle de réunion prévue pour l’après-midi a été contraint de refuser l’accès aux participants. Malgré ces entraves, les opposants se sont finalement réunis au siège de l’Alliance nationale du changement pour exhorter le chef de l’État à suspendre la promulgation de la nouvelle Constitution.

Me Paul Dodzi Apévon, président des Forces démocratiques pour la République, a souligné la détermination de l’opposition dans cette lutte, dénonçant les pratiques jugées injustes du gouvernement. Pendant ce temps, le texte de la Constitution adopté par l’Assemblée nationale reste indisponible, alimentant les spéculations et renforçant le mécontentement des opposants qui dénoncent une procédure inacceptable.

Cette réforme, dont la date d’entrée en vigueur reste indéterminée, prévoit que le prochain chef d’État togolais soit élu par le Parlement pour un mandat unique de six ans, avec un pouvoir substantiel dévolu au président du Conseil des ministres, occupé par le chef du parti majoritaire aux législatives. Pour l’opposition, il s’agit d’un subterfuge visant à perpétuer le pouvoir en place, notamment pour Faure Gnassingbé, actuel président, qui pourrait ainsi demeurer indéfiniment au pouvoir.

Appel Urgent du PAM : 242 Millions de Dollars Nécessaires pour Aider les Réfugiés Soudanais au Tchad

Le Programme alimentaire mondial (PAM) a lancé un appel pressant, déclarant un besoin immédiat de 242 millions de dollars, soit plus de 145 milliards de francs CFA, pour financer ses opérations de secours en faveur des réfugiés soudanais touchés par la crise dans l’est du Tchad au cours des six prochains mois.

Selon un communiqué relayé par le site d’information Onuinfo, les programmes de distribution alimentaire risquent de s’interrompre dans quelques semaines en l’absence d’un financement urgent. Le représentant du PAM au Tchad, Pierre Honnorat, a alerté sur la rareté des ressources financières, mettant en garde contre le risque d’arrêt des opérations d’aide humanitaire.

Honnorat a souligné l’urgence de la situation, déclarant que la fenêtre permettant de prépositionner des fournitures se ferme rapidement, alors que les opérations ont déjà été réduites à des niveaux mettant certaines personnes « au bord de la famine ».

Le PAM s’efforce d’acheter, de transporter et de prépositionner suffisamment de stocks dans l’est du Tchad pour répondre aux besoins des réfugiés soudanais et pour mener ses opérations transfrontalières au Darfour. Cependant, ce financement est crucial avant l’arrivée de la saison des pluies, qui rendrait les routes impraticables et bloquerait les camions.

En l’absence de fonds suffisants, l’aide humanitaire risque d’être suspendue pour 1,2 million de réfugiés soudanais. Le PAM souligne que plus de 560 000 réfugiés soudanais et 150 000 rapatriés tchadiens sont entrés au Tchad au cours des 10 derniers mois, portant le nombre total de réfugiés au-dessus de la barre du million et faisant du Tchad l’une des nations accueillant le plus grand nombre de réfugiés en Afrique, avec une croissance rapide de cette population.

Confirmation du décès de Yaya Dillo : Tensions politiques au Tchad

Le Procureur de la République près du Tribunal de Grande Instance de N’Djamena, Oumar Mahamat Kedelaye, a confirmé ce jeudi 29 février 2024 le décès de l’opposant Yaya Dillo Djerou, Président du Parti Socialiste Sans Frontières (PSF).

L’annonce intervient après que le siège du PSF, également résidence de Saleh Deby, ait été la cible de tirs lors d’opérations menées par les forces de l’ordre le 28 février.

Mercredi, Yaya Dillo avait déclaré à Alwihda : « Ma personne est visée. Souvenez-vous, c’est à cette même date d’anniversaire du 28 février 2021 qu’ils ont fait la même chose chez moi. Nous avons fait preuve de naïveté en parlant de pardon. »

L’opposant tchadien avait également nié toute implication dans l’attaque survenue le 19 février 2024 à la Cour Suprême, dénonçant une mise en scène et soulignant la présence de forces de sécurité à proximité.

La confirmation du décès de Yaya Dillo soulève des inquiétudes quant aux tensions politiques et sécuritaires au Tchad. Les circonstances entourant sa mort et les accusations réciproques entre autorités et opposition exigent une enquête approfondie pour établir la vérité et assurer justice pour toutes les parties concernées, selon Alwihda.

Exclusion de deux joueurs clés : la Guinée équatoriale frappée avant la suite de la CAN 2024

Dans un communiqué officiel de la fédération de football, il a été annoncé que le capitaine de l’équipe nationale de football de la Guinée équatoriale, Emilio Nsué, ainsi que son coéquipier Edu Salvador, ont été exclus de l’équipe nationale avec effet immédiat.

Selon le communiqué, des événements très graves se seraient déroulés lors de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2024. Bien que les raisons exactes de leur exclusion n’aient pas été précisées, il a été mentionné que Nsué a été sanctionné pour plusieurs épisodes d’indiscipline sérieuse, tant avant qu’après la participation de l’équipe nationale à la 34ème édition de la CAN. Par conséquent, sa participation en équipe nationale est suspendue jusqu’à nouvel ordre.

Quant à Edu Salvador, il aurait été également impliqué dans un incident désagréable à Abidjan, la capitale de la Côte d’Ivoire. Cet incident aurait nécessité l’intervention de la police ivoirienne et aurait entraîné un retard significatif dans le retour de l’expédition en Guinée équatoriale. De plus, selon le communiqué de la fédération équato-guinéenne, son comportement aurait porté atteinte à la réputation et à l’image de l’équipe nationale ainsi que du pays lui-même.

Cette décision d’exclusion de ces deux joueurs est un coup dur pour l’équipe nationale de la Guinée équatoriale, car Emilio Nsué, meilleur buteur de la CAN 2024, joue un rôle de capitaine et de leader technique sur le terrain.

Inondations meurtrières à Ladysmith en Afrique du Sud

Des équipes de secours en Afrique du Sud sont mobilisées pour retrouver dix personnes disparues suite à des inondations survenues à Ladysmith, dans la province du KwaZulu-Natal. Ces inondations ont également causé la mort de six personnes, selon les autorités locales citées par Africanews.

Des pluies torrentielles se sont abattues dimanche soir, entraînant des véhicules et laissant de nombreux résidents bloqués chez eux.

Selon une responsable des autorités provinciales qui a préféré garder l’anonymat, six décès ont été confirmés jusqu’à présent, avec dix personnes toujours portées disparues. Les recherches pour les retrouver ont repris mardi.

Trois victimes ont été retrouvées dans un minibus transportant neuf passagers, tandis que les six autres restent introuvables, a précisé cette responsable.

Une personne a été retrouvée morte dans une maison détruite par les eaux, et deux autres personnes à l’intérieur demeurent encore non localisées.

Au moins deux autres habitants ont été retrouvés morts à l’intérieur de leurs véhicules emportés par les inondations.

De nouvelles fortes précipitations sont prévues dans la région du KwaZulu-Natal pour la journée de mardi.