Sénégal-Matam : programme « Xeyu Ndawyi », les activés ont démarré

En vue de garantir des emplois aux jeunes de Matam, les autorités ont lancé les activités du programme « Xeyu Ndawyi ». C’était à Sinthiou Bamambé en présence des membres du gouvernement.

Le gouvernement du Sénégal poursuit la mise en œuvre des actions en faveur des jeunes. Les autorités ont mis sur pied « Xewu Ndaw », un programme d’emploi pour les jeunes sénégalais.  Dans la mise en œuvre de cette initiative, 1040 jeunes vont bénéficier du recrutement dans la région de Matam au nord du Sénégal. Ces emplois sont repartis entre les départements de Kanel, Matam et Ranérou Ferlo. En 2022, le gouvernement procédera au recrutement de 600 autres agents du service des Eaux et Forêts et Parcs nationaux.      

838 jeunes sur les 1040 retenus viennent de démarrer de façon officielle leurs activités. La cérémonie de lancement vient de se tenir à Sinthiou Bamambé, une localité du département de Kanel. C’était sous la présidence du ministre de l’Environnement eu du Développement durable Abdou Karim Sall. Le ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla a pris  part à la cérémonie.

Au cours de l’événement, Abdou Karim Sall a précisé le bien-fondé de l’initiative. Pour le ministre, ces moyens humains permettront de « renforcer l’opérationnalisation de l’initiative Plan Sénégal vert (PSE vert) ». Ils aideront à accélérer la reforestation du territoire et à lutter contre les coupes et autres trafics illicites de bois.

Sénégal-transports aériens : les passagers ont le choix entre la vaccination et le test PCR négatif

A la faveur d’une circulaire du ministre du Tourisme et des Transports aériens les passagers vaccinés à destination du Sénégal ne sont plus contraints de présenter un Test RT-PCR. La décision est en vigueur depuis lundi le 11 octobre sur le territoire national.

Désormais, les passagers vaccinés contre la Covid-19 et qui sont à destination du Sénégal, ne sont plus tenus de présenter un test RT-PCR. C’est la substance d’une décision que le ministre du Tourisme et des transports aériens vient de prendre.

En effet, c’est à la faveur de la circulaire 1626/MTTA/DG/ANACIM du lundi 11 Octobre 2021 que le ministre Alioun Sarr lève l’exigence. La mesure s’inscrit dans le cadre du renforcement de « la dynamique de levée des restrictions qui pesaient sur les voyageurs à destination du Sénégal », explique le membre du gouvernement.

En rappel, depuis le 1er septembre 2021, le ministère du Tourisme pris une série de mesures pour relancer le trafic aérien. Ces mesures s’inscrivent dans « un processus graduel de levée des restrictions pesant sur les voyageurs à destination du Sénégal, consacrant ainsi l’ouverture progressive des frontières aériennes », peut-on lire dans la circulaire.

Deux circulaires prises dans ce contexte précisent les conditions de prise de trafic des compagnies aériennes desservant le Sénégal. Il s’agit de la circulaire N°1386/MTTA/ANACIM/DG du 1er septembre 2021 et la circulaire 1562 du 28 septembre 2021.

  Par conséquent, la signature et de l’entrée en vigueur de la circulaire 1626/MTTA/DG/ANACIM du lundi 11 Octobre 2021 viennent abroger et remplacer les deux circulaires antérieures. La nouvelle circulaire dispense de test PCR les passagers vaccinés. Les passagers à destination du Sénégal sont donc appelés soit à présenter un « pass sanitaire » prouvant que qu’ils ont reçu les doses de vaccin datant d’au moins 14 jours, ou alors un test RT-PCR négatif datant de 5 jours.

Sénégal-Covid-19 : zéro décès enregistré ce 11 octobre

Le bilan de l’évolution de la maladie à coronavirus au Sénégal révèle quatre nouveaux cas déclarés. L’on dénombre zéro décès ce 11 octobre 2021.

Le communiqué 589 du ministre de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal informe le public sénégalais sur la situation de la pandémie. Ce 11 octobre, le pays enregistre zéro décès lié au coronavirus.

en effet, selon le communiqué du ministre El Hadji Mamadou Ndiaye, sur 1429 tets réalisés, quatre sont positifs à la Covid-19. La répartition de ces cas affiche zéro contact suivi, zéro cas importé et quatre cas issus de la transmission communautaire. Les quatre cas résident dans la région de Dakar. Trois sont dans le département de Dakar et un dans le département de Guédiawaye. Le communiqué poursuit en précisant que six patients sont guéris. Six autres cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.

Au total, le Sénégal enregistre donc 73841 cas positifs à la covid-19, 71937 guéris, 1868 décès. 37 patients sont sous traitement. Au 10 octobre, 1 271 879 personnes ont déjà reçu leurs doses de vaccin.

Sénégal : 86 000 malades mentaux enregistrés en 2020

Les hôpitaux du Sénégal ont enregistré plus de 86 000 malades mentaux en 2020. Le responsable de la lutte contre la maladie Dr Babakar Guèye l’a révélé à la cérémonie d’ouverture de la 129è journée mondiale de la santé mentale à Thiès.

Le pays de la Téranga enregistre pour le compte de l’année 2020, plus de 86 000 patients atteints des maladies mentales. L’information est du Dr Babakar Guèye. Le responsable de la lutte contre la maladie a saisi le prétexte de la célébration de la journée mondiale de la santé mentale pour faire cette révélation.

 Au total, selon le professionnel de la santé, « en 2020, le nombre de malades mentaux a augmenté conformément à la tendance mondiale. Nous avions enregistré 86.547 malades dans nos structures psychiatriques et 3.515 cas d’hospitalisation ». Les détails à propos de ces chiffres précisent que « la schizophrenie représentait 19,4%, la bouffée délirante aiguë 16,4%. La dépression s’évalue à 5,4% ».

Par ailleurs, les chiffres présentés plus haut peuvent être plus importants. Ils tiennent compte des recensements faits dans les hôpitaux du Sénégal. Les données qu’un système global va collecter permettront de voir la situation avec plus de certitude, a précisé Dr Guèye.

Incidences de la maladie et efforts de l’État

La maladie mentale peut avoir des conséquences sur le patient et sur la société. Selon le directeur de lutte contre la maladie, les incidences sont de plusieurs ordres. Elles peuvent affecter les résultats scolaires et professionnels, les relations avec la famille et les amis, la capacité à participer à la vie collective. En plus, les personnes atteintes de troubles mentaux graves meurent de façon précoce, jusqu’à 20 ans plus tôt.

Ainsi, Pour limiter ces effets, le Sénégal fait des progrès dans le cadre de la prise en charge des patients. L’Etat a procédé à un recrutement de sept nouveaux psychiatres. Avec leur arrivée, le pays compte aujourd’hui 43 psychiatres au lieu de 36. L’Etat a aussi aménagé 15 structures de santé mentale. 391 lits y sont disponibles. Ces structures sont reparties dans 8 régions et sept d’entre elles sont à Dakar.

Europe-Afrique : trois Sénégalais prendront part à la rencontre économique à Annecy

Fatoumata Bâ, Abdou Diop et Eveline Tall représenteront le Sénégal à la rencontre économique Afrique-Europe. Ce sera à Annecy en France au mois de novembre.

Trois figures bien connues de l’environnement économique au Sénégal vont représenter leur pays En France. Fatoumata Bâ, Abdou Diop et Eveline Tall porteront la voix du Sénégal à la 14e édition de la rencontre Europe-Afrique.

La rencontre aura lieu en France, dans la ville d’Annecy du 25 au 27 novembre 2021. L’Institut Aspen France, organisateur de l’événement depuis 1994 a rendu publique l’information dans la journée du 07 octobre 2021 par voie de communiqué.

En effet, Fatoumata Bâ est Président directeur général de Janngo Capital. Abdou Souleye Diop est managing partner de Mazars Audit & Conseil. Eveline Tall pour sa part est présidente de CGF Bourse. Ces délégués du Sénégal vont s’associer à une cinquantaine d’autres participants ayant des profils variés. Ils sont chefs d’entreprises, bailleurs de fonds institutionnels, économistes ou dirigeants européens et africain.

Ainsi, du 25 au 27 novembre prochain, le Centre des Pensières de la Fondation Mérieux servira de cadre pour la tenue de la rencontre. Le thème retenu pour cette édition est « Agenda 2063 : à la recherche d’un business model africain ». Pour en parler, les organisateurs ont prévu six thématiques.

En rappel, la rencontre Afrique-Europe se tient tous les deux ans. Elle réunit des personnalités africaines et européennes ayant une certaine réputation. Ces hommes et femme de renom traitent pendant les trois jours, des problématiques liées au développement et à la relation entre l’Europe et l’Afrique. L’ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) Pascal Lamy préside la réunion en partenariat avec la Banque Mondiale.

Miss-Monde 2021 : Penda Sy, l’envoyée du Sénégal à Porto Rico

Originaire de la région de Tambacounda, Penda Sy est la candidate du Sénégal au concours Miss Monde 2021. Le comité d’organisation miss Sénégal a porté son choix sur l’étudiante pour succéder à Toni-Ann Singh.

Penda Sy a convaincu le jury. La candidate vient de remporter la compétition Miss-Monde Sénégal. Le Comité d’organisation l’a élue à l’issue d’un casting digital. Plus de 100 candidates provenant du Sénégal et de la diaspora ont participé à ce challenge de beauté.

La candidate a su satisfaire aux critères de sélection. Le comité d’organisation a soumis la centaine de candidatures à une évaluation. Elle portait sur la taille, la situation matrimoniale, l’âge, la langue… En effet, « il fallait avoir 1m72 m au minimum. Etre célibataire sans enfant, âgée de moins de 24 ans. Etre bilingue français/anglais de teint naturel Disposer d’excellentes qualités dont une bonne aptitude physique et un casier judiciaire vierge ».

Au terme de son élection, l’étudiante en 3ème année succède à Alberta Diatta, élue lors de la dernière édition de 2019. La nouvelle candidate prépare la compétition au niveau mondial. Penda Sy ira à la conquête du siège et des attributs de Miss-Monde en décembre prochain. Son challenge est de remporter la couronne et le cordon détenus en ce moment par la Jamaïcaine Toni-Ann Singh. La finale se déroulera au Coliseo José Miguel Agrelot, à San Juan, à Porto Rico, le jeudi 16 décembre 2021.

L’esprit désormais porté vers Porto Rico, Penda Sy a déroulé son projet et compte sur le soutien des Sénégalais.

Sénégal : le budget de l’État double en 10 ans

Le chef de l’Etat Macky Sall a présidé hier le Conseil des ministres au Palais de la République. Le projet de loi de finances pour l’exercice 2022 adopté à l’occasion de ce conclave fixe le budget 2022 à plus de 5.150 milliards de FCFA.

De 2012 à 2022, l’enveloppe budgétaire double au Sénégal. En l’espace de 10 ans, le budget passe d’un montant initial de 2344,8 milliards de FCFA, à 5.150 milliards de FCFA. L’information est rendue publique à l’issue du Conseil des ministres tenu le mercredi 06 octobre au Palais de la République.

Sur ce fait, le président de la République n’est pas indifférent. Dans le communiqué final signé du porte-parole du gouvernement Oumar Gueye, Macky Sall a exprimé sa satisfaction. Il a « salué l’adoption en Conseil des ministres du projet de loi de finances pour l’année 2022 arrêté à plus de 5.150 milliards FCFA (…) Il s’est ainsi félicité du dépassement de la barre des 5 000 milliards FCFA ».

Ainsi donc, à la lecture de ce communiqué, la première raison qui explique ce saut est liée aux « performances dans la mobilisation des recettes ». Une performance qui va s’accroître avec les « perspectives favorables de la mise en œuvre de la Stratégie de Recettes à Moyen Terme (SRMT) ». La deuxième raison se trouve dans « l’orientation prioritaire des dépenses vers l’investissement public et la consolidation de l’inclusion sociale », peut-on lire dans ce document.

 

Sénégal : trafic de migrants, un policier et des agents de sécurité interpellés

Plusieurs personnes dont un policier et autres agents de sécurité sont entre les mains de la police républicaine pour trafic de migrants, faux et usage de faux.

Un réseau de trafic de migrants vient d’être démantelé à l’aéroport international Blaise Diane de Diass. Selon les informations communiquées par les médias locaux, de nombreux présumés trafiquants se trouvent entre les mains des autorités en charge de l’ordre et de la sécurité publique. Parmi eux, un policier.

Plusieurs chefs d’accusation sont avancés à leur encontre. Association de malfaiteurs, escroquerie, faux et usage de faux, trafic de migrants. Le policier de la bande avait pris l’habitude de prélever 600 000 francs à chaque candidat sollicitant effectuer un voyage à l’étranger.

Les autres présumés trafiquants sont, selon La Nouvelle Tribune, des agents de sécurité de Amarante. Leur opération, semblable à celle du policier, consistait à prendre 300 à 800 000 FCFA aux voyageurs. Une fois le candidat introduit dans ce réseau de malfaiteurs, son voyage revenait à 4 millions de FCFA environ.

Dans le même circuit un membre de l’équipe se chargeait de fabriquer un faux carnet de vaccination contre la Covid-19. Les différents montants perçus pour le compte du voyage servaient aussi à payer les services de ce dernier. La personne est tout comme les autres, entre les mains des autorités.

 

Sénégal : la justice demande au Parlement de lever l’immunité de Mamadou Sall et de Bobakar Biaye

La justice sénégalaise demande au Parlement de procéder à la levée de l’immunité aux députés El Hadj Mamadou Sall et de Bobakar Biaye. C’est dans le cadre de l’affaire relative au trafic de passeports diplomatiques.

C’est désormais officiel. Au Sénégal, la justice a saisi la représentation du peuple. Elle demande la levée de l’immunité parlementaire des députés El Hadj Mamadou Sall et Bobakar Biaye, cités dans le trafic de passeports diplomatiques au pays de Macky Sall. L’annonce rendue publique hier mardi, est de l’Assemblée nationale.

La direction de la communication de l’Assemblée nationale a donné l’information par voie de communiqué. « Le ministre de la Justice Garde des sceaux a fait parvenir au président de l’Assemblée nationale, le 04 octobre 2021, une demande de levée de l’immunité parlementaire des députés El Hadj Mamadou Sall et de Bobakar Biaye », peut-on lire.

Le communiqué précise que c’est le « juge compétent » qui a formulé la demande. « L’Assemblée nationale a immédiatement accusé réception de la lettre du ministre ». En outre, l’Assemblée a informé que le cas sera à l’ordre du jour lors de l’installation des commissions permanentes. Ce sera le 14 octobre prochain dans le cadre de la session ordinaire unique.

Depuis des semaines, l’affaire de trafic de visas et de passeports diplomatiques fait le tour la presse au Sénégal. Cette affaire épingle ces députés de la majorité présidentielle et les membres fondateurs du célèbre mouvement citoyen « Y en a Marre ». Tandis que ces derniers sont en route pou la prison, les députés sont encore intouchables. l’immunité parlementaire les couvre. Depuis le 13 septembre dernier, El Hadj Diadié Condé, considéré comme le cerveau du réseau se trouve en détention provisoire.

Sénégal-Guinée : Wade tend la main à Condé, la classe politique réagit

L’ancien président Abdoulaye Wade invite son homologue Alpha Condé à son domicile pour observer un temps de réflexion. Une déclaration qui ne laisse pas les Sénégalais indifférents.

Dans un communiqué transmis par Tafsir Thioye porte-parole du PDS, l’ex-chef de l’Etat sénégalais appelle Alpha Condé à son domicile. Maître Wade a invité l’ancien locataire du Palais Sékoutoureya pour « un retrait momentané de réflexion ».

En effet, dans la déclaration du président Wade, il apparait en substance : « Je mets à votre disposition la maison que j’occupe actuellement à Dakar, en bordure de mer, à une heure d’avion de Conakry ». Celui qui a dirigé le Sénégal de 2000 à 2012 ne s’est pas arrêté là. Il a ajouté : « Je dois la libérer incessamment pour retourner à la maison familiale du Point E. La réfection est quasiment terminée ».

Pour finir, Me Wade rassure son invité sur l’accord de son successeur, l’actuel président du Sénégal. Macky Sall n’y verra pas d’inconvénient, a déclaré l’homme politique. Une invite surprenante selon dakaractu, au regard de la tension qui a animé ces deux hommes d’Etat en 2015. Alpha Condé avait alors accusé Abdoulaye Wade d’avoir encouragé Dadis Camara l’ancien président putschiste à rester au pouvoir à Conakry. C’était malgré la pression de la communauté internationale.

Par ailleurs, cette déclaration de Wade suscite déjà les réactions au sein de la classe politique sénégalaise. Le président national du parti ADAE a appelé par une correspondance Abdoulaye Wade à la retenue. « Nous souhaiterions que vous preniez la position de neutralité en prenant de la distance sur certaines affaires d’Etat un peu sensibles », a clamé Me Diaraf Sow.

Ainsi donc, « l’hébergement du professeur Alpha Condé, président déchu de la Guinée ici à Dakar, relève d’une question d’Etat. Seul le président de la République (…) Macky Sall est apte à décider », a précisé le coordonnateur de la coalition Joowléene.

Akon : « L’argent n’est pas toujours le remède »

L’artiste américain d’origine sénégalaise affirme que l’argent n’est pas la panacée à tous les problèmes. Dans une interview accordée aux médias le week-end dernier, Akon a soutenu que la richesse est parfois source de préoccupations.

Rien ne parvient à changer l’avis du fondateur du label Konvict Music, Akon, au sujet de l’argent et de la richesse. Répondant aux critiques auxquelles il est l’objet ces derniers temps, la star de la chanson garde sa position. L’artiste américain d’origine sénégalaise Alioune Badara Thiam persiste. « L’argent n’est pas toujours le remède. Il y a des gens riches en ce moment qui se suicident, meurent d’overdoses. Ce n’est pas l’argent, c’est l’état d’esprit. L’argent crée et engendre tant de jalousie et d’envie, l’argent provoque beaucoup de mal ».

Dans une récente interview sur TMZ, le chanteur du single à succès « Smack That » est revenu sur son expérience pour réaffirmer sa thèse. Akon rappelle à ses détracteurs qu’il a connu la pauvreté avant la richesse. Pour autant, il peut évaluer les bénéfices et les problèmes liés à chaque niveau de vie.

S’appuyant ainsi sur son vécu personnel, l’artiste américain né en 1973 à Saint Louis au Sénégal va tirer conclusion. « Personne ne peut s’asseoir là et me dire que je ne suis pas passé par la pauvreté. J’étais le jeune Africain aux pieds nus jouant au football dans un village sans électricité, sans eau courante, je sais ce que cela faisait. Et croyez-moi, je sais à quoi ressemble la pauvreté», mentionne le producteur.

« Mais je sais aussi à quoi ressemble le succès. Et d’après mon expérience personnelle, j’ai plus de problèmes à gérer avec succès tout ce qui vient du succès que lorsque j’étais pauvre. J’étais en fait plus heureux quand j’étais pauvre », déclare le chanteur du RnB américain.

Sénégal : le gouvernement annonce la reprise du dialogue avec les syndicats d’enseignants

Les négociations entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants vont reprendre. L’annonce faite hier lundi 04 octobre est du ministre de la Fonction publique et du Renouveau du service public, Mariama Sarr. C’était lors de la réunion d’évaluation de l’exécution des accords de 2018 ayant trait à l’éducation.

Entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants le contact est rétabli. C’est l’essentiel qui ressort de la réunion d’évaluation de l’exécution des accords de 2018. Dans les prochains mois, le gouvernement va intensifier le dialogue avec les syndicats d’enseignants, comme l’a précisé le ministre de la Fonction publique et du Renouveau du service public.

 

Mariama Sarr a précisé que « entre octobre, novembre et décembre, tous les ministres vont procéder, chacun en ce qui le concerne, aux rencontres sectorielles, en relation avec les syndicats d’enseignants et les partenaires sociaux que sont la société civile et l’association des parents d’élèves. Et à la fin du mois de décembre, nous allons procéder à la plénière concernant tous les ministres »

Plusieurs autres membres du gouvernement ont pris part à cette réunion. Il s’agit du ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla, celui de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation Cheikh Oumar Hann, le ministre des Finances et du Budget Abdoulaye Daouda Diallo et celui de l’Habitat, Abdoulaye Sow.

Le porte-parole des secrétaires généraux de l’organisation intersyndicale regroupant les sept principaux syndicats d’enseignants du Sénégal a pris part aux travaux. Selon Abdourahmane Guèye, ce dialogue permettra « d’apaiser l’école, comme le veulent aussi bien les enseignants, le gouvernement de même que les élèves et parents d’élèves ». Pour le gouvernement, l’objectif de ces négociations est « d’aboutir à une année scolaire et académique apaisée, avec zéro perturbation », a affirmé le ministre de la Fonction publique.

Ethiopie : Macky Sall a pris part à la prestation de serment d’Abiy Ahmed Ali

Le président du Sénégal se trouve depuis hier soir à Addis Abeba. Macky Sall a pris part ce lundi 04 octobre à la cérémonie de prise de fonction du nouveau Premier ministre d’Éthiopie.  

Sur invitation d’Abiy Ahmed Ali nouveau Premier ministre éthiopien, le chef de l’État sénégalais se trouve dans la capitale Addis Abéba. Macky Sall a quitté Dakar hier pour se rendre à l’investiture du membre du gouvernement au cours de la cérémonie qui a eu lieu ce lundi matin.

Selon la presse éthiopienne en effet, Abiy Ahmed a prêté serment en tant que Premier ministre devant le président de la Cour suprême éthiopienne ce lundi. La Chambre des représentants du peuple éthiopien (chambre basse du Parlement), a réélu l’homme politique à ce poste pour un second mandat de cinq ans.

Selon les informations communiquées par la Présidence, Macky Sall qui se trouve en terre éthiopienne, y est arrivé dimanche en soirée. Accueilli par le Premier ministre qui l’a invité, il a pris part au dîner offert par la présidente Sahle-Work Zewde. Son retour au Sénégal est prévu pour mardi le 05 septembre.

Sénégal : Six morts dans l’effondrement de deux immeubles à Dakar

Dans un quartier de la ville de Dakar au Sénégal, deux immeubles se sont effondrés dans la nuit du vendredi 1er au samedi 2 octobre. Le dernier bilan communiqué par les autorités fait état de six personnes décédées.

L’incident s’est déroulé au quartier Darou Salam dans la ville de Dakar, capitale de la République du Sénégal. Un immeuble R+2 s’est effondré entre ce week-end emportant dans sa chute des vies humaines. Les premières informations reçues ont donné un bilan provisoire de deux morts dont un garçon de 5 ans et de nombreux blessés.

Après la poursuite des fouilles sous les décombres, le bilan est plus important. Le chiffre a augmenté. Six corps au lieu de deux ont péri dans l’effondrement. Le commandant du groupement des sapeurs-pompiers de la région de Dakar Papa Ange Michel Diatta a déclaré lors d’un point de presse après des opérations de secours qui ont duré près de 12 heures que le bilan est lourd. « C’est six corps sans vie et six personnes évacuées vers les structures sanitaires de la place ».

Parmi les personnes décédées, l’on compte deux enfants âgés de deux et cinq ans, deux jeunes hommes, une vieille femme et une dame dont l’âge n’a pas été relevé. Les fouilles ont commencé à la main, avec des équipements légers. Par la suite, l’ampleur des dégâts a amené les secouristes à employer des engins pour dégager les tas de débris qui avaient englouti les victimes. L’opération a abouti grâce au renfort de l’équipe initiale de secouristes. Les ambulances, médecins urgentistes du SAMU leur ont prêté main forte.

Coopération : le Japon offre un milliard 250 millions au Sénégal

Tokyo débloque au profit de Dakar un montant de 250 millions de yens, soit environ un milliards 250 millions de francs CFA. L’enveloppe est destinée au renforcement de la sécurité alimentaire au Sénégal.

La coopération Japon-Sénégal vient de marquer un point supplémentaire en faveur du pays de la Téranga. Un milliard 250 millions de FCFA c’est le montant du don que le gouvernement japonais vient de faire à la République du Sénégal. Selon le constat de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), l’offre va à l’endroit de l’amélioration des conditions alimentaire des Sénégalais.

Plus spécifiquement, ce don servira à l’acquisition du riz pour couvrir les besoins alimentaires au Sénégal. Cette explication est de l’ambassadeur du Japon au Sénégal. Arai Tatsuo a fait cette révélation au cours d’une cérémonie marquant la signature d’un accord avec le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott. Ledit accord a trait l’assistance alimentaire du Japon pour l’exercice fiscal 2021.

Selon le diplomate japonais, le don est non remboursable et constitue l’un des axes majeurs de la coopération entre son pays et le pays de Macky Sall. L’enveloppe est ainsi destinée à l’acquisition du riz. « Le produit de la vente de ce stock supplémentaire de riz, sera versé dans le fonds de contrepartie destiné au financement de projets de développement socio-économique de notre pays ».

Dans ses propos, l’ambassadeur du japon n’a pas manqué de rappeler que cet appui est octroyé au Sénégal de manière régulière depuis 30 ans déjà.

Sénégal-Guinée : après Alpha Condé, la frontière s’ouvre

Trois semaines après le départ de l’ex-président déchu, la frontière entre la Guinée et le Sénégal ouvre de nouveau. La partie guinéenne avait interdit l’accès au Sénégal à la demande d’Alpha Condé il y a un an.  

C’est fait, l’axe est libre de nouveau. Les Sénégalais peuvent désormais renouer avec les entrées et les sorties sur la territoire guinéen et vice versa. De septembre 2020 à septembre 2021, le Sénégal n’a pas eu d’accès en Guinée à travers la frontière qui sépare les deux États. A la suite de l’élection présidentielle, l’ex-chef de l’État de Guinée a ordonné la fermeture de la frontière.

Comme raison de la fermeture de la frontière, l’ex-président renversé le 5 septembre 2021 mentionnait alors la sécurité intérieure. A ce sujet, la cible de la junte du CNRD avait confié à Jeune Afrique que « toutes les tentatives de déstabilisation de la Guinée indépendante viennent du Sénégal ».

En effet, Alpha Condé épinglait deux militants de la société civile, en exil au Sénégal. L’ex-chef de l’État accusait ces deux principaux meneurs du FNDC, d’organiser un mouvement insurrectionnel sur son territoire. Il reprochait les deux personnalités recherchées par la justice guinéenne d’introduire des armes de guerre sur le territoire. Pour maîtriser la menace, l’homme d’État avait verrouillé la frontière.

Par conséquent, la mesure a frappé le commerce, les services de transport, et autres activités économiques. La réouverture de la frontière il y a quelque temps vient redonner de la joie aux personnes et structures touchées.

Le Jaraaf termine en tête du groupe C

L’équipe du Jaraaf a fait match nul 0-0 ce mercredi contre le Club sportif Sfaxien (CSS) lors de la 6-ème et dernière journée de la phase de poules, un partage des points lui permettant de terminer à la tête du groupe C.

En effet, avec ce nul, le Jaraaf compte 11 points, un de plus que le CSS 2-ème du groupe et qui accompagne le représentant sénégalais en quart de finale de la Coupe de la CAF.

De même, dans cette poule C, le Jaraaf a perdu à une seule reprise contre l’Etoile Sportive du Sahel (0-2) lors de son entrée en matière dans
cette phase de poules.

Ensuite, il a fait match nul 1-1 à l’aller à Thiès avant d’enregistrer
trois victoires successives respectivement contre le FC Salitas (2-0 et 1-0) avant de battre l’ESS 1-0.

Les deux nuls ont été enregistrés contre la même équipe du
CSS (1-1 et 0-0).

 

Bonne gouvernance : Le Sénégal occupe la 71ème du classement sur 104 pays

Selon l’Indice Chandler Good Government (CGGI), qui classe 104 pays en termes de capacités et de résultats gouvernementaux, lancé le 26 avril 2021 à Singapour, le Sénégal pointe à la 71ème place. Le premier africain dans ce classement est le Rwanda, logé au 53ème rang, suivi du Botswana (56), du Maroc (61e).

D’après Walf Quotidien qui cite Financial Afrik, dans ce classement, basé sur plus de 50 sources de données, la Finlande est le premier pays au monde en termes de gouvernance. La Suisse (2e) et Singapour (3e) complètent le podium.

De même, pour être en liste , il faut réunir sept critères : le leadership et la prospective; la robustesse des lois et des politiques publiques, la solidité des institutions, la gestion financière, l’attractivité du marché, l’influence et la réputation mondiale.

L’indice utilise une méthodologie rigoureuse élaborée après consultation de praticiens du gouvernement, de dirigeants, d’experts de l’indice et de chercheurs en gouvernance. Le Venezuela, pays latino-américain en proie à une crise politico-économique aigue, ferme la marche.

Indépendance du Sénégal : Guy Marius Sagna estime que « cette commémoration est un canular »

« Le Sénégal est un territoire dépendant dans une Afrique dépendante « !

C’est la ferme conviction de Guy Marius Sagna qui estime, dans un post publié sur sa page Facebook, que « la seule fête qu’il y a aujourd’hui 04 avril est Pâques « .

Voici l’intégralité de son post.

« La seule fête qu’il y a aujourd’hui 04 avril est Pâques. Car le Sénégal est un territoire dépendant dans une Afrique dépendante, dominée d’où sa pauvreté, son « sous-développement ».

En effet, le plus grand poisson d’avril n’est pas dit le 1er avril mais le 04 avril au Sénégal. Le plus grand mensonge qui fait le plus grand mal au Sénégal et aux Sénégalais est celui qui est répété tous les 04 avril depuis 61 ans: le Sénégal est indépendant !

Il n’y a surtout pas d’indépendance à fêter. Le Sénégal est un territoire d’outre-mer (TOM) français. En plus des 12 TOM officiels, la France a 15 autres TOM qui utilisent le franc CFA néocolonial.

De même, Macky Sall n’est pas un président mais un COMMERCIAL. Le commercial de la France, de l’UE, des USA, de la Turquie… au lieu d’être le commercial du Sénégal et de l’Afrique.

Mais depuis quelques années un vent anti-impérialiste souffle en Afrique. Il devient de plus en plus fort au Sénégal, au Mali, au Bénin, au Burkina…

Un spectre hante l’impérialisme : le spectre de l’anti-impérialisme panafricain. Toutes les puissances du vieux monde, de la vieille Afrique, du vieux Sénégal se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre anti-impérialiste panafricain : Macky Sall, les dames de compagnie, l’armée française…

Voilà pourquoi au lieu de mobiliser tous ces moyens pour le bonheur des sénégalais, ces moyens sont utilisés pour nous traquer, nous persécuter, nous arrêter, nous emprisonner…

Au début ils ont essayé les garde-à-vue cela n’a pas marché. Ils ont essayé les emprisonnements. Cela ne marche pas. Il ne leur reste que les assassinats. En attendant ils ont créé un sordide montage juridique et politique qui a fait 14 morts plus connu sous le nom de « Affaire Sonko ». En attendant ils cherchent à nous faire emprisonner – comme ils l’avaient fait à mon cher Imam Ndao – pour terrorisme.

Fier du peuple sénégalais. Merci à vous toutes et tous. Vous avez freiné le processus qui devait faire passer le Sénégal de « dictature rampante » à « dictature debout ».En effet, vous vous rendez compte que des Sénégalais ont été arrêtés à plusieurs reprises pour dépôt de lettre d’information à la préfecture ?! Ils sont allés loin. Très loin!

En outre, les odeurs nauséabondes qui s’échappent de leurs tentatives de manipuler les sentiments ethniques pour diviser le peuple sénégalais et déplacer son attention de l’impérialisme au bouc émissaire wolof, sérère, joola, bassari, peulh…montre la profondeur de leurs peurs.

Mais aussi de ce dont ils sont capables pour maintenir le Sénégal comme « vitrine politique de la Françafric », la Côte d’Ivoire comme « vitrine économique » de la Françafric…

Par ailleurs, ils vont continuer à vouloir nous maintenir dans le néocolonialisme en nous imposant un 3e mandat illégal et illégitime de Macky Sall ou une victoire d’un petit de Macky après s’être arrangés à exclure toute possibilité d’un candidat anti-impérialiste panafricain.

Nous allons continuer à faire face. Nous allons continuer à nous préparer pour chasser Macky et l’impérialisme du Sénégal. C’est le seul moyen de vivre en paix dans un Sénégal multiethnique, multi-religieux, multi-confrérique. C’est le seul moyen de sortir de la pauvreté.

Merci à vous toutes et à vous tous de m’avoir sorti pour la 3e fois en moins de 3 ans de prison. Grâce à vous, je passe Pâques en famille. Merci à vous.

La lutte continue!

Environnement : Abdou Karim Sall met l’accent sur un reboisement durable et inclusif

Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Abdou Karim Sall, a réaffirmé jeudi son engagement à faire du Plan Sénégal émergent vert « une réalité », en misant sur « un reboisement durable et inclusif » à travers le pays.

« le chef de l’Etat a voulu placer la régénération et la protection de notre patrimoine forestier, au cœur de ses préoccupations. C’est pourquoi, le PSE vert est une des initiatives phares de son quinquennat », a-t-il déclaré.

Il souligne qu’à travers le projet de la Grande muraille verte continentale, les pouvoirs publics sénégalais ont « posé des actes concrets » avec la création de l’Agence sénégalaise de la reforestation et de la Grande muraille verte.

En effet, Initiative lancée officiellement en janvier 2007 par l’Union africaine, la Grande muraille verte consiste à créer une mosaïque d’écosystèmes verts et productifs en Afrique du Nord, au Sahel et dans la Corne de l’Afrique, sur 7 800 km en passant par 11 pays, de Dakar à Djibouti.

Outre le projet de la Grande muraille verte, le président Sall a procédé au classement de 9 forêts, pour une superficie globale de 86 726 hectares, selon le ministre de l’Environnement. « Le dernier déclassement remonte à 1968 », a-t-il rappelé.

Santé : L’Etat américain subventionne le Sénégal pour la lutte contre la fièvre Ebola.

Le gouvernement américain a débloqué un fond d’environ 220 millions de francs CFA (400 000 dollars US) pour appuyer le Sénégal dans la lutte contre la fièvre Ebola. 
 

« Le gouvernement des États-Unis, à travers l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), débloque une enveloppe d’environ 220 millions de francs CFA pour appuyer les activités de prévention et de lutte contre la fièvre Ebola au Sénégal », indique l’ambassade américaine à Dakar.

Les activités de lutte contre Ebola « devraient commencer au début du mois d’avril », indique la même source. Par ailleurs, elle précise que les interventions cibleront principalement les localités situées le long de la frontière entre le Sénégal et la Guinée.

En outre, le communiqué rappelle que l’épidémie d’Ebola qui s’était déclarée en Guinée en 2014, s’était propagée dans sept pays, dont le Sénégal, infectant plus de 28 000 personnes et provoquant la mort de plus de 11 000 personnes.

Selon le document, « l’USAID et ses partenaires s’appuient sur les leçons tirées de cette flambée épidémique de 2014 pour orienter les efforts de réponse en cours, en mettant l’accent sur la prévention ».
Il signale que « cette nouvelle contribution du gouvernement américain à la lutte contre le virus Ebola témoigne de son engagement continu à accompagner le Sénégal dans ses efforts visant à améliorer la sécurité sanitaire à l’intérieur de son territoire ».
« Elle entre dans le cadre d’un programme élargi d’assistance de l’USAID, premier pourvoyeur de ressources au secteur de la santé au Sénégal, avec plus de 60 millions de dollars américains par an », souligne t-on dans le communiqué.

Santé/ COVID-19 : Le professeur Didier Raoult est à Dakar.

Didier Raoult, le professeur de médecine qui a essuyé de nombreuses critiques de ses paires sur son remède anti COVID-19 est à Dakar.

En effet, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr a reçu le médecin français Didier Raoult, en visite à Dakar. Ensuite, reçu par le président Macky Sall, le professeur Didier Raoult a été décoré par ce dernier.

Le professeur de médecine, spécialiste des maladies infectieuses, dirige l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille. Il enseigne à la faculté des sciences médicales et paramédicales de Marseille.

Sa visite à Dakar se déroule dans le cadre de ses recherches sur l’émergence des variants du Covid-19, précise le ministère de la Santé et de l’Action sociale.

Pendant son séjour, il va « échanger avec les chercheurs sénégalais sur la riposte contre la pandémie » de coronavirus.

Ses échanges avec les autorités sénégalaises portent « également sur le transfert de technologie en matière de recherche ». C’est également un partenaire de l’Institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (IRESSEF), dirigé par le professeur Souleymane Mboup et basé à Diamniadio, à l’est de Dakar.

Le médecin français va donner une conférence de presse au siège de l’IRESSEF, mercredi, selon la même source.

Alpha Condé indexe Macky Sall : « Ceux qui menacent de déstabiliser la Guinée, ils le font depuis Dakar »

En séjour, hier, dimanche à Fria, le président de la république, Alpha Condé accuse son homologue Macky Sall d’accepter que son pays serve de base arrière pour déstabiliser la Guinée.

Alpha Condé a laissé entendre que « certains avaient prédit des complots contre la Guinée. Si je déballe tout, beaucoup vont fuir le pays ».

« Ils ont dit que la Guinée allait bruler, la Guinée n’a pas brûlé. Nous voilà ensemble, le pays est calme. Mais Dieu ne dort pas. Ceux qui voulaient que la Guinée brûle, nous voyons ce qui est en train de se passer chez eux. Moi je ne combats personne. Depuis que je suis devenu président, aucun opposant n’est venu à Conakry pour critiquer son gouvernement. Je n’accepte pas. Mais tout le monde sait que ceux qui nous insultent, qui veulent que la Guinée brûle le font à partir de Dakar. J’ai dit dans le JA que dans quelques années, seul le Nigéria dépassera la Guinée. Cela déplait à beaucoup de nos voisins », a déclaré Alpha Condé en langue nationale soussou.

Prise en septembre, la décision de fermer les frontières terrestres avec le Sénégal reste maintenue jusqu’à nouvel ordre.

« Ferme Factory »: la téléréalité au service de l’agriculture.

Au Sénégal, « Ferme Factory » est une émission de téléréalité d’un nouveau genre. En effet, la saison 2 sera diffusée d’ici quelques semaines sur la télévision nationale. Ici ni strass, ni paillettes : 20 candidats, deux équipes et quatre mois à la dure.

Avec un objectif : devenir agriculteur, le tout sous l’œil des caméras. Les candidats s’affrontent dans diverses épreuves : qui sera le meilleur pour semer ou labourer ? Qui aura la meilleure récolte ? Le grand gagnant remporte une ferme, mais aussi un accompagnement professionnel de trois ans.

Au-delà du divertissement, c’est une politique publique qui se cache derrière ce projet « Ferme Factory », avec le but de moderniser l’image de l’agriculture et séduire la jeunesse sénégalaise, davantage tournée vers les centres urbains ou l’émigration clandestine vers l’Europe.

 

Source : France 24

Rapatriement de 210 sénégalais à Dakar en situation irrégulière en Espagne.

La date de rapatriement des 210 Sénégalais à Dakar dévoilée.

En effet , c’est plus de 200 Sénégalais qui seront rapatriés, avant la fin de ce mois. En outre, le président de l’ONG Otra-Africa, Souleymane Aliou Diallo a donné des informations concernant ce rapatriement. C’était lors de son intervention sur RFM.
« Nous avons reçu une information d’un partenaire très fiable, que nous sommes en train d’exploiter. Un vol est prévu le 24 février de Madrid via Tenerife pour Dakar, pour le retour de nos compatriotes en situation irrégulière en Espagne.
Comme Horizon sans frontières, comme lanceurs d’alerte, il nous arrive d’avoir ces informations très tôt. Nous devons partager avec l’Etat du Sénégal ses informations. Ensuite, nous devons préparer l’opinion publique psychologiquement à ce genre d’évènement. »
Par ailleurs, pour Souleymane Aliou Diallo, il est primordial de travailler en harmonie avec l’Etat du Sénégal sur ce genre de situation. « Ce vol est confirmé et le rapatriement aura bel et bien lieu ».

Macky Sall veut prendre un mémorandum pour s’exprimer sur l’émigration clandestine.

Un mémorandum pour expliquer la question de l’émigration clandestine.

Plus d’une semaine après l’emprisonnement de Boubacar Seye, le président Macky Sall s’est exprimé sur la question de l’émigration clandestine. En effet, c’était lors du Conseil des ministres de ce mercredi. Le chef de l’Etat demande à son gouvernement de répondre aux accusations du président de Horizon sans frontières par le biais d’un document chiffré.

« Sur le suivi de la coopération et des partenariats, le président de la République demande au ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, de préparer, en relation avec les ministères impliqués, un Mémorandum du Gouvernement du Sénégal sur la politique et les projets mis en œuvre, ainsi que les ressources mobilisées dans le cadre, d’une part, de la lutte contre l’émigration clandestine et, d’autre part, de la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes », indique le communiqué.

Cette opération d’explication intervient également quelques jours après un communiqué de l’Union européenne dans lequel l’UE donne des chiffres sur les fonds qui ont été alloués au Sénégal dans le cadre de la lutte contre la migration dite irrégulière vers le vieux continent.

 

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Le volume commerciale entre l’Inde et le Sénégal s’élève à environ 533,1 milliards.

Les échanges commerciaux entre l’Inde et le Sénégal.
Les échanges commerciaux entre l’Inde et le Sénégal ont atteint une moyenne de 1 milliard de dollars US (environ 533,1 milliards de francs CFA) « durant ces dernières années », a indiqué l’ambassadeur de ce pays d’Asie à Dakar.
En effet, l’ambassadeur Godavarthi Venkata Srinivas, a donné cette information lors d’une interview publiée mardi par le quotidien sénégalais Le Soleil.
« Le volume du commerce bilatéral entre l’Inde et le Sénégal s’est élevé à environ 1 milliard de dollars US (…) durant ces dernières années », a-t-il dit.
« Le commerce bilatéral a atteint près de 1,3 milliards de dollars en 2018-2019. Entre avril 2019 et mars 2020, le commerce s’élevait à 950 millions de dollars », a détaillé le diplomate indien.
Selon Godavarthi Venkata Srinivas, d’avril à septembre 2020, le commerce bilatéral était de 500 millions de dollars.
Les produits chimiques inorganiques, le fer usagé, les fruits et les noix comestibles sont, selon lui, les principales marchandises que son pays importe du Sénégal.
Tandis que le Sénégal fait appel à ce pays asiatique pour ses importations de riz, de coton, de vêtements et de machines.
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Polygamie : elle tente de mettre fin à ses jours après la venue de sa coépouse.

La polygamie, réalité qui n’est toujours pas encore accepté au sein de certaines familles sénégalaises.

En effet, il y a des femmes qui ne supportent pas du tout d’avoir une coépouse. C’est le cas de la jeune dame K. Diop qui a frôlé la mort. Quand elle a appris que son mari a épousé une deuxième femme, elle a tenté de se suicider en buvant de l’eau de javel.

La jeune dame a voulu se donner la mort après avoir su que son mari vit avec sa « rivale » alors qu’elle trime au village aux côtés de sa belle-mère avec ses trois enfants. Une injustice qu’elle trouve inacceptable.

Par ailleurs, selon des sources d’informations, la jeune dame quitta le village pour aller vérifier cette histoire qui lui fait perdre le sommeil. C’est alors qu’elle arriva à Médina, lieu où son mari vit avec sa deuxième femme dans une chambre louée.

À la vue de celui qu’elle considère comme un traite en compagnie de sa nouvelle coépouse, dame K. Diop rentra dans une colère noir. En effet, cette dernière pique une crise de jalousie et demande à son époux d’expulser sa deuxième femme de la chambre.
Le mari accède à sa requête, mais n’empêche elle a tenté de se suicider en buvant de l’eau de javel.

Diary Sow, l’hypothèse de la fugue se confirme peu à peu.

Depuis, le début du mois de janvier, tout le Sénégal est inquiet pour Diary Sow disparu depuis le 4 janvier. Aurait-elle fugué pour vivre une idylle amoureuse?

L’étudiante sénégalaise Diary Sow a disparu mystérieusement, au début du mois de janvier à Paris, où elle était en classe préparatoire, provoquant l’émoi au Sénégal. Une situation présentant de troublantes similitudes avec un récent roman dont elle est l’auteure.

En effet, une enquête pour disparition est ouverte auprès de la brigade de répression de la délinquance aux personnes. L’analyse de la chambre de la jeune femme laisse à penser aux enquêteurs, qu’elle a quitté les lieux en emportant ses vêtements et effets personnels.

Une découverte qui confirme l’hypothèse d’une fugue, pourtant rejetée en bloc par certains de ses proches.

Les proches de Diary Sow se prononcent sur sa disparition. 

« Fuguer et mettre en péril ses études, après tous ses efforts pour se hisser au sommet ? Ce serait un renoncement. Cela ne lui ressemble pas », avance Papa Djibril Diop, le proviseur du collège Keur Madior de Mbour, où elle a été scolarisée.

En outre, la mère de la jeune étudiante qui depuis lors refusait de s’adresser aux médias, s’est finalement résignée et a donné une interview au journal Quotidien.

« Je passe des nuits blanches. Nous ne pouvons rien. Nous sommes là à l’écoute en train de guetter la moindre information sur Diary. C’est très difficile, je prie le bon Dieu de l’assister là où elle puisse être. Que le Tout-puissant fasse qu’on puisse la retrouver le plus rapidement saine et sauve. Nous vivons une incertitude, nous sommes très inquiets aussi. Et c’est très difficile de rester plus d’une semaine sans avoir des nouvelles de ta fille, surtout si tu sais qu’elle a disparu. ».

L’oncle de Diary Sow prendra lui aussi la parole afin de remercier les sénégalais pour leurs soutiens depuis la disparition de la jeune femme. « Il faut comprendre la maman, c’est très difficile de supporter cette situation. Mais il faut que la famille parle, parce que cette affaire n’est plus entre Diary et sa famille. C’est devenu une affaire des Sénégalais. Donc au vu de l’élan de solidarité que le peuple a affiché envers Diary Sow, si nous la famille nous ne le remercions pas, c’est comme si cela ne nous intéresse pas. ».

Une autobiographie ou une simple coïncidence? 

Mais rappelons que lors de la promotion de son premier roman intitulé « Sous le visage d’un ange », Diary Sow annonçait le titre de son second roman « Lorsque les masques tombent », qui est étrangement similaire à la situation de la jeune fille.

Lors de son entretien Diary Sow, donna un avant-goût de son prochain Best-seller. « Il s’agit de la suite, du tome II de mon premier roman. Ceux qui veulent connaître la suite de l’aventure idyllique entre Aline et Karim, avoir des réponses sur l’amour quasi impossible entre les deux amoureux, seront servis dans ce second livre intitulé lorsque les masques tombent « .

D’ailleurs, est-ce qu’il ne s’agit pas d’un livre autobiographique? Est-ce que Diary ne raconte pas par procuration sa vie?  Qui sont ces personnes encagoulées qui s’interposent à  l’amour et à l’épanouissement de Karim et Aline?  Quels sont leurs motivations ? Pourquoi le titre « Lorsque les masques tombent »?

Autant de questions qui sont aujourd’hui sans réponses comme celles relatives à son intrigue et énigmatique disparition. Nous souhaitons que notre « Diary Nationale » soit rapidement retrouvée pour apporter la tranquillité à sa famille.

Disparition de Diary : Du nouveau dans l’enquête !

8 jours après sa disparition, il y a de forte chance de retrouver Diary Sow vivante.
En effet, il y a fortes chances de la retrouver vivante la jeune étudiante. Car selon les dernières révélations de l’enquête, il n’y a aucune preuve prouvant que Diary Sow était morte.

De plus, aucun centre hospitalier, ni brigade de sapeur-pompier n’a reçu un corps ou un blessé dont la description correspond à celle de Diary Sow.

Mieux,  sur des caméras de surveillance, on aperçoit l’étudiante, après les heures qui ont suivi sa disparition.
« Il y a beaucoup de choses qui rassurent », déclare le consul Amadou Diallo.

En outre toujours d’après l’enquête, la perquisition effectuée dans la chambre de Diary Sow révèle plusieurs théories. Les enquêteurs pensent que la meilleure étudiante du Sénégal a emporté lors de son dernier passage des affaires a elle.

Un proche de la famille donne plus d’information.

Notons que nombreuses sont les fausses informations, qui circulent depuis la disparition de l’étudiante. L’ancien ministre de l’Éducation nationale, Serigne Mbaye Thiam ,parrain de Diary Sow, soutient que la famille est gênée de démentir ces informations non fondées  » ça peut cacher la stratégie de recherche ».
Toutefois, il tient à préciser que le vendredi 1er janvier dans la soirée, il a eu des nouvelles de Diary Sow .
« Je voudrais indiquer que la dernière fois que j’ai parlé à Diary Sow, c’était le vendredi 1er janvier dans la soirée après avoir reçu de sa part un message de souhait de meilleur vœux dans la journée. On a échangé sur ses perspectives d’études, de candidature au concours, parce que c’était la période d’inscription et tout allait très bien », a-t-il indiqué sur Iradio.
Il ajoute par la suite « sa maman m’a dit que c’est le dimanche 3 qu’elle a eu la dernière conversation téléphonique avec elle. Je voudrais indiquer que les éléments de contact que la famille a eus avec Diary sont des éléments qu’on peut certifier ».
Le dossier, qui était une affaire consulaire, est maintenant une affaire d’États. En effet, c’est au plus sommet que l’affaire Diary Sow se gère.