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Ce mardi 24 septembre, le Ministre des Infrastructures a tenu des audiences de haut niveau avec Son Excellence Khalid Aref, Ambassadeur d’Égypte, et Son Excellence Rachid Saidani, Ambassadeur de Tunisie. Ces rencontres visaient à renforcer la coopération bilatérale en matière d’infrastructures entre le Sénégal, l’Égypte et la Tunisie. Les échanges ont permis d’explorer de nouvelles opportunités pour le développement des projets communs, notamment dans les secteurs des transports et des infrastructures.

Dans la même journée, le Ministre a accueilli une délégation ivoirienne représentée par la chargée des affaires économiques et commerciales de l’Ambassade de Côte d’Ivoire. Les discussions ont principalement porté sur la future implantation à Dakar de Mayella Automotive, une société ivoirienne spécialisée dans le contrôle technique des véhicules. Ce projet marquera un tournant pour l’industrie automobile au Sénégal, avec des retombées économiques et sociales positives.

Ces échanges témoignent de l’engagement du Sénégal à s’ouvrir à des partenariats stratégiques dans le cadre de son développement infrastructurel, tout en attirant des investisseurs de premier plan dans des secteurs essentiels à la modernisation du pays.

La Marine nationale sénégalaise a fait une macabre découverte le dimanche 22 septembre 2024, en localisant une pirogue à la dérive avec trente corps sans vie à environ 70 kilomètres des côtes de Dakar. Cette découverte a été rapportée par la Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées (Dirpa).

Alertée en début de soirée, la Marine a dépêché le patrouilleur CAYOR, qui a localisé l’embarcation avant de la remorquer vers la rade extérieure du port de Dakar. L’embarcation est arrivée aux premières heures du lundi 23 septembre, à 6h00.

À leur arrivée, des équipes médicales, des sapeurs-pompiers ainsi que le service d’hygiène ont pris en charge la récupération des corps. Toutefois, les opérations d’identification s’annoncent difficiles en raison de l’état de décomposition avancée des victimes.

Les autorités sénégalaises poursuivent leurs investigations afin de déterminer l’origine de la pirogue et obtenir plus de détails sur les circonstances de cette tragédie. La découverte de ces corps soulève de nombreuses questions sur l’éventuelle provenance de l’embarcation, et des réponses sont attendues dans les jours à venir.

Le mardi 17 septembre 2024, une réunion stratégique en vue des préparatifs du Gamou de Ndiassane s’est tenue au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, sous la présidence du Général Jean Baptiste Tine. Cet important événement religieux a réuni les principaux acteurs impliqués, parmi lesquels Serigne Khalifa Kounta, porte-parole du Khalife général des Khadres, et Cheikh Bou Sidy Moukhtar Kounta, en présence du Gouverneur de Thiès et de plusieurs représentants des services nationaux.

Lors de cette rencontre, plusieurs sujets cruciaux ont été abordés pour assurer la réussite de l’événement. L’accent a été mis sur l’accès à l’eau potable, la sécurité des fidèles, la gestion de la santé publique, la logistique, les transports, ainsi que la communication.

Serigne Khalifa Kounta a exprimé certaines préoccupations, notamment sur les infrastructures d’accueil et la gestion des foules. Le ministre Tine, très attentif à ces demandes, a garanti que des mesures concrètes seraient rapidement mises en place en collaboration avec les autorités locales et les services compétents.

En vue de prévenir tout incident, un dispositif de sécurité renforcé sera déployé pour garantir la sécurité des fidèles et assurer une fluidité optimale dans les transports. Le Général Tine a exprimé sa gratitude envers la délégation de Ndiassane et réaffirmé l’engagement total de l’État pour la réussite de ce grand événement spirituel.

Un grave accident de la route a endeuillé la commune de Dalla Ngabou ce lundi matin. À hauteur de Digane, un violent choc entre un bus et un car a provoqué la mort de cinq personnes sur le coup, tandis que 37 autres ont été blessées, selon des sources sécuritaires contactées par Seneweb.

Les sapeurs-pompiers de Touba, rapidement arrivés sur les lieux, ont immédiatement pris en charge les blessés et les ont évacués vers les hôpitaux les plus proches. La gendarmerie est également intervenue pour sécuriser la zone et faciliter les opérations de secours.

Les circonstances exactes de cet accident tragique restent pour l’instant indéterminées, mais une enquête est en cours pour éclaircir les causes de cette collision meurtrière. Cet événement tragique relance une fois de plus le débat sur la sécurité routière dans la région.

Ce vendredi 13, la Cité du Savoir de Diamniadio a accueilli la première cérémonie du First Satellite Day, présidée par SEM le président Bassirou Diomaye Faye, en présence du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr El Hadj Abdourahmane Diouf. Cet événement marquant célèbre une avancée significative pour le Sénégal avec le lancement historique du satellite GAINDESAT-1A.

Sur son compte X, le président Faye a exprimé sa fierté : « Je viens d’assister à la cérémonie célébrant notre succès historique avec le lancement de GAINDESAT-1A. Cet événement marque une étape importante dans le développement de nos capacités spatiales et honore l’engagement de nos ingénieurs et chercheurs ainsi que leurs formateurs. Ensemble, nous ouvrons une nouvelle ère pour un Sénégal souverain, juste et prospère. »

Le lancement de GAINDESAT-1A symbolise un tournant décisif pour la souveraineté technologique et scientifique du Sénégal. Cet exploit est le fruit du travail acharné des ingénieurs, chercheurs et formateurs sénégalais, qui ont contribué à ce succès historique. Le Sénégal fait désormais partie des nations en développement dotées d’une capacité spatiale nationale, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles opportunités pour un avenir prospère et indépendant.

Ce mercredi, Mbour se prépare à accueillir une délégation gouvernementale sous la conduite de Khady Diène Gaye, Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. Cette visite intervient après le naufrage tragique d’une pirogue transportant des candidats à l’émigration irrégulière. La ministre, accompagnée de plusieurs responsables des services de l’État, sera reçue par le préfet du département, Amadou Diop.

Au programme de la visite : une première étape au domicile du délégué de quartier de Thiocé Ouest, suivie d’un tour dans la ville pour évaluer la situation sur le terrain. Cette démarche vise à présenter les condoléances du chef de l’État et à recueillir des informations sur les circonstances du drame.

Depuis l’accident survenu dimanche dernier, au moins 38 corps sans vie ont été retrouvés.

Le gouvernement sénégalais a franchi une étape cruciale mardi dans le cadre du développement agricole de la Vallée du fleuve Sénégal. Lors d’une cérémonie marquante, le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Dr Mabouba Diagne, a signé un protocole de partenariat avec l’entreprise Soseter, en présence d’Alassane Ba, Directeur Général de la SAED (Société d’Aménagement et d’Exploitation des Terres du Delta). Ce partenariat ambitieux porte sur l’aménagement de 30 000 hectares dans cette région stratégique pour l’agriculture nationale.

Ce projet s’inscrit dans la volonté du Sénégal d’améliorer sa productivité agricole et de tirer le meilleur parti des ressources naturelles de la vallée. Considérée comme une zone clé pour le développement rural, la Vallée du fleuve Sénégal joue un rôle central dans la stratégie nationale visant à atteindre la souveraineté alimentaire. En aménageant ces 30 000 hectares, le pays vise à renforcer la production des cultures vivrières et commerciales pour répondre aux besoins croissants du marché national et international.

Dr Mabouba Diagne a souligné l’importance de moderniser les infrastructures agricoles et de garantir une gestion durable des ressources hydriques dans la vallée. Ce projet est une réponse directe aux défis alimentaires auxquels le Sénégal est confronté, tout en favorisant le développement rural et l’autonomie agricole.

Un accident d’une rare violence a secoué la ville de Khombole, dans la région de Thiès, ce lundi 9 septembre 2024. Un bus est entré en collision avec un camion, provoquant un bilan tragique de 16 corps calcinés, rendant leur identification difficile.

Selon des sources sur place, 43 personnes ont été victimes de ce drame, dont 16 ont perdu la vie dans des conditions terribles. Parmi les blessés, 22 sont dans un état critique et ont été rapidement évacués vers les hôpitaux les plus proches par les services de secours.

Les autorités locales ont mobilisé tous les moyens disponibles pour porter assistance aux victimes et tenter d’éclaircir les circonstances exactes de cet accident meurtrier. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de cette collision, qui a plongé la région dans une grande tristesse.

Samedi 7 septembre , la région de Matam sera au centre de la cinquième édition de la journée nationale « Sétal Sunu Réew », une initiative citoyenne organisée par les nouvelles autorités pour promouvoir la propreté et le reboisement. Le Premier ministre Ousmane Sonko se rendra personnellement dans la région pour participer à cet événement, accompagné de membres de la société civile et de son gouvernement.

Selon le gouverneur de Matam, Saïd Dia, les activités seront principalement réparties entre les communes de Matam et Ourossogui, où les participants se mobiliseront pour nettoyer les espaces publics et planter des arbres. Après avoir eu lieu à Saint-Louis lors des précédentes éditions, l’initiative vise à encourager l’implication citoyenne dans la préservation de l’environnement dans tout le Sénégal.

Cette journée de nettoiement, devenue un rendez-vous important dans le calendrier national, symbolise l’engagement collectif pour un cadre de vie plus sain et durable. En mettant en lumière la région de Matam, « Sétal Sunu Réew » cherche à sensibiliser les populations à l’importance de l’entretien des espaces communs et du reboisement pour lutter contre la dégradation de l’environnement.

À l’approche du Gamou de Tivaouane, prévu dans la nuit du 15 au 16 septembre 2024, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, le Général Jean Baptiste Tine, a tenu à rassurer le comité d’organisation quant aux dispositions prises pour garantir le succès de cet important rassemblement religieux.

Lors d’une rencontre tenue lundi dans son département ministériel, le Général Tine a confirmé que des mesures concrètes avaient été mises en place en collaboration avec les services compétents pour relever les divers défis liés à cet événement. La réunion, présidée par le ministre, a rassemblé des figures religieuses éminentes telles que Serigne Mansour Sy Diamil et Serigne Habib Sy, ainsi que le gouverneur de Thiès et des représentants des services nationaux concernés.

Les discussions ont porté sur des enjeux cruciaux tels que l’approvisionnement en eau potable, la gestion des eaux pluviales et usées, la sécurité des fidèles et l’organisation des transports. Le ministre Tine a insisté sur le renforcement des mesures de sécurité, qui seront assurées par la Police et la Gendarmerie, pour garantir un déroulement harmonieux du Gamou.

En ce qui concerne les transports, il a précisé que des dispositifs seraient déployés pour prévenir tout incident sur les routes, assurant ainsi un déplacement sécurisé pour les fidèles. L’approvisionnement en eau potable et la gestion des infrastructures, des aspects essentiels pour un événement de cette envergure, ont également été au cœur des échanges. Le ministre a affirmé que des engagements fermes avaient été pris pour garantir une logistique fluide et efficace.

Le Général Tine a exprimé sa gratitude à Serigne Mansour Sy Diamil, Serigne Habib Sy, ainsi qu’à l’ensemble de la délégation présente, pour leur coopération et leur engagement dans l’organisation de cet événement majeur du calendrier religieux sénégalais. Il a réitéré l’engagement de l’État à soutenir activement la réussite du Gamou de Tivaouane, en veillant à la sécurité et au bien-être des fidèles.

La Caisse de sécurité sociale (CSS) a rendu un vibrant hommage jeudi 29 août à Mademba Sock, ancien président de son Conseil d’administration, décédé en juin dernier. Figure emblématique du syndicalisme sénégalais, Mademba Sock a consacré sa vie à la défense intransigeante des droits des travailleurs et à la promotion des valeurs démocratiques.

Lors de la cérémonie organisée au Musée des civilisations noires à Dakar, Elimane Diouf, actuel président du Conseil d’administration de la CSS, a salué un homme « visionnaire et dévoué », soulignant que Mademba Sock « n’a jamais accepté la compromission ». Pour Innocence Ntap Ndiaye, présidente du Haut Conseil de dialogue social, il fut « un militant passionné de la justice sociale », dont la carrière est marquée par une lutte constante pour le progrès et la souveraineté nationale.

Mademba Sock est reconnu pour avoir été à l’origine de la création d’organisations syndicales autonomes au Sénégal, jouant un rôle crucial dans la protection de l’indépendance des syndicats face au pouvoir politique. Sa détermination à lutter contre la privatisation de la Senelec dans les années 1990, au prix de six mois de prison, reste l’un des moments forts de son engagement.

Décédé à l’âge de 65 ans, Mademba Sock laisse derrière lui un héritage indélébile dans le mouvement syndical sénégalais, où il restera une figure de proue inoubliable.

Les 23 et 24 août 2024, les marines nationales du Sénégal et de la Mauritanie ont mené une opération conjointe, baptisée MUSTARAKA, dans le cadre de la sécurisation de leurs eaux territoriales respectives. Cette opération s’inscrit dans une dynamique de coopération entre les deux nations ouest-africaines pour faire face aux défis maritimes communs.

Dans une annonce publiée le 28 août 2024 sur son compte X (anciennement Twitter), la Marine nationale sénégalaise a qualifié l’opération de « coopération opérationnelle » visant à sécuriser la zone maritime frontalière entre les deux pays. L’opération, qui a couvert l’ensemble de cette zone, illustre la volonté des deux marines de renforcer la sécurité maritime dans une région où la menace maritime reste un enjeu majeur.

Bien que les détails spécifiques sur les activités menées ou les ressources déployées n’aient pas été révélés, les images diffusées montrent des agents des Marines sénégalaise et mauritanienne brandissant fièrement les drapeaux de leurs pays respectifs, symbolisant cette collaboration.

Cette initiative intervient à un moment où la sécurité maritime devient une préoccupation de plus en plus pressante pour les États côtiers de l’Afrique de l’Ouest, confrontés à des défis tels que la piraterie, le trafic illicite et la pêche illégale.

Dans le cadre de ses missions de prévention des inondations, le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement assure un suivi rigoureux de la situation hydrologique des fleuves Sénégal et Gambie, grâce aux stations hydrométriques mises en place à cet effet.

À la date du 22 août 2024, le Ministère informe que le niveau de l’eau à Bakel, qui était de 9,52 mètres à 08 heures, a augmenté pour atteindre 9,57 mètres à 12 heures. Ce niveau se rapproche de la cote d’alerte fixée à 10 mètres, avec une différence de seulement 43 centimètres. Si la tendance actuelle des précipitations se maintient, il est probable que le seuil critique soit atteint dans les prochaines heures, entraînant des risques de débordements du fleuve, particulièrement sur l’axe Bakel – Matam.

En conséquence, le Ministère appelle les populations riveraines et les acteurs économiques situés le long du fleuve Sénégal, sur l’axe mentionné, à faire preuve d’une vigilance accrue.

À la veille du Grand Magal, les fidèles mourides affluent par centaines de milliers vers Touba, la ville sainte du Sénégal, pour célébrer la 130e édition de cet événement religieux majeur. Ce vendredi 23 août, des millions de disciples commémoreront l’exil forcé de Cheikh Ahmadou Bamba au Gabon par les autorités coloniales françaises, un événement fondateur de la confrérie mouride.

Cette année, le Magal se déroule dans un contexte politique marqué par l’arrivée de nouvelles autorités au pouvoir depuis mars. Le président Bassirou Diomaye Faye a récemment rencontré le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, promettant de résoudre les problèmes d’eau et d’assainissement de la ville. Cette visite symbolique s’inscrit dans la continuité d’une tradition républicaine, mais elle intervient également dans un climat tendu, avec l’opposition politique jouant un rôle crucial.

Le Premier ministre Ousmane Sonko, figure de proue de l’opposition, s’est également rendu à Touba, évoquant avec émotion le soutien qu’il avait reçu du khalife lors de sa grève de la faim l’an dernier. Ce geste symbolique est resté gravé dans les mémoires et rappelle les tensions politiques qui ont secoué le pays ces dernières années.

Face à la foule immense, les forces de l’ordre ont déployé un dispositif impressionnant pour assurer la sécurité des fidèles. Près de 4 331 agents et 144 véhicules ont été mobilisés, tandis que les autorités sanitaires se préparent à prévenir tout risque d’épidémie, notamment de variole du singe, bien qu’aucun cas n’ait été signalé.

Les préparatifs pour le Magal se poursuivent malgré les défis logistiques et les conditions météorologiques incertaines. Les fidèles, déterminés à honorer la mémoire de Serigne Touba, affluent en masse, défiant les embouteillages et les prix élevés du transport. Le gouvernement a réagi en mobilisant des bus publics et des chauffeurs militaires pour faciliter le déplacement des pèlerins.

Le sous-préfet de l’arrondissement de Kataba 1, département de Bignona, Amadou Wagué, est décédé  mercredi matin. La nouvelle a été annoncée hier avec une grande tristesse.

Selon les autorités proches du défunt, Amadou Wagué avait récemment éprouvé des malaises, ce qui avait conduit à son absence lors de la réunion du CDD convoquée par le préfet lundi dernier. Son décès survient peu de temps après sa récente nomination en tant que sous-préfet à Sagatta Djoloff, lors du dernier mouvement du commandement territorial rendu public après le conseil des ministres du 7 août 2024.

Amadou Wagué laisse derrière lui un héritage marqué par son engagement dans le service public. Sa perte est une grande douleur pour la communauté qu’il a servie.

Le collège des délégués des agents de Teranga Sûreté Aéroportuaire a tenu une conférence de presse ce mercredi pour exprimer les difficultés persistantes rencontrées par le personnel depuis la création de l’entreprise en 2017. Ils ont dénoncé le non-respect de l’accord d’établissement signé avec les travailleurs, soulignant l’absence d’avancements, de salaires décents, de primes de risque, et d’indemnités de logement.

Cette situation, qui s’aggrave depuis plusieurs années, a atteint un point critique. Les délégués, tout en renouvelant leur respect envers le ministre des Transports, ont sollicité une audience pour discuter en détail des problèmes rencontrés au sein de Teranga Sûreté Aéroportuaire. « Nous sommes les représentants légitimes des travailleurs, » ont-ils affirmé, appelant à une intervention urgente pour améliorer les conditions de travail.